Amis divers, vous aimez les bites mais vous osez pas l’admettre, vous aimez le voyeurisme et vous vous agglutinez devant la télé, cette vidéo est faite pour vous. Les autres, ceux au qi élevé qui ne présage de rien à part une propension à résoudre des problèmes débiles et répétitifs, cette vidéo est aussi faite pour vous. Ceux qui appartiennent à l’espèce supérieure, c’est à dire moi, on s’en fout parce que je l’ai déjà vue.

Sans plus attendre, grâce à mes skillz de maladz, voici la vidz embedz comme un proz du pr0nz :


Source: CultureSex

Sweeney ToddCritique express : Mis à part le coté lyrique, ce film noir et sanglant renoue Tim Burton avec le dérangeant. A voir.

Commençons sans ambages par le vrai point noir du film (haha) : Sweeney Todd, n’en déplaise à Tim Burton qui s’en défend – je peux comprendre pourquoi – est une comédie musicale. Hé oui. Avec des gens qui chantent. Forcément, on aime ou on aime pas, sachant que si on aime les comédies musicales (enfin plutôt les tragédies musicales), on est un gros trou du cul. Hé oui. Avec la mauvaise odeur. Mais revenons à nos moutons que nous n’allons pas tarder à tondre et plus si affinités avec la côtelette. C’est donc chanté, en anglais bien entendu, ce qui faisait un affreux mic-mac avec la VF de mon Pathé de merde. Donc si vous pouvez aller le voir en anglais, il vaudrait quand même mieux. C’est chanté un peu tout le temps, avec de rares et éparses oasis de textes. Bon, finalement, on s’y fait, et on arrive un peu à faire abstraction pour se concentrer sur l’intrigue et l’image. Image absolument fabuleuse d’ailleurs, complètement désaturée d’origine (dixit le Première qu’on me refile gratos) qui nous plonge d’emblée dans une ambiance glauque. Quand à l’intrigue, elle est tout à fait morbide : sans donner dans le spoiler, sachez que les corps mutilés par Sweeney ne seront pas perdus pour tout le monde, surtout les gourmands. Un détail qui a son importance : les morts et les effets de sangs sont extrêmement réalistes, avec beaucoup de sang mais pas trop, ce qui est au final le plus dérangeant. Les douches de sang à la Blade c’est bien gentil, mais ça ne fait pas peur. Ici, le moindre millilitres a du être calibrés tellement on a l’impression que ce sont de vrais gentils qui pissent comme des gorets. Pareil, la chute des corps avec le schrack (colonne vertébrale) / schplouff (corps plein de sang qui s’écrase) en a fait frémir plus d’un dans la salle. Le jeu des acteurs est excellent, tout d’abord celui de Johnny Depp comme toujours, et ensuite celui de Helena Bonham Carter, qui, si elle est absolument insupportable avec son air de macchabée dans tous les films qu’elle joue, est ici bien dans son rôle (même si elle est quand même très moche). En parlant de très moche, la fille qui joue la captive et dont j’ai oublié le nom et dont tout le monde se fout sauf un jeune paumé, est vraiment de type alien : une grosse tête avec un bec perchée sur un cou décidément trop long. Moi je dit que l’invasion a déjà commencé, pour preuve tout à l’heure une autre fille alien qui a la base de son pouce quasiment au niveau de la base des autres doigts, ce qui fait que son pouce est pratiquement à la même hauteur que son petit doigt et que l’on s’éloigne du sujet.

Donc au final, ce film est bien, très bien si on aime les gens qui chantent, il faut aller le voir et toussa. Moi je suis crevé, une crotte et au dodo.

Les deux mondesCritique express : Partant d’un bon principe, le film s’emmèle un peu les pinceaux pour finir assez peu drôle et cohérent. A éviter.

Moi j’aime bien Benoît Poelvoorde (même si je suis obligé de copier coller son nom). Son ton hystérique et sa manière de casser les gens sont en général dans mes goûts en la matière. Alors j’avais un gros à priori positif sur ce film, surtout qu’il y avait une sorte de thème fantastique. Si le film commence bien, c’est là sa seule victoire : dès le milieur du film (ie dès que le héros fait des aller retours), on sent bien que ça s’enlise et que ça reste plat. Le film se transforme de film pseudo comique en film de réfléxion sur la vie, l’amour et toutes ces conneries. Autant dire que ça me faisait grave chier. Un des autres gros reproches concerne la cohérence. Il n’y a vraiment rien qui s’enchaîne proprement dans ce film, et l’univers secondaire est complètement décousu. C’est vraiment dommage parce qu’il y avait possibilité de faire quelque chose de sympa. Pour autant, tout n’est pas à jeter dans le film : certaines répliques sont assez bonnes (notamment quand il se transforme en semi despote), ainsi que quelques mimiques et jeu d’acteur. Les actrices sont quand à elles tout bonnement insupportable. Je ne comprends toujours pas l’intérêt de ces actrices potiches qui n’arrivent pas à croire à leur propre personnage. Un peu d’effort, que diable ! « La potiche timide mais un peu salope », yen a marre !

Bref, déçu je suis par un film qui encore un fois aurait pu faire très bien et se contente d’un passable… (passable ça veut dire qu’on peut le louer en DVD).

– D’abord mon chéri, on dit pas le Monsieur, on dit sa magnificence x2b4. Ensuite il est pas mort, il est juste très très desséché.
– Mais il sent mauvais et il est tout marron ? Dis maman, pourquoi il pue sa magnificence x2b4 ?
– C’est parce qu’il ne se lave plus mon chéri. Et puis enlève tes lunettes de soleil, tu commence à me faire chier avec ton marron.
– Mais maman, j’ai mal aux yeux…
– Je m’en fout, fait comme Maman te dit de faire.
– D’accord Maman. Mais quand même, monsieur x2b4 il ne dit plus rien, même que des fois ya du spam qui apparait sur son blog, c’est pas normal, ça, hein, maaaaaaaaaman, c’est pas normal ça ?
– Ah tu me les brises petit con ! Putain j’en sais rien moi pourquoi x2b4 il écrit plus rien ! Tu le sais toi ? Hein ? Non ! Bon, alors ! Tu fermes ta gueule ! Et avales ta morve au lieu de la recracher !
– Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin.
– Aller, aller, pleure pas mon chéri. Maman rigolait. Maman t’aime beaucoup.
– Ah bon maman m’aime autant que le réparateur de la télé ?
– Oui. Enfin non, c’est pas pareil. Regarde, prend un mouchoir. On va demander à x2b4 pourquoi son blog il est devenu tout vide, tout pourri et tout moche.

Mais elle va me faire chier encore longtemps la grosse avec son môme là ?  Hou comment chuis vénère, faut pas me chercher moi… Tiens regarde la voiture qui arrive vite là, va la voir de plus près ! Ah oui t’aime ça grosse conne repeindre le macadam avec ton sang et les tripes de ton gosse en tant que pinceau ! Dommage que tu ne le fasse qu’une fois…

Ah bah, je me sens mieux moi ! Bon, pour ce qui est de bloguer…

Rush hour 3Critique express : Déchainé et déjanté, bien mieux que le 2. A voir.

Rush Hour 3 c’est  du grand n’importe quoi. En fait, le réalisateur abandonne toute justification de l’intrigue et des gags et finalement c’est tant mieux. On arrive  à un pur film de déconne, avec des scènes et des cascades qui s’enchainent à cent à l’heure. On devine bien sur de suite le « méchant » ainsi que la plupart de l’intrigue, mais ce n’est pas très grave parce que l’on est pas là pour cela. L’ajout du taxi français est  à mon sens très bon, par exemple quand il dit « moi aussi je veux être américain, je veux savoir ce que ça fait de tirer sur les gens sans raison ». Bref, un bon moment de détente.

Sa majesté MinorCritique express : Délirant et inconvenant, le film n’est ni pour les biens pensants, ni pour les idiots. A voir.

J’ai été voir sa majesté Minor un peu par dépit de l’actualité du cinéma. J’en suis ressorti par déçu du tout. C’est un film rapide, vif, qui, de part sa truculence, dérangera certainement bon nombre de personnes. Le premier symptôme est bien entendu une énorme vulgarité dans les dialogues, avec une tournure sexualoscatologique assez marquée. Ce qui est bien, cela élimine tout ceux qui pensent que le pipicaca est réservé aux petits enfants (alors que personne n’est à l’abri. personne). Le deuxième symptôme c’est qu’il n’y a pas de morale. T’es un enculé et t’embrouille les gros bœufs, et ça marche. En parlant de gros bœufs, j’ai entre-aperçu la roue de la fortune nouvelle édition, c’est édifiant… Bon, en gros, le film par dans un bon gros délire sur des bêtes mi-hommes mi-animaux, des dieux facétieux et des porcs un peu partout. Ça baise, ça proute et ça encule à tout va, mais final, c’est assez plaisant à regarder pour qui aime le genre.

Tout d’abord, je dois dire que je suis constamment étonné de la convergence dans la nature. Des choses que tout prédispose à différer finissent, grâce aux hasards de l’évolution, par converger vers une unique forme. Par exemple, j’observe un mimétisme frappant entre le mardi et le lundi, dans le genre journée merdique. Mais je m’égare. Ce matin, chose oh combien incroyable, je me suis réveillé avant mon réveil. Ce qui est déjà un mini drame en soit. Mais il existe une consolation à ce mini drame : on sait que l’on a le droit (inaliénable) à quelques minutes de glande en plus, mais comme on est réveillé, on est pleinement conscient du fait et ça donne presque une érection tellement c’est bien. Bien entendu, on éteint ce réveil de merde qui fait rien que nous faire chier. Mais il faut alors surveiller de temps en temps les minutes sur le dit réveil afin de ne pas trop dépasser l’horaire. Et c’est là le drame : les minutes avant l’heure fatidique ne passent pas du tout à la même vitesse que les minutes après. Je m’explique : avant 8h (exemple pris au hasard), je check un peu avant, il est 7h54. Dix minutes plus tard, je regarde à nouveau mon réveil, 7h56. Bien. Encore dix minutes après, 7h59. Toujours bien, il me reste une grosse et juteuse minute à ne rien faire qu’à penser à moi. Après 8h, je m’accorde une petite minute supplémentaire, dites la « encore un petit peu » minute. Je reregarde le réveil, et là, il est 8h30 !! Je suis à la bourre ! Vous expliquez ça comment vous ? Pour moi c’est un coup du destin. Lequel d’ailleurs avait bien pensé à moi avec ses gentils bouchons. Mais c’était sans compter son esprit facétieux et taquin qui le poussa à réserver toutes les places de parking (payant) où je me gare d’habitude pour un obscure politicien de merde. Et le comble, quand je vais pour payer à la machine, elle me mange ma pièce mais de ticket ! Si ça c’est pas un lundi…

Un jour sur TerreCritique express : De belles images, mais une thématique un peu mièvre. A voir pour les images.

La bande annonce de un jour sur Terre m’avait vraiment convaincu. Un reportage sans concession aux quatre coins de la Terre pour prendre la température de notre planète. Des images surprenantes et fabuleuses de notre globe. Soit, je dois bien admettre que les images sont belles, voir très belles même. Certes, les techniques de films et de prises de vues sont poussées et permettent d’avoir des clichés tout à fait exceptionnels dans certains cas. Mais un fléau ravage ce film : le commentaire. Déjà, il est réalisé par Monica Belluci (ou un clone de sa voix), ce qui immédiatement le rend à la limite du supportable (avec cet accent de merde qu’elle semble trouver cool). Mais son véritable problème est la thématique : ohhh les petits, les bébés, comme ils sont mignons, il faut les protéger, ils sont l’avenir… Pendant toute la durée du film. Autant dire qu’au début, ça passe, au bout de vingts minutes, ça lasse. Et ça ne s’arrêtera jamais, du début à la fin du film, ce n’est que larmes et apitoiement sur ces pauvres petits. Autre reproche de taille au film : on ne voit finalement pas tant de région que cela. On passe vingts plombes au pôle nord et dans le désert, mais on survole très rapidement la jungle. D’autre régions du globe sont tout simplement ignorées, par exemple l’Europe, l’Australie ou l’Asie. C’est très dommage car j’attendais un regard diversifié sur ce que propose la nature plutôt que des éléphants et des lions autour d’un point d’eau, ce que Discovery Channel fait très bien. En résumé, le film se serait assumé, comme d’habitude, cela aurait très bien, là, c’est juste passable.

Alors, si jeudi dernier j’étais jouasse et tout, là, cela ne va plus du tout. D’abord la grève elle ne s’est pas arrêtée jeudi soir, mais elle a continuée comme une merde que l’on étale sous sa chaussure, mais en plus, tout ces gros cons de parisiens n’avaient visiblement pris leur dispositions que pour jeudi. Bilan, vendredi matin, 1h20 dans le pif. Ah ouais, ça calme, comparé au record de la veille. Bref, ça serait bien que cette grève s’arrête de suite, parce que le matin, c’est pas mon fort de me lever tôt.

PS: Je ne compatis pas du tout avec les utilisateurs de transports en communs. Vous en chiez peut-être, mais moi, tout les matins, c’est bouchons et dioxyde de carbone. Alors merde.

ubuntu_petit.miniature.pngCa y est ! La version 7.10 de Ubuntu est sortie officiellement aujourd’hui ! Cette nouvelle version apporte son lot de nouveautés : les effets 3D activés par défaut, un nouveau Gnome, un centre de contrôle repensé (de nombreuses amélioration notamment sur le support des imprimantes, le changement d’apparence etc..). On trouve aussi sous le capot un nouveau serveur X, ainsi que pour la première fois un mode « failsafe » lorsque celui-ci ne veut pas démarrer. Si jamais il est cassé, alors un serveur X en mode compatibilité s’ouvre et permet de régler les détails graphiques. Pour l’avoir essayé, cela marche plutôt bien. D’autre part, un support étendu du bi-écran avec une interface idoine est vraiment le bienvenu. Seule ombre au tableau : Mon application Tilda, qui permet d’avoir une console « à la quake », se mets à buguer lorsque je désactive les animations. Ce n’est pas fatal, mais c’est dommage. J’attends avec impatience que son remplacent guake soit plus avancé. Bon, gusty c’est que du bon, à installer d’urgence !

A noter que j’ai reçu mes stickers Ubuntu, et que je ne vais pas tarder à en lancer la distribution… A suivre !

Ce matin, alors que je me lève avec la tête dans le cul, je peste contre moi-même. Il y a cette putain de grève qui va me faire chier avec un bouchon monstre. Il faut dire que hier je me suis fait mettre ma raclée par des gens plus résistants à la fondue bourguignonne que moi (et au vin aussi. et au frites aussi.). C’est donc avec un bienvenu gout de vomi dans la bouche que j’ouvre internet et ma fenêtre pour chasser les relents de barbaque semi-digérée.  Et là, surprise ! Tout est vert sur les autoroutes ! Une hallucination ? Même pas ! En fait, aujourd’hui c’est le jour où j’ai mis le moins de temps pour arriver au boulot. Il semble que l’ensemble des gens a pris peur et est parti beaucoup plus tôt. Ce qui tombe bien, car il est hors de question que je parte plus tôt, moi. Bref, vive les grèves dans ce genre ! Enfin on verra demain si elle est reconduite, les gens apprennent vite (quand il s’agit de faire les feignasses bien entendu).

Shoot them upCritique express : Pour : le film fait exactement ce qu’il annonce. Contre : il ne fait pas plus. Vraiment contre : Monica Belluci. A éviter.

Bon, bah c’est la grosse boucherie du début à la fin. Pas grand chose à rajouter. Le héros invincible (c’est franchement pratique d’éviter les balles) tue à qui mieux mieux et de plus en plus sans fin sans fin (ah non qu’une fois sans fin en fait, mais je me laisse entrainer par la répétition). Les méthodes pour tuer sont de mieux en mieux, mention spéciale pour la simulation interactive de robot-mixer-géant avec des pales d’hélicoptère. Bien sur, il y a Monica Belluci. Jamais belle et franchement moche, elle repousse ici les limites du repoussant, on voit même ses seins des fois, bref c’est atroce. A louer en DVD peut-être (j’ai dit louer hein), mais certainement pas au cinéma.

La vengeance dans la peauCritique express : Egale aux deux premiers opus, la fin de cette trilogie ne déçoit pas tant la recette a gardé de son punch.

La vengeance dans la peau fait partie de ces nouveaux films qui innovent en ne proposant plus des héros invincibles représentant le bien. Ici, tout est plus flou, plus gris, et surtout moins super-héros-que-même-avec-trois-balles-dans-le-buffet-je-fais-un-marathon, mais un peu quand même (enfin surtout plus que dans les deux premiers). Sinon, Bourne est toujours aussi en rogne après les vilains qui l’ont formés et lui ont tout pris, toujours une traque aux quatre coins de la planète pour un final en face à face. Fort heureusement la trilogie s’arrête là, parce qu’en fait on sent venir la répétition. Mon préféré des trois restera sans conteste le premier, même si l’héroïne est parfaitement détestable, heureusement elle meurt dans le deux, ouf ! Sur le plan technique, la vengeance dans la peau abuse beaucoup trop de la caméra épaule, au bout de vingts minutes on a vraiment mal à la tête (c’est peut-être aussi à cause du McDo, c’est jamais très bon ces choses là). Le scénario est quand à lui pas mauvais, sans trop de fioritures ni de rebondissements qui font complètement folko la plupart du temps. Pour conclure, je dirais que si on a aimé un des deux premiers, il faut foncer, sinon, il faut s’abstenir, tant la ressemblance est frappante.

99 FCritique express : Se voulant une satire de l’univers de la publicité, le film ne réussi qu’une débauche de drogue et de vomi. A éviter.

J’attendais beaucoup de ce film. Il faut dire que moi même je suis un fan assez distingué des publicités. Comme vous le savez tous, je ne regarde jamais (dans le sens de jamais, pas dans le sen de pas souvent) la télévision. Il faut dire que mon cerveau souffre trop, et c’est rapidemment insupportable. Pourtant, il existe une exeption à cette règle : les publicités. J’adore voir à quel point les publicitaires peuvent traiter d’abruti les téléphiles. Ce qu’il y a de mieux, c’est qu’ils en redemandent ! Enfin bref, j’étais bien jouasse qu’un film partage mon point de vue. Mais en fait, au lieu de quelque chose de bien fait et de cynique à souhait, on se retrouve dans du gros n’importe quoi, avec plein de drogue surtout. En fait, c’est plutôt un film sur la drogue et ses méfaits qu’un film sur la publicité. Cela déresponsabilise complètement le protagoniste principal, ce qui est bien dommage. On le voit se faire trimballer à droite et à gauche, sans vraiment savoir si il est conscient ou dans son trip. Moi ce que j’aurais voulu, c’est un type bien dans sa peau, qui déchire les autres mecs sans scrupules, et qui l’assume du début à la fin. Ca, ça aurait fait réfléchir. Mais mettre la drogue, la séparation dans l’histoire, c’est pour finalement que le film soit acceptable pour la masse informe des spectateurs, celle là même qui regarde les publicités avec un oeil bovin avant le téléfilm du jeudi soir. C’est bien dommage un bon film qui se retrouve complètement baclé. Quelques bons moments à retenir sur la pseudo investigation du milieu publicitaire, mais sans plus.

Chers amis,

C’est le coeur empli de joie mais aussi de tristesse que je viens vers vous. En effet, il serait bien possible que ce blog soit menacé d’extinction. Non pas que je n’ai plus de contenu à fournir, loin de là (même si je suis pas dans les périodes fastes de juille/août, il reste du débit). Non, tout simplement parce que j’ai explosé la limite des 20 Go imposé par 1and1. Alors moi personnellement, cette limite, je savais pas qu’elle existait, on ne m’en avais jamais parlé. Mais alors, me direz-vous, si tu as explosé la limite, que comment quoi donc cela se fait que l’on puisse te lire ? Hé bien c’est très simple, petit louveteau : 1and1 bascule directement sur la facturation au mégaoctet. Paf. Alors tout de suite, ça commence à faire mal au cul (il faut dire un hébergement gratos pour trois ans, c’était trop beau…). Il faut dire que ça va vite: chaque giga, c’est à peu près 0.75€, et les gigas ça défile… J’entend d’ici les mauvaises langues qui disent que c’est pas possible, que j’ai pas autant de lecteurs, pas autant de débit… Hé bien je répond à ces mauvaises langues, que si, d’abord. Ensuite, il y a des post avec des vidéos, que je mets pas en lien pourri sur un site avec des milliards de pubs. Mine de rien, une vidéo de 30 Mo vue par 30 utilisateurs, ça fait déjà un giga. Hé oui. Ensuite, je mets un point d’honneur à vous trouver toujours les images les plus hautes résolutions possible, à toujours héberger les images sur le blog et pas ailleurs… Bref, ça va vite.

Bon, il y a aussi peut-être un peu le fait que j’héberge aussi un autre site sur le même abonnement, qui propose le port semi-officiel de deluge torrent (un client bittorrent). Mais est-ce réellement ma faute si il a autant de succès ? Hmm ? Je ne crois pas.

Bon, tout cela pour dire, qu’au final, il faudra bien que je migre d’une manière au d’une autres (il est hors de question de payer 30€/mois pour un blog et un site). J’ai regardé, en France et en Europe c’est pas folichon ce qui est proposé niveau hébergement… Au états unis c’est déjà mieux, mais j’hésite à cause des débits… A suivre !

wordpress.jpgCa y est, la version 2.3 de wordpress est sortie.

Pas de nouveautés avec cette version, dont notamment un système de tag qui se rajoute et complémente celui de catégorie. Sinon, il est plus rapide, propose plus d’options à l’édition, et normalement se mets à jour quasiment tout seul. Bref, que du bonheur. Comme d’habitude, la procédure de mise à jour prend deux secondes.

En tout cas,
C’est arrivé aux Etats Unis. Reste à ce que ça fasse le voyage vers la France, puis un autre petit voyage en France. Bientôt je lâcherais les badges aluminium Ubuntu sur la terre (enfin dans la limite de mes stocks). L’image est celle de Martin Owens qui est visiblement en train de les trier.

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NewTux.pngUn nouveau site vient de faire son apparition : LinuxPreloaded

Ce site s’adresse à tout ceux qui veulent d’un ordinateur avec Linux pré installé. Et oui, tout le monde n’est pas un pro de l’informatique. Ce n’est pas pour cela que l’on a envie d’acheter les infâmes Windows et OS X et par là même d’être un bon mouton. Donc, il ne reste plus qu’à trouver des vendeurs qui proposent du Linux pré chargé. Ce qu’il y a de bien dans cette liste, c’est que l’on voit que plein de vendeurs sont disponibles pour la France ! Donc il n’y a plus aucune excuse (enfin les modèles ne sont pas tous transcendants, loin de là).

Vous noterez le nouveau pingouin Tux à gauche, qui est une version remise au goût du jour de notre bon vieux manchot (qui est quand même plus mignon et sympa qu’une fenêtre quatre couleurs ou une pomme croquée).

Sur le blog de Rob Weir (très bon blog en général), on peut trouver cette image qui reproduit les différents formats Microsoft au cours du temps. Ce qu’il est intéressant de noter, c’est que systématiquement  Microsoft a abandonné son propre format d’une version à une autre. La question qui se pose : pourquoi serait-ce différent cette fois ? Surtout qu’ils peuvent très bien l’abandonner au bout de 5 ans par exemple. A lire aussi (on le trouve dans les commentaires du premier article), cet article sur les interrogations (légitimes) sur le format VML et OOXML. Il faut savoir que le VML est un format qui n’est supporté que par Internet Explorer, avec des spécifications très floues (quand il y en a). Je vous engage à lire le premier commentaire de cet article, écrit par Stephane Rodriguez, qui sait de quoi il parle.

SickoCritique express : Édifiant sur le système de santé américain, le film fait parfois un peu trop jouer la corde sensible. A voir.

Michael Moore a toujours été adepte de la fin justifie (un peu) les moyens. Du coup, pour sortir ses compatriotes de l’inertie et de la merde qu’est leur système de santé, il n’hésite pas à plonger dans le cliché larmoyant. Donc on voit des pauvres mamans qui ont perdus leur p’tit, un mec que on le voit tellement que en vidéo que c’est louche quand à sa santé actuelle (je sais, c’est pas bien de se moquer des morts, mais j’ai aucune morale), etc… Bon, je pense que ces passages sont strictement réservé à l’audience américaine ou américanisante (sans coté péjoratif) qui est friande de ce genre de passages mièvres à souhait. Reste que pas mal de passages sont intéressant, par exemple quand on voit que les hôpitaux jettent leurs malades dans un taxi afin qu’ils les déposent comme des déchets dans la rue, ça fait un peu froid dans le dos… En tout cas je me suis bien promis de ne pas tomber malade aux états unis. S’en suis une comparaison avec les autres pays, où tout semble rose… Mention spéciale pour la France bien sûr, où c’est carrément tellement le pied qu’un couple moyen gagne 7000€. Là où ce couple fait fort (dans l’hypocrisie) c’est que la femme ose déclarer que c’est les légumes sont budget le plus gros sur le mois ! C’est sur avec tout les poireaux qu’elle s’enfile cette salope ça doit douiller… Enfin bref, ce sont des laches sales et gerbants, on va pas les refaire. Un passage par Londres aussi où j’envisagerais déjà plus de tomber malade. Ce que j’ai trouvé beau, c’est un ancien politique qui déclare : « Lorsque les gens sont bien nourris, en bonne santé, éduqués et responsables ils se rebellent. » Ce qui est assez vrai je trouve…

Bref, le film n’est pas transcendant en soi, mais permet d’avoir un bon aperçu des différents systèmes de santé de part le monde. Il faut bien entendu prendre du recul par rapport à l’image.