Partant d’un principe gentillet, le film s’enfonce lentement mais surement dans le marasme de la niaiserie. Comme on voit chaque scène venir à des kilomètres, on a tout à fait le temps de s’ennuyer et d’explorer plus avant une salle de cinéma plongée dans l’obscurité.
En bref, un long moment d’ennui dont la fin du film est l’apothéose (de l’ennui, hein, pas du film).