Critique express : Toi aussi avec l’Oréal, tu peux avoir des beaux cheveux et jouer comme un pied. A éviter.
Bon, l’opus numéro un était regardable. Si, si, regardable. Je maintiens cette position difficile car le film était très bof bof. Mais, MAIS ! Néanmoins bien meilleur, oooh ouii, que celui-ci. Joué par des prépuceaux qui s’émeuvent d’une fleur qui ressemble à un téton, on entre dans le n’importe quoi scénaristique pour ne jamais en ressortir. Des gros bouffons en combattent d’autres, du coup, ils arrivent pas bien à finir, c’est normal. Donc ça prend des plombes… Qu’est-ce que c’est chiant, c’est dingue ! Mention ultra-spéciale pour l’arbre qui « s’ouvre » à la fin, si ça c’est pas un symbole vaginal, c’est que les psychanalistes sont des gens sérieux. Les effets spéciaux ne relèvent même pas le film, tant ils sont absents. Triste réalité d’une tranche de vie bêtement perdue dans une salle de cinéma…