Sujet de philosphie Bac L 1999, Académie de Strasbourg. Moi j’aime.

Dans la perspective d’un vocable qui, vernaculaire, ne dément que par l’oxymore du tout, Proust, Flaubert et Montesquieu redéfinissent la valeur du mot transcendant à fleur de peau son sous-jacent. Discutez.

Ubuntu LogoCa y est, la version 7.04 (lire : avril 2007) de Ubuntu est enfin sortie. Tout un tas d’améliorations ici et là au travers du système. Pour ceux qui viennent de Windows, un nouvel importeur de préférences a vu le jour, permettant d’importer, favoris, email et compte de messageries (n’est pas compatible avec toutes les messageries mais c’est un début). La support du réseau sans fil et cablé est passé de très bon à tout bonnement excellent, c’est bien simple, c’est le meilleur support du sans fil que j’ai pu avoir entre les mains jusqu’à présent. De la partie aussi, les effets graphiques avancés (attention aux cartes ATI), les drivers propriétaires (cartes graphiques, cartes réseau sans fil, etc…) qui sont automatiquement proposés, ainsi qu’un support excellent du NTFS en lecture/écriture, que cela soit sur les disques locaux ou les disques USB. Bref, un excellent travail ! Pour ma part j’ai fait la mise à jour depuis la version précédente (Edgy) et cela se déroule vraiment sans problème. Il suffit de faire un :

sudo update-manager -c -d

Pour migrer sans problèmes, tout en graphique bien sur. Attention le -d est pour les versions de développement, si vous voulez migrer vers le stable il faut uniquement mettre le -c. Que dire d’autre… si ce n’est que je n’ai pas rebooté une seule fois en un mois mon portable sous windows. Maintenant, il ne me reste plus qu’à graver des cds pour les distribuer aux gens :-p. D’autre part, même Michael Dell (le patron de DELL) est sous Ubuntu sur l’un de ses pcs (évidemment, il n’a pas de Mac, ce qui montre qu’il est sain d’esprit 🙂 ). Les miroirs sont en cours de création, d’ici la fin de la semaine on devrait pouvoir télécharger la 7.04 un peu partout dans le monde.

Dangereuse séductionFilm bien ficelé, dangereuse séduction se rélève assez agréable à regarder, avec du suspens, du flirt, et des intrigues tordues. Globalement le film est assez bien ficelé, même quelques reproches ça et là peuvent être faits (notamment sur le désormais inévitable « boouh tout cela c’est la faute d’un vilain pédophile qui a fait des vilaines choses dans le passé »), et sur certains personnages un peu concons (mais bon, il y a en plein aussi dans la réalité des cons, c’est juste que j’arrive toujours pas à m’y faire). On voit arriver des bouts de la fin, mais pas la fin elle même. A voir donc, pour se détendre un moment.

Vous, toi, moi, on tous envie un jour ou l’autre de faire quelque chose de dégueulasse. Quelqu’un que l’on aime pas, on est énervé, simple envie scatophile, les raison ne manquent pas. Mais comment faire ? Ce n’est souvent pas simple ! Heureusement, tatie x2b4 est là pour vous donner la solution. Pour cela, il suffit de se munir des ustensiles suivants:

  • De la nourriture solide;
  • Un contenant, par exemple une assiette.

Préparation :

  • Mettre la nourriture dans la bouche;
  • Mâcher deux, trois ou quatre fois mais pas plus sous peine de rater l’effet;
  • Recracher dans le contenant.

Voilà ! Vous avez devant vous un truc bien dégueulasse ! Le truc du chef : si votre résultat est suffisamment bon, vous aurez même le luxe de vous payer un réflexe vomitif pour agrémenter le tout.

Le prix à payerAlors, moi je dis comment et pourquoi ? Oui, crotte à la fin, c’est fou ça ! Faire une aussi bonne première moitié de film, pour ensuite le saccager de la manière la plus ignoble qui soit, moi j’appelle cela du sadisme. Rien de moins. Il faut dire que la chute est brutale d’autant que la douche est froide : la première demi-heure est un véritable joyau d’humour, de phrases légères et d’engueulades qui vont bien. Cela devient vite le gros bordel (d’ailleurs on se demande comment ils vont faire pour la seconde moitié, indice : ils n’y arrivent pas) avec des bons gros diners qui partent en live, avec un certain accent de vérité dans le n’importe quoi du moment que ça casse celui en face. Et puis arrive, la seconde moitié. Oui, la honnie, l’insipide, celle que l’on ne doit pas nommer. C’est bien simple, ils auraient mis le film en pause avec une image statique cela n’aurait pas changé grand-chose. D’un vide abyssal, on se retrouve avec des crampes d’estomac de tristesse tellement le début était bien. 10 minutes. On se demande, bon, ça repart là ? Eh non. Cela ne repart jamais, même pas un sursaut à la fin du film, qui d’ailleurs outre sa morale douteuse (indice : quand t’es riche, tu niques plein) fait dans la grosse queue de poisson. Bref, ce film est raté, sans doute à cause d’un changement de réalisateur à la moitié du film (je ne vois vraiment pas d’autre explication…). Pourtant, tellement de choses qui restent inexploitées… Le début, l’histoire de la CB volée… Flinguée en deux répliques… La femme de ménage étrangère, parfaite confidente… L’adolescente qui aurait pu ramener des filles à la maison par exemple… L’histoire de la prostituée, non rien n’est exploité à fond… Donc, en un mot comme en cents, aller voir la première moitié du film, puis cassez vous du cinéma.

LitDans la bien glauque affaire de bédophilie (de l’anglais ‘bed’, qui aime les lits) de Nantes, le jeune homme de 31 ans arrêté hier soir est passé aux aveux. Rappels des faits. Depuis plus d’une semaine, des affaires de bédophilie éclaboussent les plus grandes enseignes de literies de la banlieue de Nantes. Cela a commencé avec But, qui a immédiatement porté plainte auprès des autorités. « Nous avons été choqué de retrouver, dans nos literies exposées en magasin, de nombreuses traces de spermes. Nous avons d’abord cru à une blague, mais nous nous rapidement aperçu que nous avions affaire à un bédophile », confie Jean-Marc Rondelau, gérant du magasin. La même semaine, plusieurs autres enseignes portent plaintes pour des faits similaires. La population de Nantes était encore sous le choc hier soir. « C’est très génant, cette histoire de bédophile », déclare une retraitée. « Je voulais m’achetez un nouveau lit pour mes problèmes de dos, mais maintenant, je pense que ce n’est pas très prudent ». La police, au vu de la multiplication des plaintes, a mis en place une cellule de crise. Elle a tout d’abord établi le profil type du bédophile, puis a épluché les cassettes vidéos des magasins concernés. Trois suspects se sont détachés du lot, mais hier soir, un seul était encore en garde à vue. Ce matin, il est passé aux aveux. Son mode opératoire était très malin : se faisant passer pour un client tout à fait habituel, il amadouait ses victimes avec des airs d’acheteur. Lorsque la méfiance du lit était endormie, il en profitait pour se faufiler sous la couette et perpétrer son forfait. « C’est terrible ce qu’il a fait », déclare Claude Jinquart, responsable literie chez Ikea. « C’est la vie entière de ces lits qui a été détruite, c’est irréparable une trace de sperme ». Les premiers élements d’enquête révèlent une enfance troublée, notamment après le refus des parents du bédophile d’acheter une literie Bulltex. Le reste de l’enquête servira à déterminer, si, oui ou non, cela est une circonstance atténuante. YM. F.

Les contes de TerremerC’est un peu déçu que je ressort de ce film. Alors c’est sur, c’est joli, c’est bien dessiné, c’est bien dans la veine des films précédents (fable écologique et tout ce qui en découle), mais il manque un petit quelque chose qui ferait que l’on vibre devant le film. L’histoire est pourtant suffisament riche pour pouvoir se le permettre, mais il semble que tout doive rester superficiel sans trop approfondir les tenants et les aboutissants. Un des meilleurs exemple est le combat de dragons au début : on ne sait pas ce que cela change dans le reste de l’histoire. Pareil, le plan du diabolique sorcier, est-il en relation avec les évènements qui se passent sur Terremer ? Rien n’est moins sûr… Bref tout ces petits moins font que c’est un film, certes agréable à regarder, mais dévecant au regard des autres prestations que peut nous donner le studio Ghibli.

Hyper tensionPour une fois que la bande annonce d’un film ne ment pas. Film hyper actif et hyper violent, on en prend plein la tronche pendant 1h30 sans discontinuer. Le jeu des acteurs est moyen médiocre, le scénario inexistant, mais on n’est pas là pour ça. On est là pour voir un mec massacrer de ses petits poings rageurs (et de ses grosses armes aussi accsoirement) à tout va les petites bites qui lui ont injectés un poison qui va le tuer d’ici quelques heures. Le bougre se débrouille plutôt bien : que cela soit à la machette ou au flingue, ça gicle sévère. Bonus spécial pour ce film : on nous épargne la fin chiante à mourrir, happy end où rien ne se passe. Non, ici c’est sec et brutal, il claque et fin. Bon travail.

Une équipe de chercheurs français, en association avec des laboratoires américains et suédois, ont montré dans un article à paraître dans Nature, que, contrairement à l’idée reçue, l’homme ne descendrait pas du singe, mais du porc. L’étude a porté sur le génome des hommes actuels, des hommes de Néandertal ainsi que d’hommes de Croc-Magnon. « Nous savions que l’histoire de nos origines est un sujet sensible, nous n’avons donc pris aucun risque en prenant un panel très large de spécimens », témoigne Charles Derrefer, directeur du projet. En effet, les musées de Londres, New York en plus de celui de Paris ont été mis à contributions. L’étude a duré plusieurs années, notamment en raison des difficultés pour extraire l’ADN des restes humains. « La plus grande difficulté n’était pas vraiment d’extraire une partie de l’ADN, mais de l’avoir entier et intact. Après 30000 ans, pas étonnant qu’il faille prendre des précautions ! » s’amuse Charles Derrefer. Après avoir extrait l’ADN, commence le travail de titan : comparer, par ordinateur, les différents ADN au cours des âges pour tracer ce que l’on appelle une carte génomihistorique. Il aura fallu 2000 ordinateurs pendant 8 mois à plein temps pour enfin avoir le verdict : l’homme moderne ne descend pas du singe, mais du porc. En fait, c’est l’homme de Néandertal, disparu, qui descendait du singe. Le porc aurait de son coté évolué dans une espèce intermédiaire avant de devenir l’homme moderne. « Nous avons eu l’idée d’intégrer le génome du porc après avoir découvert que l’homme ne descendait pas du singe, à cause de sa grande proximité génétique avec l’homme (99.5%) », déclare François Gurtoin, du laboratoire de génétéalogie de Nantes, qui a secondé l’équipe du professeur Derrefer. L’annonce de cette descendance a fait l’effet d’une bombe dans le monde musulman. En effet, pour les pratiquants musulmans, il est interdit de manger du porc. A la Mecque, des milliers de fidèles se sont donnés la mort par le feu en se déclarant impurs. Des vagues de suicides ont embrasé le lieu saint de pèlerinage, débordant la cellule de crise mise en place. Malgré les appels au calme des autorités, de nombreux cas de suicides ont été recensés de par le globe. « Les scientifiques sont fous », déclare Abdul Mehabar, directeur de la mosquée de Bretagne. « Ils auraient dû nous laisser le temps de préparer la population. C’est comme les hackers qui dévoilent les failles de sécurité sans laisser le temps de les corriger ! ». Heureusement, le calme semble revenir après les déclarations d’imams selon lesquels « l’interdiction de manger du porc viendrait justement de cette descendance, afin de ne pas manger nos alter-egos ». Samedi, les témoignages d’indignation s’élevaient partout contre les scientifique. Francis Hulliver, proche du pape, a fait part de sa communion avec le monde musulman. « C’est vraiment n’importe quoi ! » s’emporte-t-il, « bientôt les scientifiques vont nous apprendre qu’il est impossible pour un homme de ressusciter trois jours après sa mort ! Où va le monde, si l’on ne respecte plus l’éthique ? ». En attendant, les scientifiques français s’attaquent au génome de la grenouille et du boeuf, eux aussi très proches génétiquement.

Le secret de terabithiaAttention ! La bande annonce de ce film est complètement mensongère (un peu comme pour Le Labyrinthe de Pan…) ! Si le film n’est pas du tout un film fantastique avec des créatures magiques, des pouvoirs, il n’en reste pas moins un assez bon film. En fait l’accent est vraiment mis sur le coté psychologique de la chose, et sur l’échappatoire dans l’imaginaire d’enfants rejetés et brimés dans le monde réel. Le propos n’est pas léger du tout, mais finalement, on se laisse convaincre par le scénario et la justesse des personnages. Bien entendu, on est loin, très loin, de la bande annonce. C’est ce qui est dommage d’ailleurs, le film en lui même n’étant pas mauvais, il est dommage d’en faire la promotion dans une direction totalement opposée à ce que propose le réalisateur.

Voici un article fort intéréssant sur un passionné de musique qui essaie de tout mettre en oeuvre pour pouvoir lire la musique qu’il a légalement acheté. Il n’y arrivera jamais, pestant au passage sur les DRMs et se demandant de plus en plus si finalement, il ne va pas faire comme tout le monde et télécharger sa musique en mp3. A lire aussi les commentaires de l’article sur des expériences similaires vécues par d’autres personnes.

Le come backMe laissant finalement convaincre par les trois étoiles de ce film ainsi que des bonnes critiques dans mon entourage, j’ai commis avec faiblesse l’acte, encore impensable il y a quelques jours, d’aller voir ce film. Alors, avant que l’on me dise « oui mais toi tu n’aimes rien comme films, d’ailleurs on se demande pourquoi tu vas encore au cinéma », je tiens à faire remarquer que j’ai un devoir d’information, oui madame, et grâce à mon sacrifice de nombreux innocents sont épargnés. Bref. N’épiloguons par sur ma vie dont tout le monde se fout même moi mais concentrons-nous sur le film. En résumé : un bon film ? Non. Un film moyen ? Certainement, et voici pourquoi. Le principe du film, un chanteur has-been qui fait son come back grâce à une parolière improvisée et inspirée, et assez bon. D’ailleurs, le début du film est assez entraînant, on s’amuse de voir l’artiste qui lutte pour recoller les morceaux de sa vie qui s’éparpillent au gré des parcs d’attractions qu’il anime. Contents, on s’installe confortablement dans le siège et on attend la suite. Hélas, vers le milieu du film, grosse douche froide : l’action n’avance plus, la grosse niaiserie finale s’installe en s’étalant sur de très très longues minutes. Pire, les gags sont téléguidés depuis les 10 dernières comédies romantiques, un manque d’originalité flagrant frappe ce pauvre film dans la partie finale. Alors certes, si vous êtes un gros niais (ou une grosse niaise, je ne suis pas sexiste) qui trouve que les couettes-couettes roses dans les cheveux, l’amour pur et partagé, les bisous chastes et tout c’est vraiment super, alors ce film est vraiment chouette (mais il y a exactement le même pour 2€ en DVD, juste avec des acteurs à peine différents). Mais si comme moi, vous attendez d’un film (qui critique quand même la soupe musicale qui nous est servi à tout bout de champ, un comble !) qu’il soit un tant soit peut original alors passez votre chemin. Ce que j’ai surtout du mal à saisir c’est le coté « marrant » d’un gag qu’on annonce 10 minutes à l’avance, genre « attention, je vais t’envoyer une tarte à la crème… » (gag déjà bien marrant à la base), « attention, j’y vais… » « plaf! une tarte à la crème ! ». Ouah ! La surprise ! Franchement faut qu’ils arrêtent ça… Enfin la critique ne vaut pas que pour ce film, mais c’était assez frappant quand même. A noter, il faut faire attention à la salle, par exemple moi j’avais un guignol qui s’amusait à taper dans ses mains avec la musique. Regard médusé de ma part, hélas le seul, les autres spectateurs ne possédant un taux de détachement proche de l’escargot avec sa coquille.

300 le filmFilm se voulant une peinture de l’héroïsme et de l’art de la guerre, 300 ne se résume finalement qu’à un enchaînement bourrin de scène de massacres. Tout d’abord, les grecs sont des fins stratèges, c’est bien connu, et donc ils emmènent habilement les perses dans un défilé. Ensuite, c’est très facile: tu pousses avec ton bouclier, tu embroches avec ta lance, et tu recommences. Les ennemis sont de plus en plus fort, ouhlala, mais en fait que dalle, les spartiates des des gros porcs qui te kickent du loup mutant à oualpé dans la neige alors des pauvres petits humains je te les conchie direct. D’ailleurs ils auraient gagnés si ils avaient pas été vilement trahis par un bossu difforme (oui, les grecs sont beaux, les méchants sont moches, rien que du classique) rejeté par Leonidas sous prétexte que son chocolat était pas bon. Tout déçu et bien vivant (car Léonidas, qui vient de traiter le mec qui a trouvé le secret passage dans la tagnemon de gros bouseux même pas utile, ne se dit pas une seconde qu’il pourrait le trahir, enfin, il se le dit, mais il pense que le tuer, ça serait vraiment pas sympa), le bossu va tout baver chez Xercès qui nous tire un gros vinaigre de perdre toutes ses batailles. Bref, les grecs sont tout sacrifiés et tout mais quand même bien courageux, et heureusement, car leur beau sacrifice leur permet non seulement de rallier les grecs derrière une cause commune, mais aussi au spectateur de s’ennuyer pour un prix tout sauf modique. Utilité du film: se faire louer en DVD pour ricanner entre pote sur toutes les bêtises et incohérences présentes. Et oui, je sais que c’est vinaigre de xérès, bande de mauvaises langues.

La cité interditeIl est bien connu qu’en Chine, on ne fait pas comme les États Unis (ironie inside). Alors pour les films, c’est totalement vrai. Un bon film chinois se finit mal, très mal même. C’était déjà le cas avec Héros, avec la Cité Interdite, on entre de plein pied dans la boucherie affective et communautaire. D’abord, on veut de part la bande annonce le faire passer pour un film d’action. C’est faux et archi faux, j’y reviens dans quelques instants. Non, la grande faiblesse de ce film, c’est ses scènes de palais interminables avec des intrigues vachement évoluées mais pas trop quand même (en gros ça se résume assez bien par « qui a couché avec qui, et quand » et par « je vais te péter la gueule non c’est moi »). D’où, ennui profond de la part du spectateur. Ensuite, on sent bien que cela va mal se finir, et on attend avec une impatience certaine le moment où ils vont se fritter. Celui ci n’arrive malheureusement qu’avec la fin du film, le reste ne comportant aucune scène d’action. Mais pour le final, nous avons le droit à du beau, sur le thème de la boucherie dûe au surnombre. On commence par éclater sec un conseiller du palais en lui envoyant des assassins. Forcément quand on est 100 face à 10, ça le fait direct (mais peut-être le film 300 va apporter un démenti fâcheux à mon assertion, nous verrons bien). Ensuite, les dits 100 se font troncher par 1000 archers, c’est assez chouette mais toujours assez facile. Puis, pour nous régaler au final, nous avons droit au massacre de 1000 par 10000 puis 10000 par 100000 (qui sortent comme des mouches des trous du palais, crédibilité maximale – discrétion assurée). C’est très frais avec des machines pour broyer les gens et toujours, toujours cette écrasante supériorité numérique qui fait en sorte que cela ne ressemble surtout pas à un vrai combat. La fin achève le tableau avec la mort, superbe, de tout le monde comme ça c’est réglé. Le sort du film aussi d’ailleurs, c’est les oubliettes direct.

Le spam, la grande joie des procrastinateurs, se diversifie de plus en plus. Après les images qui nous vantent les mérites de telle ou telle action en bourse, voici l’ascii art japonais, qui m’a pour une fois fait sourire. Je le reproduis de suite :

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C’est frais, original et de bon goût. Ca rend moins bien ici que dans ma messagerie, mais on devines bien le principe. Bientôt des films de boules en ascii art dans ma boite mail.

Je post ici cette brève d’un journal que m’a fait suivre un collègue, tout simplement hilarante. La colonne de gauche est l’envoi original, et la droite la réponse de la société…
Assez de frites

Ultra low rise denimEn direct du japon, ce nouveau pantalon très fashion qui fait aussi culotte ? Enfin je me demande par ce qu’il doit quand même falloir en mettre une quand même. Moi je dit entre les pantalons avec une taille hyper basse et les mini jupes ultra courtes, il y a une progression intéressante à suivre… Bientôt au Japon (puis partout dans le monde) on aura que quelques cache sexes de formes amusantes en guise de vêtements. Notons bien que je suis à fond pour cette évolution, aussi bien chez les femmes que chez les hommes. Fini les codes vestimentaires désuets, je pourrais enfin aller au bureau en slip-banane ou autre accessoire qui me chante. Bien entendu les frustrés et les coincés du cul vont être contre, mais espérons que cette espèce disparaitra bientôt (ce qui n’est pas gagné je vous l’accorde). Pour finir, je rajoute à ma prière du soir (ah vous croyez que je prie le soir ? lol) l’importation rapide et l’adoption générale de ce jean en France et en Europe. Ah oui au fait pour les mauvais qui ne savent pas lire le Japonais (mais non je vous aime bien quand même …) il y a écrit au dessus du prix en rose :???????????????????. Vous comprenez mieux maintenant haha! Bon sérieusement ça donne: « Ultra low rise denim bikini pantsu ». Ce qui se traduit par jean-bikini très bas. Sur Wikipédia on trouve des infos sur les jeans low rise. Sur ce site de dessins japonais on trouve quelque chose qui y ressemble. En fait, j’ai même trouvé la boutique !! Pas mal de blog japonais en parlent… Par contre pas la peine de visiter l’url qui est sur la photo, ça mène à rien…