monopoly-montcuq.jpgChers amis, l’heure est grave. Nous avons aujourd’hui la possibilité de prouver au monde que la France est le plus beau pays du monde. Il se trouve que Hasbro France, pour lancer son Monopoly France, a eu une bien belle idée. Surfer sur la vague .net 2.0 ajaxisant de la communauté, et proposer aux internautes de voter pour leur ville favorite pour qu’elle apparaisse dans le Monopoly France. Évidemment, ces pauvre markeuteux au cerveau aussi vide que celui d’une moule croyaient benoîtement que les gens allaient voter pour leur propre ville ou une ville proche (et dont tout le monde se fout, à l’instar de Dijon, qui n’est même pas sur les cases moutardes). C’était sans compter que le Web, c’est avant tout l’expression du plus petit dénominateur commun. Et si il y a bien quelque chose que tout le monde a, c’est SontCuq. Alors, le mouvement a pris de l’ampleur. Aujourd’hui, chers amis, nous sommes premiers, loin devant cette merdique ville de Dunkerque, que personne ne sait ou elle est. Mais Hasbro pourrait bien nous faire un coup de fennec dans le cuq. Il faut donc continuer à voter en masse pour Montcuq (qui, paraît-il, se prononce monquque, c’est pas grave, ça empêchera pas les blagues du genre « tu es sur montcuq, tu me doit 5000 euroks). Évidemment, « Rue de la Paix » pour Montcuq, c’est la porte ouverte à toutes les contrepèteries les plus salaces ce qui n’est pas plus mal. Il faut savoir que du 3 au 10 octobre, les votes seront toujours comptabilisés mais plus marqués sur le site. Il serait facheux que des gens votent en « masse » (ie truqués) pour d’autre ville. Il faut donc que MontCuq soit tellement loin devant que tout espoir de rédemption serait immédiatement vu comme de la triche.

Toi aussi vote ! Pour que Montcuq représente la France !
Comment voter: Il suffit d’aller sur le site idoine, de cliquer sur « Case Joker », et enfin de renter les informations suivantes:
Ville: MontCuq
Département: 46 – Lot

A noter qu’il faut une adresse email valide pour valider le vote, donc hop on va sur gmail, on se créer une adresse du type montcuq0923, et hop on vote ! Une fois que vous avez voter n’oubliez pas de le clamer haut et fort dans les commentaires, un tel vote, ça s’assume !

MediaDefender est bien connu des adeptes du peer to peer. Cette bien belle société s’est mis bille en tête de pourchasser et de faire chier par tout les moyens possibles les utilisateurs du peer to peer. En gros, la fin justifie les moyens. Du coup tout y passe : fichiers corrompus, faux sites webs pour piéger les internautes, la panoplie regroupe des techniques peu recommandable (surtout quand on condamne des pratiques dans le même genre). Mais revers du destin, un groupe de pirates a réussi à intercepter un joli paquet de 700Mo de mails divers et variés, avec dedans toutes leurs techniques détaillées, les mots de passes pour accéder aux sites, bref, tout… On trouve un compte rendu assez bien fait sur le site de TorrentFreak (qui est un des rares sites à bien supporter l’agrandissement de police). Du coup, des sites comme MegaNova en ont profité pour bannir les fichiers corrompus et les ips associées. Enfin, certains sites ont transformé l’archive mail en liste consultable sur le net.

Bref, ça sent le sapin pour MediaDefender. Moi ce qui m’a fait pisser de rire, c’est comment l’information a été récupérée en premier lieu, tout simplement grâce à cela (issu du nfo directement):

A special thanks to Jay Maris, for circumventing there entire
email-security by forwarding all your emails to your gmail
account, and using the really highly secure password: blahbob

Ah oui, protéger tout ses mails avec le mot de passe blahbob, j’aurais pas osé quand même.

benippon-logo.pngBon, cela fait un certain temps déjà que j’ai commandé, mais je n’avais pas eu le temps de revenir dessus. Vous le savez, je suis un gros fan de produit japonais, et quand j’ai voulu commander un manga en japonais, je suis tombé sur ce site. Quelques clics plus tard, me voilà avec les mangas + des tutoriels japonais photoshop + un mini artbook dans mon panier. Tout d’abord, les prix sont très raisonnables pour un site d’export japonais. En fait, on peut même calculer assez directement leur marge puisque les frais de ports sont sans marge (pas comme chez certains concurrents…). Bref, cela arrange bien nos affaires. D’autre part, si on est impliqué dans un projet open source, on a le droit à 3% de réduction. Moi je trouve cela franchement génial de leur part, c’est vraiment une belle manière de remercier l’open source (à ne pas manquer sur mon mon blog, bientôt des stickers métalisés ubuntu gratuits !). Bref, la commande est passée. Je m’attends à ce que cela prenne un certain temps, 15 jours plus tard, je reçois un email m’expliquant que ma commande est expédiée. Pour moi, c’est du délai standard. Pas pour eux ! Ils s’excusent pour le délai, et me donnent un bon de réduction (qui n’est pas négligeable) ! Sur le cul que j’étais. Mais c’est pas fini ! Les frais de ports sont finalement moins chers que prévus. Devinez quoi : ils me remboursent la différence ! Là j’étais plus sur le cul, j’étais carrément à l’étage d’en dessous. Jamais mais je dis bien jamais, dans toutes mes commandes internet (et dieu seul sait si j’en ai fait un paquet !), je n’avais des frais remboursés parce que c’était finalement moins cher ! Mais ce n’est pas fini, le plus beau est pour la fin. J’ai pour habitude de dire, que les marchants sur internet, pour gager de leur qualité, on ne peut le faire qu’en cas de problème. Quand tout va bien, c’est facile. Mais dès qu’un petit problème survient, il n’y a plus personne ! Enfin, là, il manquait le mini artbook. Je leur envoie donc un email (très courtois, je suis toujours très courtois dans ces cas là, cela ne sert à rien de gueuler). Réponse quasi immédiate, dans un français parfait (un de leur avantages pour les non anglophones), ils ont effectivement oubliés de le mettre dans le paquet ! Résultat: ils me l’envoie, à leurs frais, en express et il arrive quelques jours plus tard. Et avec d’autres excuses ! Franchement incroyable. Ah, j’ai failli oublier : un petit cadeau avec la commande, des petits biscuits japonais. C’est pas grand chose, mais ça fait plaisir. Pour finir cette éloge (parce que bon, j’arrive pas à leur trouver des défauts, c’est pas faute de chercher, vous me connaissez), un mot sur leur emballage: là aussi, c’est le meilleur emballage que j’ai jamais vu. Rien à voir avec ce que j’ai reçu de la part d’un vendeur eBay par exemple, ou même, pour rester dans le japon, d’autre exporteurs. Là, c’est tellement bien emballé qu’on lutte pendant dix minutes avant d’accéder aux livres, et on se demande si le staff de beNippon n’a pas travaillé dans l’emballage des cds audios avant :-).

En conclusion, beNippon, je recommanderais dessus, et je le conseille vivement à qui voudrait acheter de l’import japonais.

Comme on peut le voir sur le site noooxml, de nombreux pays ont finalement décidé que ce format n’était pas digne en l’état de devenir un standard ISO. Reste à voir ce qui va se passer d’ici Février, date du prochain round. Pour information, Microsoft est suspecté (lire : on en est certain mais c’est difficilement prouvable) d’avoir entaché le processus d’irrégularités à la limite de la loi : inscriptions massives de partenaires juste avant le vote, vote « oui » sans commentaires au Danemark (alors que tous les autres votes étaient non) pour que le Danemark s’abstienne, pressions sur les gouvernements… Bref, rien n’est joué. Mais ce vote aura au moins le mérite de faire comprendre à Microsoft qu’on ne peut pas tout acheter.

ubuntu_petit.pngAhh… Linux… Il n’y a pas à dire, c’est fabuleux. En fait, ça permet de faire à peu près les mêmes choses que les autres systèmes d’exploitations. Mais là où il y a un vrai plus, c’est que ça permet de tout bidouiller jusqu’au fond. Nous allons voir que cela peut être mis à profit.

Tout d’abord, il faut savoir que j’ai un portable VAIO SX2 dont les brillants concepteurs se sont dit qu’ils allaient l’affubler de deux problèmes :

  1. Un ventilateur affreusement bruyant, qui se mets en route pour un oui ou pour un non (indice: il y a beaucoup plus de oui que de non, en fait, il y en a 99% du temps) . Bref c’est insupportable.
  2. Ce dit ventilateur ne propose pas d’interface de programmation standard, ce qui permettrait de le régler avec SpeedFan (sous windows) ou lm-sensors (sous linux) ou rien (sous mac os).

Donc, coincé avec mon ventilateur qui fait du bruit.
Mais je ne désespère pas, et, armé de vaillance, google un peu. Je tombe alors sur une page qui décrit un utilitaire ainsi qu’un module noyau, sony-laptop, qui devrait permettre le contrôle de différentes choses comme l’éclairage, le bluetooth, etc.. L’éclairage marche nickel chez moi, hum… Je m’aperçois alors que sony-laptop est le successeur de spic*, et de l’utilitaire associé, spicctrl.

Un petit
sudo apt-get spicctrl
à tout hasard… ça passe ! Merveilleux. Voyons voir ça…
Alors, -l pour le bluetooth, -T pour la température, et -f pour le fan ! Oui ! Enfin presque… Comme les ingénieurs de chez Sony se sont dit qu’on était vraiment rien que des gros cons, un processus tourne en tâche de fond (indépendant de l’OS) pour ranimer le ventilateur en fonction de la température…

Bah, c’est pas grave, je suis un sale:
while true; do spicctrl -f 15; sleep 0.05; done
Ah… Bonheur ! Au début je sens bien que le ventilo lutte pour rester à grande vitesse mais il finit bien vite par plier sous les assauts de mon while true. Mais c’est pas encore optimum comme solution… Je sens que je peux faire un mieux. Mais bon sang c’est bien sûr ! C’est un programme open source ! Un petit tour sur le site, on décompresse, un joli .c en sort.

Hop ! Je modifie l’instruction de ventilateur avec une boucle, un make, ça compile nickel, le tour est joué ! Un nouveau spiccontrol tout beau tout neuf.

Il ne me reste plus qu’à créer des entrées dans les menus pour avoir une interface éfficace pour gérer et mon bluetooth et mon ventilateur.

Linux, Ubuntu, Spiccontrol, GNU et tout les autres, mes oreilles vous disent merci !

TransformersCritique express : Creux et sans intérêt, le film ne se rattrape que par les effets spéciaux. A éviter.

Transformers est des ces films qui se révèlent être exactement ce qu’il paraissent. Dans le cas qui nous intéresse, une magnifique démonstration de la part des infographistes. De la part du réalisateur, on du mal à ne pas croire que c’est un amateur, tant le film est bourré de cliché vu et archivu. On notera au passage la pub absolument gerbante pour eBay en plein milieu du film. Incroyable. L’humour CM2, pipi caca zezette est bien présent tout au long du film, vous pouvez vous rassurez vos chères têtes brunes pourront se bidonner (comment c’est du vécu ?). Le scénario est tellement petit que le sous-titre du film le décrit de manière complètement exhaustive (notre guerre – leur monde). C’est chouette comme ça on se fatigue pas les méninges. Pour finir, même si c’est des robots de 50m de haut qui se battent en pleine ville, il n’y aura pas un seul mort civil pendant toute la séance. D’ailleurs c’est bien marrant, on voit un robot gros comme trois immeubles qui tombe, et là miraculeusement les gens se retrouvent dispersés autour de lui. C’est beau, non ? Autre point bien marrant. Tous les « bléssés » remuent pour bien montrer qu’ils sont pas morts. Oui, je veux dire, logique, j’ai cinq côtes brisées, les jambes en miettes, donc, au lieu de rester bien tranquille par terre, non, je geints comme une merde en me balançant de gauche à droite. Voilà comme je me suis retrouvé victime du syndrome « je ris tout seul dans la salle » (je dois vraiment être un sale con, j’ai pas rit quand le monsieur il était tout nu). Bref, la fin explose tout les records de clichés, avec le mec bouteneux qui se fait la bombasse sur le capot et sous le regard bienveillants des robots qui se sont dit qu’ils partaient-ah-bah-finalement-non. Donc si vous aimez les effets spéciaux… peut être… sinon il y a mieux.

Ah… nostalgie… Suprnova, le site mythique, qui avait été mis à bas par les coups féroces et répétés des majors, revient en force ! En fait, l’admin de l’ancien site a donné le nom de domaine aux administrateurs de PirateBay, qui sont connus pour envoyer chier la plupart des teneurs de copyright (MPAA, RIAA & co). A leur grand dam d’ailleurs. Toujours est-il que cela fait bien plaisir de revoir Suprnova comme avant. Comme ça, je saurais enfin où je peux trouver facilement mon pr0n mes distributions linux…

Maintenant, les spammeurs se disent que l’on est bien au courant du spam classique par email. Alors pour varier, ils envoient des vraies lettres.

droa.jpgUn magnifique exemple avec cette lettre que j’ai reçu parce que  oh mon dieu je vais perdre mon nom de domaine. Ou pas. Mais en tout cas, c’est vraiment dans mon intérêt de renouveler avec Domain Registry Of America (qui s’abrège en DROA, à mon avis, quand on a qu’une seule lettre de différente avec DOA, c’est pas bon signe), ces gros arnaqueurs aux prix défiant toute concurrence. J’en veux pour preuve la lettre ci-contre.

On y apprend que je peux profiter de vrais prix vraiment intéressants sur les noms de domaine si je vais avec eux.  En fait, il faudrait vraiment que j’aille chez eux, mais pour que cela reste légal, il est écrit que je ne suis pas obligé (encore heureux !). Bref, 26$ pour un nom de domaine, c’est donné. Sachant que sans trop creuser, on trouve du 10€/an pour les noms de domaines et que il est possible en poussant un peu de descendre vers les 6-7€. Bref, un bel attrape pigeon. A noter que la lettre de réponse spécifie une adresse en Angleterre (que j’affranchis moi même bien entendu). Eh oui, Domain Registry Of America est une société anglaise ! Mais forcément, ça fait « officiel »… Donc pour moi rien de plus de que du gros spam et de la grosse arnaque, mais si jamais quelqu’un avait un doute, surtout, ne pas répondre à cette lettre ! Il suffit de renouveler comme d’habitude chez son fournisseur préféré, qui n’est plus  en ce qui me concerne namebay depuis qu’ils ont augmentés leur tarifs de manière abusive (notamment 2€ la gestion des DNS, il faut pas déconner), ovh&co sont bien moins cher. Mais bien entendu l’année prochaine, je vais recevoir la même lettre… Dur le succès…

RatatouilleCritique express : Bien ficelé et cuisiné à point, ratatouille saura convaincre sans peine les amateurs de cuisines et les autres par la justesse  de son ton. A voir.

Surprise de l’été 2007 ! Ratatouille est un film bien meilleur qu’il n’y paraît au premier abord.Il faut dire que la bande annonce à de quoi en dégouter plus d’un. Soyez rassurés : le film est vraiment bon. Premièrement, il impose un rythme vraiment rapide et ne s’appesantit pas sur les détails inutiles. On suit donc sans ennui les aventures d’un rat qui devient cuisinier. Ce qu’il y a de bien, c’est que l’enthousiasme du rat pour la cuisine est vraiment communicatif. D’ailleurs je déconseille d’aller voir ce film le ventre vide, c’est un vrai supplice tant on bave devant la cuisine. Ensuite, le film reste frais sans tomber dans le mélodramatique, et réaliste tout en préservant une part d’imaginaire et de loufoque. Bref c’est très équilibré et digeste (ou je sais je fais que des allusions à la cuisine, ça a été déjà fait dix mille fois pour ce film, blablabla… je m’en fous). Un film donc à aller voir d’urgence au cinéma (en ayant mangé je le rappelle) !

Mise à prixCritique express : Devant être l’apologie de la boucherie jouissive et explosive, le film ne sera qu’une succession de mini scénettes assez peu convaincantes. A éviter.

La bande annonce, fort alléchante, nous promets monts et merveilles d’affrontements entre grosses pointures, avec moults rebondissements. La réalité du film sera tout autre. D’une linéarité sans nom, l’histoire se déroule finalement bien lentement  pour ce qui est censé être un film d’action. De plus, le scénario, si il tente la confusion pour simuler la richesse, se révèle être bien plat et bien creux. La fin est devinée tellement à l’avance qu’elle ne sert plus qu’à nous faire perdre notre temps. Un des gros points noirs du film est que les protagonistes ne se retrouvent pas pour un point d’orgue (ou des points d’orgue), dans un affrontement final où chacun abats ses cartes et où l’on compte les points. Non, là c’est plus du DOA, je veux dire un tournoi par paire avec élimination directe. Forcément à la fin il y a moins de monde. Bref, c’est tout moisi. Le jeu des acteurs est quand à lui désastreux, on ne croit pas une seconde aux brigands et autre arracheurs de têtes. C’est trop surjoué, du coup c’est pas crédible deux secondes. A part cela, rien à dire sur ce film, si ce n’est qu’il est raté et bien raté par rapport à ce qu’il aurait pu être. Dommage.

You kill meCritique express : Partant d’un bon principe, le film traine trop en longueur. A éviter.

Se situant dans l’univers de la mafia, le film reprend les thèmes des films comiques avec des mafieux : un tueur à gage, suite à une boulette, se retrouve projeté dans un cadre tranquille pour lequel il n’est bien évidemment pas du tout adapté. Il doit donc s’adapter avec plus ou moins de bonheur. Hélas, le film ne fait finalement que peu de passages comiques, se concentrant sur les difficultés de sortir de l’alcoolisme (à croire que le réalisateur est un ex-alcoolique). Les acteurs, sans être mauvais, sont assez peu attachants. Le défaut de diction (du moins dans la version française, mais je pense que c’est fait pour coller à la VO) du tueur à gages est assez insupportable au bout de dix minutes. L’happy end arrive sans surprises et sans rebondissement. Ce qui nous laisse au final cette impression de platitude tout au long du film. Pour un scénario de genre, plus d’épices était la règle à respecter.

Attention 18+ ! Piqué sur le site de CultureSex, qui ma foi est parfois assez marrant, une petite vidéo d’une course nudiste. D’habitude ce genre de chose me laisserait indifférent, mais là, je sais pas, ça m’a arraché un sourire… Ca a un petit coté irréel, de voir cette libération des vêtements dans le cadre d’une manifestation sportive (qui par essence qui est assez encadrée avec des règles). Voilà, voilà. Ah si, au milieu, ne pas louper la pauvre fille qui est obligée de tenir ses seins parce que sinon elle se les prends dans la gueule (enfin probablement, vu qu’elle se les tiens on ne sait pas, mais supputer, c’est mon métier – et paf tu as pas vu la rime venir connard,).

wordpress.pngComme d’habitude, on se met à jour avec une nouvelle version de WordPress. Une faille de corrigée, deux trois bugs de virés, bref pas de quoi fouetter un chat… Pourquoi en parler alors me direz-vous ? Parce que 1) écrire un blog c’est une sacrée forêt dans le c*l, 2) si jamais par hasard ça cassait quelque chose sur le site, il faudrait couiner à qui mieux mieux comme des souris sodomites. Non mais.

Un blogueur Japonais du nom de Hatena (la traduction anglaise) a trouvé une méthode pour crasher IE6 avec une seule ligne de code. Balaise, non ? Moi je dis les navigateur de chez cro$soft, c’est robuste à la base…

Voici le code incriminé:
<style>*{position:relative}</style><table><input></table>

J’ai mis la page qui reprend le code en ligne, attention ne cliquez que si vous êtes préparés à un crash (à moins que possédant un cerveau performant, vous n’utilisiez pas IE, voire même vous n’êtes pas sous Windows ?).
Bref comme d’habitude on se marre bien avec IE.

contact-list.pngIncroyable. De toute ma vie d’internaute, même aux tout début qu’on se posait pas la question et qu’il n’y avait que icq, il y avait plus de monde. Mais là, c’est la fin. Internet a disparu ! Tous en vacances ? Impossible ! Au travail ? On est dimanche à 17h30 ! Il n’y a rien d’autre à faire que d’être sur Internet, putain ! Et ces contacts… Rien que des mecs que j’aime pas… Rien dans famille… Où êtes vous mes proches génétiques ? Je suis pris d’un brusque doute : il y a un truc mieux qu’Internet, plus fort, plus puissant, plus large. Et tous les gens sont partis dessus. Pourtant, Internet devrait en parler si c’était ça ! Ce n’est pas non plus ce faux concept de « real life » que j’ai testé pendant tant d’années. Et puis, un rapide coup d’oeil dans les méandres me rappelle que Internet, c’est toujours aussi bien. Non, je dois me rendre à l’évidence : les gens sont tous morts, en masse. Je suis donc un des rares et uniques représentants de l’homme sur la terre. Vite il faut que je trouve les femelles.

flash_logo.jpgHop ! On se tient à la page avec le nouveau player flash pour mater les vidéos (de qualité) qui, parfois, échouent sur mon blog.

D’ailleurs comme la technologie c’est rien que le mal, si jamais cela ne marchait pas chez vous, il faudrait très vite le crier très fort comme un porc guinéen qu’on égorge. Bien entendu, je vais probablement répondre que c’est votre faute, puisque ça marche chez moi et que je suis parfait.

Les Simpson - le filmCritique express : Finalement moins décalé et original que ce que l’on aurait pu attendre, le film n’en reste pas moins agréable à regarder. A voir.

Forcément, pour le film des Simpson, on s’attend à du gros, du lourd mais surtout du fun. Au final, je pense que c’est ce qui manque le plus à ce film. Il y a trop de non-action, de plan niais (normalement dans les épisodes c’est à la fin). Après, cela ne veut pas dire qu’il faut jeter le film à la poubelle, loin de là. Par exemple, les trouvailles avec le cochon sont excellentes. Mais pourquoi le faire disparaître aussi tôt dans le film ? Autre problème : A force de vouloir faire figurer tous les habitants de Springfield dans le film, cela ressemble à un gros bordel et aucun n’a un rôle significatif. Du coup ça part dans tout les sens, il y a assez peu de trame « construite », et on se retrouve avec une successions de sketchs qui n’ont que peu de rapports les uns avec les autres. Certains sont hilarants, d’autres très approximatifs… Il n’y a qu’un seul Itchy&Scratchy ! Scandale. En résumé, ce qui manque à ce film, c’est la grandeur que l’on attend d’un film par rapport à un épisode. Du coup on se retrouve avec un super épisode… C’est pas désagréable mais ça aurait pu être beaucoup mieux.