Ha, les joies de l’archivage…

Je suis tombé sur une gemme, le tout premier jeu vidéo que j’ai jamais programmé (en 1992 !). Il s’agissait de retrouver des croix masqués par le « brouillard »… Très con mais finalement assez prenant. Il tient en seulement une trentaine de ligne. A noter qu’à l’époque, « GOTO » était une sorte de mot clé magique, sans relation avec la traduction :p

Sans plus attendre:
10 CLS:SCREEN 1:RANDOMIZE TIMER
11 INPUT "QUEL TEMPS VOULEZ-VOUS";T
12 IF T>1000 THEN PRINT "TEMPS TROP GRAND":GOTO 11
13 INPUT "QUEL NOMBRE DE COUPS VOULEZ-VOUS";C
14 IF C>500 THEN PRINT "COUPS TROP GRANDS":GOTO 13
17 IF T=0 OR C=0 THEN GOTO 11 ELSE GOTO 19
19 CLS
20 COLOR 1,1
40 LINE(16,16)-(295,167),1,BF
70 FOR I=0 TO 5
80 T(I)=INT(RND*36)+3
90 S(I)=INT(RND*19)+3
95 NEXT I
100 X=20:Y=12:A=1
110 R$=INKEY$
120 IF R$=CHR$(54) THEN X=X+1:LOCATE Y,X-1:PRINT " "
121 IF R$=CHR$(52) THEN X=X-1:LOCATE Y,X+1:PRINT " "
122 IF R$=CHR$(56) THEN Y=Y-1:LOCATE Y+1,X:PRINT " "
123 IF R$=CHR$(50) THEN Y=Y+1:LOCATE Y-1,X:PRINT " "
131 IF R$=CHR$(53) THEN A=2 ELSE IF R$=CHR$(48) THEN A=1 ELSE GOTO 132
132 IF R$="" THEN C=C ELSE C=C-1
133 T=T-1
135 LOCATE Y,X:PRINT CHR$(A)
136 LOCATE 23,1:PRINT "TEMPS:";T;" ";"COUPS:";C;"SCORE:";T+C
140 FOR I=0 TO 5
150 IF T(I)=X AND S(I)=Y THEN LOCATE Y,X:PRINT "X" :X=20:Y=12:BEEP:T=T+500:C=C+100:H=H+1
151 IF T=0 THEN CLS :LOCATE 12,16:PRINT " THE END":GOTO 170
152 IF C=0 THEN CLS :LOCATE 12,16:PRINT " THE END":GOTO 170
153 IF H=5 THEN CLS:LOCATE 12,17:PRINT "GAGNE!":RUN"JEUX
155 NEXT I
160 GOTO 110
170 CLS:INPUT "VOULEZ-VOUS VOIR LES CROIX (O/N) ?",Z$
180 IF Z$="" THEN GOTO 170 ELSE IF Z$="O" THEN CLS:FOR I=0 TO 5:LOCATE S(I),T(I):PRINT "X" :NEXT I
190 RUN "JEUX

Dead Or AliveCritique express : Culs. Seins. Salopes. Nichons. Voilà le résumé de ce film, et j’en rajoute. A éviter bien sur !

Ouiiiii. Je l’ai fait. De mon propre gré, avec ma propre force, avec mes propres jambes, je suis allé voir DOA (qui se prononce d’ailleurs déauha, j’étais mort de rire, ça me fait penser à un parfum). Coup de stress. Quelqu’un va me voir, me reconnaitre ! Non ! Je vais être à jamais discrédité ! Je me rue vers les bornes automatiques, hop tac tac mon billet est près, 4 à 4 je monte les escaliers, un coup d’oeil furtif aux alentours, et je me jette dans la salle de cinéma. Ouf !

Un petit coup d’oeil à la salle, remplie de kékés : parfait ! C’est justement le type de public, genre gros con niais, qu’il me faut pour apprécier le film à sa juste valeur. Mon voisin bave déjà d’excitation sur sa banquette. Bref, le film commence. Dès les premières images, saturées à mort, et les premiers dialogues, je sais que le film ne me décevra pas. Première réplique :

« Princesse Kasumi, votre frère est mort. »
« Avez-vous vu son cadavre ? »
« Non. »
« Alors il n’est pas mort. »

Oh putain ! Comment tu l’as mouché ! Trop forte kasumi. Autre détail intéressant révélé par les toutes premières secondes du film : le doublage sera à chier. Passons au recrutement des salopes pour le tournoi de DOA. Kasumi (qui est habillée de lourdes étoffes en synthétique) s’échappe de son château en défiant les lois de la physique et surtout en cachant habilement sous ses habits un mini deltaplane (mais, pourquoi étais-je le seul à rire à ce moment ?). Alors qu’elle plane dans les airs, un shuriken, surgit de nulle part, « fwhouwhouwhouwhouwhou« , lui arrive dans les mains. Probablement que les organisateurs avaient affrétés une flotte complète d’avions qui tournaient autour avec des shurikens au cas où. Mais passons je suis mauvaise langue.

Deuxième recrutement : Une grosse salope (c’est l’héroïne numéro deux) dans sa chambre d’hôtel arrive à échapper à la police grâce un bien ingénieux stratagème : pendant que son soutien gorge et un pistolet font l’aller retour vers le plafond (à la même vitesse, hein), soit pendant environ 2 secondes, elle mets KO deux mecs, va pisser, se faire une bière et j’en passe. J’en rajoute peut être un peu, mais là encore, je ne comprends toujours pas pourquoi l’assistance se muait en « hooo » et pas en « hahaha ». Alors qu’elle fonce à environ 150km/h dans la ville, un « shuriken magique » la rattrape et l’invite.

Troisième recrutement : Une grosse salope (c’est l’héroïne numéro trois) se fait dorer au soleil. Arrivent des méchants pas bien malins (et très moches) de s’en prendre à l’héroïne (on nous le fait bien comprendre). Ils s’en iront bien dépités. Un shuriken magique surgit de l’eau et l’invite.

S’ensuit un comique passage de présentation des autres concurrents, puis d’un autre comique passage où les filles, pas super super douées avec leur parachutes, sont obligées de s’entraider pour grimper à un bâtiment sans escalier (qui pullulent de nos jours, scandale). Elles deviennent alors les plus grandes amies du monde, et sont très complices. C’est normal, leur QI de 0.2 vient d’entrer en résonance.

Le méchant fait alors son apparition. Facile de le repérer, c’est le seul personnage du film qui n’est pas jeune et beau. On devine tout de suite qu’il a un vilain plan machiavélique lorsqu’il injecte des nano-robots aux concurrents (la technologie c’est mal).

Je n’épiloguerais pas sur les combats, tous plus ridicules les uns que les autres. Ca bastonne comme une merde, le coup favori étant le coup de pied éviter puis re coup de pied en contre attaque etc… Jamais, mais jamais il n’y aura une goutte de sang. Non, pas de sang. A peine de la sueur de temps en temps, mais très peu.

Pause Beach Volley. La caméra en profite pour descendre de 40 bons centimètres, elle ne les regagnera jamais.

Arrive la fin, grandiose. On découvre que le méchant est un méchant, et qu’il a un plan vilain : utiliser les nano robots pour enregistrer les techniques de combats, puis les revendre à des puissances étrangères ! Trop vilain le monsieur, punissons le par la mort ! Mais non je rigole, il est encore plus méchant que ça. Il a tué le père de l’héroïne numéro 4 (quelle grosse salope celle là) parce qu’il s’opposait au projet. Il a tué quelqu’un, donc on le tue. C’est facile la justice dans DOA. Parce que de toute façon, à part le méchant, c’est tous rien que des gentils qui se battent pour l’amour du combat.

Voilà, le méchant disparait dans les flammes et on a bien rit (enfin moi surtout, les autres hurlaient plus comme une meute de singes à la moindre apparition de fesse, autant dire que c’était courant). Un mot des effets spéciaux : avec Windows Movie Maker, toi aussi fait des films ! C’était à peu près le niveau. Mention spéciale pour l’explosion de la fin, ridicule au point de se demander si cela n’a pas été fait par un stagiaire sous payé.

Autre détail amusant (ce film en regorge) : tout les héros, mais tous, se maquent pendant le film. On ressort avec une belle flopée de couples fraichement formés. Bien entendu, personne n’est amoureux de la (ou du) même, c’est bien fait. Heureusement qu’ils étaient en nombre pair sur l’ile. Mention spéciale pour le couple le plus improbable de l’année, l’informaticien tout nul tout moche se retrouve à tringler la grosse bonasse héritière parce qu’en fait il en était amoureux depuis très longtemps et ça, respect, se branler pendant 5 ans sur un écran pour se taper la vraie ensuite, c’est pas donné à tout le monde.

Pour finir le descriptif de cette sous merde que l’on ose appeler un film, l’humour est omniprésent. Exemple : « Dis kasumi, hier avec hirohito c’était trop chaud… » (visage de kasumi qui réalise un simulacre de ‘je suis pas contente’) « Maiiiss nooon euuuh, je rigole, en fait t’es amouuuureeeeuse, kasumi elle est amouuureeeuuseeuh ». Ouah. Humour niveau CE2, pas mal. Donc il y en plein, mais que du CE2. C’est un peu triste parce que j’aurais aimé plus de variations, avec du CP, de la sixième etc…

Bref, ce film gros caca a répondu à toutes mes attentes et démontre brillamment l’ensemble des choses qu’il ne faut pas faire. J’ai tenté de faire de mon mieux afin de décrire l’indescriptible, mais c’est difficile, tant tous les détails nous rappellent que c’est une sous production à destination des gens qui font glouglou dans leur tête. En guise de final, je vous propose de réinterpréter, après visionnage du film, quelques citations des actrices prises sur le site officiel (qui est à mourir de rire):

  • Helena: « Ce film est un vrai plaisir pour les yeux ». Mais je veux bien te croire, je veux bien te croire ! D’ailleurs que serait-il d’autre ?
  • Christie: « J’ai du me couper les cheveux et me teindre en blond, et c’est vraiment comme un conte de fée ». Évidemment ! Tu avais déjà le QI, manquait plus que la couleur…(attention ceci est une blague raciste et sexiste. En fait les blondes elle ont un gros QI.)
  • Tina: « Je crois qu’à notre époque c’est cela qui définit les femmes. Elles sont à la fois sexy et indépendantes ». Tout à fait l’image de la femme objet que cherche à faire passer le réalisateur.
  • Kasumi (la femme limande): « Les personnages sont vraiment fascinants. Nous avons tous des couleurs de cheveux différentes ». Ouah putain ! Clair que c’est fascinant ! Eh ! Regarde ! Moi j’ai des lacets et toi des scratchs ! Faisons un film !

Bon, bah ça c’est fait. Reste plus qu’à vous dire au revoir les petits loups ! Heureusement que x2b4 est là pour rétablir l’équilibre face à des blogs corrompus, qui, je cite, trouvent, « ce film Dead or Alive pas si raté que ça ». Pas si raté ? On a pas du voir la même chose… A noter que ce vil blog utilise une police microscopique pour distiller son message de la manière la plus insidieuse qui soit.

Hot FuzzCritique express : Totalement délirant et décalé, le film fonce à 100 à l’heure dans les délires les plus fous. A voir !

Ils remettent ça. Après le très bon Shaun Of The Dead, voici l’excellent Hot Fuzz ! Un mot du scénario : le meilleur flic d’Angleterre (sa présentation au début du film est hilarante) fait de l’ombre à sa section. Il se retrouve donc muté dans une bourgade paumée et sympa, où il découvre les flics couleur locale… bourrés et pas très motivés. Forcément, le meilleur flic avec les pires, ça fait des étincelles. A commencer par le rétablissement de la « loi » dans le patelin. Cette première partie du film nous mets en jambes, avec des situations cocasses comme la chasse au cygne & autres. Mais, sous l’apparente tranquillité du village, se cachent des meurtres accidents très troublant. Hélas, notre superflic est le seul convaincu de leur cause non naturelle. Je n’en dévoile pas plus, mais les « accidents » sont tous plus fous les uns que les autres. Pour finir en beauté, il faut sévir ! Le final est tout simplement magnifique. On revisite le village comme dans la première partie, mais avec un tout petit peu plus de « muscles ». Je n’en dit pas plus pour ne pas gâcher la surprise. Le jeu des acteurs est excellent, avec des mimiques, des yeux perçants de flic vraiment bien joués. Les vannes fusent à tout va, ce qui rajoute encore du fun dans un film qui en est déjà bourré par ailleurs. Le scénario est lui aussi tout à fait délirant d’ailleurs. Enfin, les références aux autres films d’actions sont nombreuses, hélas ma culture étant limité sur ce point là, je pense en avoir loupé pas mal.

Bref, ce film c’est de la bombe ! A part si vous êtes mourant dans votre fauteuil, il faut foncer aller voir ce petit bijou d’humour et de fun décontracté. Un must !

Harry Potter et l'ordre du PhénixCritique express : A réserver aux fans des précédents films, cet opus s’enfonce encore un peu plus que les précédents. A éviter.

Harry Potter, ça a toujours été moins bien en film qu’en bouquin. Bon, ça c’est un fait. Mais comme la qualité des bouquins va en se dégradant (lire: un nouveau cheat code à chaque livre, le voyage dans le temps, l’invisibilité, la pièce qui fait tout ce que l’on veut, les pouvoirs de plus en plus fumés etc… ), les films deviennent franchement limite. Limite qui est dépassée avec celui-ci, parce bon, pour parler en termes magiques, on se fait quand même chier raz-la-baguette. Harry fait son kéké, Ron fait sont kéké, hermione on la voit pas, les autres protagonistes (qui sont pourtant dans le bouquin) disparaissent mystérieusement derrière les gros plans du visage de Harry (la magie ça ne s’explique pas, sauf grâce au faignantisme de l’équipe de production). Bref, on  en a un peu marre de les voir ramener leur tronche à tout bout de champs (aux trois principaux). Reste qu’au niveau du scénar, c’est pas facile facile de résumer des tomes de plus en plus gros dans des films à la durée limitée. Eh bien là, c’est raté. Si on  a pas lu le livre, franchement on comprends rien, ça part en live dans tout les sens, c’est décousu, il manque des gros détails (je ne spoile pas) et ainsi de suite. Les effets spéciaux sont juste juste, mais il n’y en a pas beaucoup. Non, la vraie réussite de ce film, c’est d’arriver à nous faire détester une espèce de pimbêche en rose. C’est assez fabuleux : une minute après l’avoir vue, l’ensemble de l’assistance était prise d’une irrépressible envie de lui fracasser la tête contre un mur, à répétition pour être bien certain de l’effet souhaité. C’est tout l’avantage du cinéma par rapport au théâtre, où cette pauvre actrice n’aurait hélas fait qu’une seule (et courte) prestation. Bon bref, on la hait à mort, et c’est tant mieux parce que c’est comme ça dans le livre aussi. Pour le reste, c’est tellement peu folichon qu’on se dit que plus de 2h pour ça c’est légèrement abusé.

logo_free.jpgLe Grand Hargneux ayant décidé de me frapper de plein fouet l’autre chose, il envoya ses hordes de sbires néfaste réaliser un acte d’une bassesse et d’une vilenie à peine concevable : Mon ADSL coupé ! Argh ! Triple argh ! A la limite de l’apoplexie, je me rue sur mon téléphone (après avoir attendu pour voir si ce n’était pas passager, hein) pour appeler l’assistance de Free. Et là, je tombe dans la quatrième dimension. Quand je met dialogue avec Mars, c’est autant au niveau de la langue, des concepts que du lag téléphonique. Explications.

Tout d’abord, l’attente obligatoire (parce que je suis sur que même si il y a 10 personnes qui branlent rien à l’autre bout du fil, ils mettent de l’attente, mais je peux pas le prouver, j’en rage !). Rien de bien méchant, j’ai eu pire. Au bout que 5 minutes, on me mets en correspondance. Et là, ça fait « touuuut » genre une sonnerie puis plus rien. « Allo ? Allo ? », j’envoie en vain des pings dans la boiboite qui ne me répond que par un mépris silencieux. Au bout de 2 minutes (alors que 95% des gens ont raccrochés pensant que le système était bugué, mais à moi, on me la fait pas) quelqu’un  me répond! Incroyable non ? Mais ce n’est que le début de ma souffrance. Voici la transcription de ce fabuleux dialogue qui restera dans mes annales d’un des pires supports téléphoniques que j’ai pu avoir.

Opératrice : Bonjour Monsieur, que puis-je faire pour vous ?
Moi : Oui bonjour, j’ai ma Freebox qui des problèmes de synchronisation. Cet après midi la connectivité était intermittente, mais ce soir qui à un hard reset la freebox n’arrive plus du tout à se synchroniser. Je voudrais savoir si vous avez des informations là dessus (je dois répeter ensuite en termes plus simple, le mot intermittent étant vraiment trop compliqué).
Opératrice : Euh oui donnez moi votre numéro de fixe.
Moi : 012345678.
Opératrice : Hum, oui, patientez un instant…
C’est le début du « patientez un instant ». Un instant, c’est à dire une minute ou deux. Visiblement elle devait avoir trois clients à la fois, ou alors elle est complètement décérebrée.
Moi : Allo ?
Opératrice : Oui merci d’avoir patientez, est-ce que vous pouvez faire un hard reboot de votre freebox ?
Moi : Euh oui si vous voulez, je viens d’en faire un mais bon.. (faut pas contrarier – débranche, rebranche, etc…). Voilà, c’est fait.
Opératrice : Oui, patientez un instant…
Deux minutes plus tard
Opératrice : Oui, il semblerait que vous ayez des problèmes de synchronisation.
Moi : Sans déconner ?
Opératrice : Veuillez effectuer un reset de votre Freebox.
Moi : Encore ?
Opératrice : Oui, oui, mais patientez un instant…
Moi : Voilà, c’est fait, mais ça ne marche toujours pas !
Opératrice : Ah bon? Patientez un instant…
Moi (un tout petit peu moins calme qu’au début): Oui je patiente…
Opératrice : Il faudrait changer le bloc d’alimentation.
Moi : Pardon ?
Opératrice : Oui, essyez un autre transformateur.
Moi : Euh non, je suis sûr que ce n’est pas mon transformateur qui est en cause.
Opératrice (visiblement suprise) : Ah bon ? Patientez un instant alors… Veuillez changez la connectique s’il vous plait monsieur.
Moi : De quoi ?
Opératrice : Oui, changez les câbles quoi (sans rire ?)
Moi (c’est fini): Bon écoutez. Ma Freebox est sur une bloc ondulé avec d’autres dispositifs, de plus elle s’allume. Ce n’est donc pas le bloc qui ne marche pas. De plus, mes câbles sont colletés et n’ont pas bougés depuis deux ans. Enfin, si jamais un câble était en cause, je n’aurais pas un symptôme intermittent pour ne plus rien avoir après un hard reset. Moi ce que je veux savoir, c’est si de votre coté vous avez un problème sur mon DSLAM.
Opératrice : (bloquée)
Moi : Allo ?
Opératrice : Oui patientez un instant…
Opératrice : Oui donc j’ai fait remonter un ticket GAMOT (putain) et si jamais tout va bien sur votre ligne, on vous enverra un technicien en vous prévenant par SMS.
Moi : Eh ! Oh ! C’est payant votre technicien non ?
Opératrice : Non non c’est gratuit monsieur !
Moi (n’en croyant rien): Ah bon ! Très bien, au revoir alors ?
Opératrice : Avez vous d’autres questions monsieur ?
Moi : (oui mais tu sauras pas y répondre pauvre cruche) Euh non non, au revoir…

Donc en gros si tout va bien, on est prévenu. Par contre si ça marche pas, aucune nouvelles…

Epilogue : Ma connectivité est revenue 24h plus tard. Deux jours après, ils ont effectivement  fait un test sur la ligne pour me dire que tout allait bien (bravo, mais bravo ! déplacer des techniciens FT qui n’ont que ça à faire, bien sur, c’est vraiment trop sympa).  Ensuite, on me propose de faire venir un technicien. C’est effectivement gratuit si jamais la cause n’est pas imputable à l’utilisateur (en gros le seul cas ou ça marche, l’alim ou la freebox crame et on n’arrive pas à s’en apercevoir). Sinon, 50€. Bref, encore du gros n’importe quoi. A noter que depuis quelques jours, maintenant je n’ai plus le téléphone Freebox… Ah, la joie !

Raisons d'etatCritique express : Film hyper lent et hyper mou, on assiste à un concert de violon illustré par des plans fixes. A éviter.

Le principe du film peut paraître bon, avec un fond de contre espionnage, de faux semblants, de surprises et tout. Il n’en est rien. Premièrement, on devine tout mais absolument tout tellement certains plans de caméras sont appuyés. Deuxièmement, la lenteur du film est franchement insupportable. En gros, l’action se résume à ça : plan fixe dans une pièce, sur un visage au premier plan. Le mec dit quelque chose. Gros séries de violons qui font pleurer les niais, puis pause. Changement de visage. L’autre mec dit aussi quelques chose. Violons. Rince&repeat. Atroce et douloureux, pas étonnant que ce film aie la palme des départs anticipés que j’ai vu au cinéma. Pour rendre le film plus « dynamique », c’est des flashs backs dans tout les sens avec une action découpée. Si ça donne mal à la tête, ça ne complexifie pas l’intrique tant elle est triviale. Bref une bonne tranche de vie de perdue avec ce film. Il faut l’éviter et vite !

Die Hard 4 - Retour en enferCritique express : Bourrin et jouissif, cette suite de Die Hard ne dément pas les trois premiers opus. A voir.

Quand des vilains méchants veulent mettre l’Amérique (avec un grand A) à genoux en piratant l’ensemble de leurs systèmes informatiques, on fait appel à qui ? A Bruce ! Bruce il est pas content parce que sa fille elle ne fait rien que de se faire sauter par plein de mecs, alors il est très vénère quand on lui tire dessus. Bilan, il va bien déchirer tout le monde (d’ailleurs il arrête pas de le répéter dans le téléphone-satellite que je reprogramme avec un doigt). Bref, ça tronche, ça explose, Bruce en pleine forme ! Le faire valoir n’est pas mal non plus, mais un peu en retrait je dirait par rapport à la très bonne performance de Samuel L Jackson dans le 3. Sinon, le scénario est devenu complètement invraisemblable, avec des approximations informatiques que c’est lol, des avions de chasses qui peuvent faire l’hélicoptère mais c’est pas grave, Bruce avec un camion il nique l’avion (trop balèze). Comme dans tout bon Die Hard, les méchants arrivent un par un sur Bruce pour qu’il puisse les gérer comme il se doit (par exemple en les envoyant dans le broyeur à glace). Donc au final, ça n’arrête pas, sauf avec la « happy end » obligatoire ou le hackeur barbu se découvre de la testostérone pour la fille de son sauveur (hyper-curieux, moi franchement je m’y attendait pas ! La suprriiiise).  Un bon film donc, à aller déguster au cinéma pour avoir les gros hauts-parleurs.

apple-logo.jpgDepuis le temps que je le répète que Apple c’est qu’un gros scam… Déjà quand on voit comment l’iPhone c’est une grosse bouse intergalactique bien fermée comme il faut (alors que OpenMoko, ça c’est de la balle). Et bien leur publicités, ils les rechoppent à droite à gauche en enculant bien sec ceux qui avaient eu l’idée au départ. D’autant plus que les gens ne sont pas d’accord pour la réutilisation… Ce qui me fait rire c’est que Apple c’est « think different » mais pour moi c’est plus la guerre des clones qu’autre chose (ouhla ça va pas faire plaisir aux fanboys ça). Enfin bon, si on aime le design cuvette de chiotte…

icon_timemachine.pngEn ce moment comme vous le savez tous, c’est la grosse memerde dans ma life avec des vrais trucs qui m’empêchent de procrastiner comme il faut, des échéances, que cela fait des mois qu’elles sont en retard de plusieurs mois, de mon travail payé qui s’obstine à se refuser à moi, bref toutes sortes de choses qui font que je ne peux pas bien me consacrer à mon blog comme il faudrait. C’est pas grave, x2b4 il est pas con pour deux sous, il a la solution ! La solution c’est le post anti-daté (et non pas anté-daté). En gros, au lieu de rattraper mon retard après (comme j’ai pu *cough* *cough* le faire certaines fois, j’avoue) en mettant une date antérieure à l’écriture réelle du post pour convenir mieux au calendrier (oui il faut que j’en parle à mon psy), maintenant je mets une date dans le futur pour mes posts. Et donc, ils disparaissent dans un trou intersidéral de parution non parue, qui fait que personne peut les voir, jusqu’à la dite date. Donc là, ce que vous lisez, je l’ai écrit il y vachement longtemps. Du coup c’est un peu du post devin aussi, parce que je sais pas vraiment si maintenant/dans deux jours/avant hier de demain la situation aura changée. Heureusement j’avais des critiques cinéma à rattraper (oui les films je les ai vu il y a encore plus longtemps que l’antidatage, ça devient vraiment nimp ce blog). Du coup méga jeu concours, j’offre une sucette virtuelle géante à quiconque devine le vrai jour de ce post (si jamais je m’en souviens). Attention ! Ca se trouve je donnerai le prix au hasard puisque le post de demain (le votre) a été écrit hier (le mien) !? Au secouuuuurs !!

PersepolisCritique express : Bien fait et pas mélodramatique, un vrai joyaux de compréhension et de tolérance. A voir.

4 étoiles presse, et 4 étoiles spectateurs, ça cache quelque chose. Et ce quelque chose, c’est un excellent film. Pas fan à priori, c’est en convaincu que je ressort de la salle. Vraiment bien foutu,  le film évoque tout sans tabou mais sans mélo, ce qui permet d’avoir quelque chose de très digeste sans être gnangnan. De plus, l’animation et le style de dessin (simpliste mais très fluide) servent vraiment bien le récit. Le seul petit « reproche » que l’on pourrait faire est le point de vue uniquement autobiographique de l’entreprise, mais final c’est vraiment pour trouver quelque chose à reprocher que l’on va chercher par là. Le film s’adresse à tout les âge et à toutes les éducations. Je ne dévoile rien du film pour laisser le plaisir aux spectateurs qui vont aller voir ce film. C’est bien simple, dans ma salle, je n’ai vu que des gens qui ont aimés. En plus, ce film pourrait avoir l’effet positif d’ouvrir les yeux à certaines catégories de personnes… A voir et vite ! Un succès lancera sans nul doute d’autres film sur les traces de celui-ci. Espérons que la qualité soit la même…

Ocean's 13Critique express : Pas de surprise, le club men only récidive dans le casino. Ca flambe, c’est impossible mais pas désagréable. A voir.

On prend les mêmes et on recommence. Archétype même du film à fric, Ocean’s 13 revient aux sources avec un décor dans Las Vegas. Cela sert de prétexte au clinquant et à la bimbo légèrement vétue, et à la débauche comme on s’attend à en voir. Le sysnopsis lui, ne s’embarrasse plus de vraisemblance depuis le Ocean’s 12. Là on vire de plein pied dans le grand n’importe quoi, la poudre magique qu’on verse dans la pâte des dés pour les piper, les machines électroniques en tout genre qui peuvent faire le café en plus de hacker le pentagone, bref, on cherche même plus et on gobe sagement. Toutefois la prestation globale se laisse regarder. Les différents acteurs s’amusent et font les clowns avec leur déguisements à deux euros (bien sûr personne ne les reconnait, trop fort !) et vont arnaquer des millions et des millions pour venger leur pote, parce que l’amitié c’est important dans la vie (surtout quand on est un truand). Au final donc cela se laisse regarder, même si cela ne pisse pas très loin. Par contre, certains gags sont totalement dénués d’humour, où alors avec des références tellement cryptiques qu’elles resteront une énigme pour le spectateur. Mais au final, les « gentils » gagnent. Ouf !

SteakCritique express : Le nouveau Eric&Ramzy est tellement à chier qu’on se demande si c’est bien eux. A éviter.

Que dire que dire… C’est avec un espoir certain que je me rendis à la scéance de Steak. Etant plutôt convaincu par les précédents films d’Eric&Ramzy, et par le synopsis du film, je partais confiant. C’est une douche froide brutale qui m’attendait. Le film met une éternité à démarrer, en fait, jusqu’au générique de fin si on y réfléchit bien. L’ensemble de la prestation est une lente agonie de l’humour, de bon goût ou non. Rien, mais je dis bien rien, n’est drôle dans ce sous-film qui croit que l’on peut écrire des répliques au hasard et que cela sera marrant. On a l’impression qu’Eric&Ramzy se sont dit qu’à force de dire des conneries à l’écran, certaines seraient drôles. Et bien non, c’est raté. « L’humour » est totalement déconnecté de quoi que ce soit, alors forcément ça fait moins rire. Un exemple parmi tant d’autres : dans le futur, on boira du lait. Non mais vous vous rendez compte ? Du lait ! Trop marrant comme blague ! Autre exemple : une espèce de jeu débile où il faut deviner le résultat d’une opération mathématique pour se faire frapper avec un batte. Mais d’où est-ce que ça sort ? Trop bidonnant ! Etc etc… Bref, rien n’est drôle. Pire encore, la prestation des deux protagonistes principaux et totalement à chier, dans le genre propre. Textes racontés, pas de complicité, pas de répartie, c’est d’un mou… D’ailleurs le virus de la mollesse s’étant aussi aux autres acteurs. Le futur selon Eric&Ramzy, c’est lent, trèèèèès leeeeennnt. Le reste du film, que cela soit la bande son où l’image (pourquoi avoir fait un décor américain ?) finissent d’enterrer ce qui restera dans les anales comme une bonne grosse bouse bien propre.

Certains la connaisse peut-être déjà, voici une liste qui traine dans le cyberespace sur les vérités que les gens âgés ont comprises. C’est en anglais et traduisible, mais je suis feignant et vous êtes bon en anglais.

  1. Never, under any circumstances, take a sleeping pill and a laxative on the same night.
  2. Don’t worry about what people think; they don’t do it very often.
  3. Going to church doesn’t make you a Christian anymore than standing in a garage makes you a car.
  4. Artificial intelligence is no match for natural stupidity.
  5. If you must choose between two evils, pick the one you’ve never tried before.
  6. A person, who is nice to you but rude to the waiter, is not a nice person.
  7. For every action, there is an equal and opposite government program.
  8. If you look like your passport picture, you probably need the trip.
  9. Bills travel through the mail at twice the speed of checks.
  10. A conscience is what hurts when all of your other parts feel so good.
  11. Eat well, stay fit, die anyway.
  12. Men are from earth. Women are from earth. Deal with it.
  13. A balanced diet is a muffin in each hand.
  14. Junk is something you’ve kept for years and throw away three weeks before you need it.
  15. Experience is a wonderful thing. It enables you to recognize a mistake when you make it again.
  16. Thou shalt not weigh more than thy refrigerator.
  17. People who want to share their religious views with you almost never want you to share yours with them.
  18. You will never find anybody who can give you a clear and compelling reason why we observe daylight savings time.
  19. Never lick a steak knife.
  20. You should never say anything to a woman that even remotely suggests that you think she’s pregnant unless you can see an actual baby emerging from her at that moment.
  21. The one thing that unites all human beings, regardless of age, gender, religion, economic status or ethnic background, is that deep down inside we ALL believe we are above average drivers.

Voilà, certaines sont plus drôles que d’autres, mais globalement c’est pas mal 🙂

canards.jpgD’abord je tiens à remercier imaginasience de deux choses, premièrement leur site très laid qui m’évite de faire les même erreurs de gout (mais ce n’est pas au niveau du site le plus laid), et d’autre part pour ce magnifique article qui m’a beaucoup inspiré. Résumé (légèrement embelli, c’est ma seconde nature). Chez les canards, c’est comme dans la cité, c’est des gros viols collectifs à tout va. Le canard il chope la canne, et hop ! Il lui maintient la tête bien ferme pendant qu’un autre bien ferme fait son office. Mais les cannes, c’est pas con, ça a des années et des années d’évolution derrière elles (et un peu devant aussi, mais surtout derrière comme nous allons le voir très vite). Afin de lutter efficacement contre le fléau du mari non désiré, elles ont mis au point un ingénieux stratagème. Jugez plutôt : Vagins en forme de spirales (déjà faut le faire), avec plusieurs canaux qui mènent à des culs de sacs (jusqu’à huit !), bref c’est la memerdre pour le canard non invité qui peut aller se faire foutre avec son gros sperme qu’il ne lui servira à rien ! Too bad buddy, next time maybe ! Alors si toi aussi tu en as marre de te faire collectivement violer dans la téci, tu connais le remède : quelques millénaires d’évolution et cela ne sera qu’un mauvais souvenir…
Pendant ce temps, chez les humains… Leurs femelles, après s’être pissées dessus, en conçoivent un fantasme inédit : faire caca dans sa culotte, puis l’écraser sur le sol (toujours dans la cullote), et enfin, quand il y a plein de merde partout, se toucher comme une forcenée. Et attention ! J’invente pas c’est vraiment véridique, merci doctissimo pour ce moment de joie. Le texte intégral dans le spoiler au cas où ces sauvages d’administrateurs voudraient le retirer de doctissimo. Attention il faut être assis.[spoiler / Je suis un vrai warrior du net, je croyais avoir tout vu, montres moi ce texte !/ /Oups, erreur de clic, je referme vite…/]Bonjour à tous. Je m’appelle Ludivine, j’ai 21 ans et je vis seule. Je prends du plaisir au travers d’une pratique qui m’inquiète car je la pense bizarre. Tout à commencé un jour où, en rentrant de cours, j’ai été prise par une envie pressante. Arrivée dans mon studio, je n’en pouvais plus et en me baissant pour ramasser les clés que j’avais fait tomber au sol, j’ai fait involontairement pipi dans ma culotte. J’étais catastrophée et me suis précipitée vers la salle de bain. Cependant, en passant devant le miroir de mon armoire, j’ai vu la tache humide qui marquait ma juppe et j’ai relevé celle-ci pour voir ma culotte. J’ai soudain été troublée et pour une raison que je ne m’explique toujours pas, j’ai commencé à faire caca dans ma culotte tout en me regardant dans le miroir. Comme j’en avais très envie, je l’ai « remplie ». Puis, je me suis assise sur le sol, face à la glace, pour écraser la caca avec mes fesses. Cela m’a excitée et je me suis caressée. Depuis, cela est devenu une véritable obsession. Je recherche sans cesse des culottes qui conviendront à ce jeu et dès que je le peux, je me soulage dans celles-ci. Vous vous doutez bien que, hormis dans ce forum, je n’en ai jamais parlé à personne. J’aimerais savoir si je suis anormale de pratiquer ce genre de jeux et surtout si d’autres filles les pratiquent aussi. Leur témoignage m’aiderait à me sentir moins seule. D’avance merci car ceci est une véritable inquiétude pour moi.
P.S.: Si c’est pour me traiter de folle, pour me demander mon adresse ou pour me faire des avances comme je l’ai vu parfois dans ce forum… Passez votre chemin. <- des avances ?! omfg ![/spoiler] Les commentaires sont très, très bon aussi. J’y reviendrais sous peu.

flydoc_logo.jpgAhh, en voilà une nouvelle qu’elle est bonne ! Moi, bouger mon cul, j’ai toujours été contre. Même tout petit, je faisait des efforts surhumains afin de ne pas en faire. Alors, dès que quelque chose me simplifie la vie, hop, j’utilise. Un excellent exemple est  le service de fax de Free, tout simplement fabuleux. Avec mon cul de pachyderme bien installé mon fauteuil de ministre, je clic je scanne et hop ! Un fax envoyé. Pareil pour la réception, pas besoin d’aller le chercher à l’imprimante (qui est placée horriblement loin de mon siège). Eh bien , avec FlyDoc, il est possible d’envoyer des recommandés avec A/R depuis son chez soi bien au chaud (ou au frais suivant les saisons). A noter que la Poste propose un service similaire, mais légèrement plus cher pour les A/R. Bonheur, joie et effusion chez les feignants qui n’attendaient que ça pour devenir un peu plus amorphes.

wordpress.jpgHop, une nouvelle version (bon sortie il y a 8 jours mais en ce moment j’ai la tête dans le c**). Moins de failles de sécurité, c’est toujours ça de gagné.

Hé bien c’est Dieu (un lecteur :p) qui a trouvé la réponse, probablement grâce à ses pouvoir paranormaux (ou alors comme un fourbe il a regardé le nom de l’image, c’est connu en général Dieu il est fourbe, genre « ooh la pomme elle est belle mais c’est pas pour toi »): c’est de la barbe à papa séchée, berk! Moi je trouve que ça a vraiment une sale gueule. D’autant plus que la dite barbe à papa est vendue dans des pots en plastique avec couvercle en alu, ça casse carrément le mythe de la barbe à papa que l’on mange quand on est enfant (ou que l’on a gardé un esprit d’enfant, je me sens pas visé mais alors pas du tout).

barbeapapa.jpgChers amis, non je ne vous ai pas oublié ! Me voici de retour avec un objet étrange et captivant… Mais qu’est-ce donc ? Vite je clique sur l’image pour avoir un gros plan. C’est rose, on dirait que c’est mou, ça a l’air duveteux et doux. Sa forme ronde s’adaptera à toutes les… oui, les quoi ? Notons l’espèce de petit trou au milieu. Un épais mystère entoure cette photo… Un suspense intenable, il faudra attendre quelques jours pour la réponse si vous ne la trouvez pas dans les commentaires (c’est pas très dur de deviner, surtout pour moi qui sait ce que c’est). Aller bonne chance!

PS: Je fais dans le post-lance-pierre en ce moment… Ca doit être le stress des examens.