Ubuntu Logo En voilà une bonne nouvelle ! Si les hautes instances du gouvernement se retrouvent avec Linux sur leur ordinateurs, cela leur ouvrira peut-être l’esprit. Le Fridge de Ubuntu en parle, ainsi que ZDNet. Reste à voir les députés les utiliserons vraiment ces ordinateurs sous Linux, ou bien si seulement leur assistants auront cet honneur. En effet, je ne serais pas surpris que nombre de députés (pas tous, hein) n’ai que faire des ordinateurs mis à leur dispositions et se promènent plutôt avec leur nouveau portable tout neuf bien estampillé Vista. Enfin à suivre…

Netvibes a annoncé aujourd’hui la sortie de son API unifiée pour les widgets (enfin moi j’appelerai ca plutôt des webgets :-p). Ce qu’il y a d’intéressant, outre bien entendu une meilleure architecture, c’est que une plateforme Javascript OpenSource devrait suivre, permettant d’inclure les widget dans n’importe quel service web. Je rêve djà de programmer facilement mon propre portail news, car il faut bien l’avouer, si il y a un point sur lequel Netvibes pêche, c’est le javascript et la customization à outrance. Même si cela fait très web2.0, cela ne sert à rien de charger des kilos de javascript pour permettre de bouger les tabulations alors qu’on ne le fait qu’ une fois tout les 6 mois. Si l’API et la plateforme open source sont convaincants, il serait tout à fait possible de voir fleurir sur le net des plateformes alternatives basées sur la technologie netvibes, mais sans les fioritures.A noter que cette technologie est vraiment simple à l’emploi pour l’avoir utilisé moi même pour BetaNews. A suivre aussi le site des développeurs netvibes.

A la recherche du bonheurDevant la désespérante vacuité du cinéma en ce moment, je me résouts à aller voir « A la recherche du bonheur ». Hélas, il est bien le film moisi qu’il parait. Déjà, cela commence par « inspiré d’une histoire vraie »… Je commence à en avoir vraiment marre de ces pseudos films qui trouvent que tirer quelques faits de la réalité c’est vraiment trop fashion. Surtout que rien n’est explicité quand à la fiction ou pas, du coup on s’en fout carrément que cela soit inspiré de faits réels. Viens l’écran d’introduction, vraiment bien fait par des professionnels, texte blanc sur fond noir, même moi avec movie maker j’y arrive en deux secondes. Je dis budget et recherche esthétique, comme ça. Ensuite le scénar est torché à la cuillère, avec des subtilités vraiment fines comme « comment écarter la mère du scénar » : son mari lui déclare « tu sais que tu es incapable de t’en occuper ». Ah. Bon. Bah si il le dit, c’est que ça doit être vrai. Bon ensuite, c’est mou et plat, pas rythmé pour deux dollars, bref on s’ennuie ferme. Bien entendu, il ne faut surtout pas s’inquiéter, parce qu’en Amérique si on bosse dur (et un peu qu’on est le héros d’un film), on finit toujours par s’en sortir. D’ailleurs le générique de fin nous rassure vraiment: non seulement Chris Gardner a réussi à s’en sortir, mais même plus tard il a fondé sa propre société et est devenu très riche ! C’est chouette ! Maintenant lui aussi c’est un enfoiré qui exploite les autres, ayant bien retenu les leçons de son douloureux passé qui lui dicte qu’être du bon coté de la barrière, c’est vraiment mieux. Will Smith délivre une prestation médiocre mais pas catastrophique non plus, le véritable problème vient de l’enfant mal joué. D’ailleurs on se demande bien ce qu’il vient faire dans le scénario ce gosse tant il n’apporte rien. Bref ma diatribe dithyrambique sur ce mauvais film prend fin avec la recommandation habituelle dans ce cas là : passer son chemin (pour aller voir quoi, là est la vrai question, vide intersidéral inside).

Ubuntu LogoAlors voilà depuis quelques temps déjà j’utilise Ubuntu sur mon portable Vaio. Je dois dire que je suis très impressionné ! Tout d’abord, le support de l’existant est excellent (lire: windows), ce qui me permet d’accéder à mes données en lecture écriture, d’avoir le même profil thunderbird/firefox (c’est assez jouissif d’avoir les même raccourcis, préférences, extensions & co, sans synchro, sans rien avoir à faire… pareil pour les emails). Tout mon matériel marche, des contrôles luminosité écran à la souris bluetooth dernier cri de Microsoft (oui Microsoft ne fait pas que du caca, ils font des très très bonnes souris (comme Logitech d’ailleurs)). L’installation de nouveau logiciels est à des années lumières de ce qui se fait sous Windows ou sous MacOs, là c’est intégré, les dépendances bien gérées etc… Bien sur, parfois la transition n’est pas si facile, des applications nous manquent… Mais globalement le prix à payer est faible. Cela est d’autant plus vrai que Linux propose pas mal de chose que je ne retrouve pas sous Windows et sous MacOS (même si je n’ai pas de Mac, il m’arrive souvent d’utiliser MacOS). D’abord, on peut customizer facilement et proprement son PC, ce qui est pour moi indispensable. Le support des systèmes de fichiers et des protocoles réseaux est simplement beaucoup plus abouti, on peut choisir son desktop manager etc… Aujourd’hui, j’avais envie de taper un petit texte en Japonais. Je me dit, « installons le support japonais sous Ubuntu ». Je commence par faire clic-droit (clin d’oeil aux Macqueux) sur ma zone de texte, qui me propose Français ou Autre comme méthode de saisie. Pas suffisant. Petit détour par Google (en même temps je lance l’application de gestions des logiciels Ubuntu), je tapes « ubuntu japanese » et je trouve deux paquets à installer. Synaptic deux secondes plus tard me les as téléchargés, configurés et installés. Je peux choisir entre trois choses hyper simplement (alors que sous les autres OS c’est la galère):

  • Soit rentrer directement en Japonais (comme si mon clavier avait des touches Japonaises), peu pratique pour moi;
  • Soit rentrer directement des Hiragana (????), des katakana(????) ou bien des kanjis (??) directement;
  • Soit rentrer en demi-mode (d’abord des Hiragana, après on peut choisir si on convertit en Kanjis ou pas), le meilleur mode pour moi quand je n’écrit pas que des Hiragana.

Le support du Japonais est mille fois plus simple (oui mille) que sous Windows, on sent que cela part d’un véritable besoin des Japonais. Bref, quand je devrais rentrer du texte Japonais sous Windows et que je lutterais, je verserais une larme…

Sinon j’ai aussi installé la beta Feisty Fawn, leur support du réseau est tout simplement bluffant. Keep up the good work !

Ghost RiderHum, j’aurais du méfier… Ca sentait le film qui pue. Hélas trois fois hélas, encore une adaptation qui tourne au saccage. Héros creux et mal joués, scénario timbre poste, effets spéciaux surajoutés pour bien (quelqu’un peut me dire pourquoi le fils de Méphistophélès se la joue tout le temps ?), rien de bien amusant ni trépidant finalement. On ne comprends strictement rien à l’intrigue qui tourne autour d’un village damné qu’on ne sait pas pourquoi il serait utile aux faction du mal, d’ailleurs le final nous montre bien qu’il ne l’est pas, utile. Les combats sont d’un ridicule achevé, avec trois pauvres pouvoirs à la con et le « Ghost Rider » qui leur tronche la tête en deux secondes alors qu’on le voit trop venir. Le démarrage est long, bien trop long, la fin aussi, le milieu creux… Ce film n’a pour lui que les effets spéciaux autour du rider, qui à mon sens sont assez bien fait. Pour le reste, ce film ne finira certainement pas dans l’histoire, si ce n’est à coté des innombrables adaptions ratées de l’histoire du cinéma hollywoodien…

La nuit au muséeAhh ! Un film avec un de mes acteurs fétiches, Ben Stiller, depuis Zoolander (quand je pense que je n’ai pas voulu aller voir ce film culte parce que l’affiche me plaisait pas… Honte à moi!). Bon ben c’est que du bon, drôle et tout. On ne s’ennuie pas une seconde, et si le concept du film est bien débile (la nuit les choses inanimées du musée prennent vie), le reste du film est à l’avenant. Parfois l’humour est un peu lourd (plus que dans zoolander en tout cas) mais globalement c’est très très bon. Ben stiller et les autres acteurs ont un jeu qui se prête parfaitement au film, notamment les trois autres « anciens » gardiens. Robins Williams, Steve Googan et Owen Wilson viennent pimenter le tout. Bref, un bon film de détente à aller voir d’urgence.

Le serpentUn film pas mal, qui arrive bien à maintenir la pression. La prestation des acteurs est tout à fait honorable, même si parfois c’est un petit peu surjoué. Seule la mère joue comme un pied, ce qui rend son personnage falot et peu crédible. Sinon, le scénario n’est pas trop baclé, même si, comme dans tout les films policiers, il comporte quelques incohérences. Mais il est possible de passer outre et d’apprécier ce film comme un bon policier. Quelques points à revoir : Déjà le méchant s’est fait violer quand il était petit et maintenant il est tout frusté et presque pédophile, c’est un peu faible. Ensuite, quelques points grossiers.[spoiler/Montrer le spoilerhttps://www.x2b4.com/Cacher le spoiler/]Par exemple, le méchant qui écrase le jouet de la petite fille, le fait que cela soit lui qui ait finalement tué la fille (quel besoin ? d’ailleurs à la place de la fille personne ne creverait dans la réalité, il lui suffit de se faire glisser sur deux mètres et elle ne meurt pas).[/spoiler]Donc on ne s’ennuie pas, on anticipe un peu, mais quelques points à revoir.

The HolidayPrésenté comme l’archétype des comédies romantiques à Noël, ce film niaiseux et raté n’en prend que les mauvais cotés. Tout d’abord, il est trop long, trop mou, et surtout, pas assez drôle. Très peu de gags ou de situations marrantes. Trop de pitié (oh le petit vieux que je vais aider, oh les enfants qui ont perdu leur maman), ça dégouline grave… Bien sûr les ‘jolis’ avec les ‘jolis’, les ‘moches’ avec les ‘moches’. Il faut bien rester dans la logique des choses. Autre inoriginalité flagrante : ce film parle avant tout et surtout du monde du cinéma : c’est chouette ! Comme cela les scénariste peuvent sans problème parler de quelque chose qu’ils connaissent bien. Il faut arrêter l’auto-masturbation scénarisitique de temps en temps… Point notable : Cameron Diaz arrive à se rendre insupportable au point que l’envie qu’une mort accidentelle la saisisse lors du film devient de plus en plus pressante. Las, rien n’arrive si ce n’est l’happy end faisant gerber à tout va le frugal repas que l’on aurait pu – imprudemment – ingurgiter. D’ailleurs ce magnifique film me fait prendre conscience d’un problème d’actualité dans les cinémas modernes : pour des films pareils, ils pourraient prévoir des baquets à vomi, ça éviterait d’en mettre partout. Surjoué, surmou, surdégoulinant, surpasdrole, ce film est à suréviter.

Jacquou le CroquantJe vous propose de commencer par un adage : « Trop de violons, film trop long ». Adage qui gageons le ne remonte qu’à mon récent visionnage de cette lenteur qu’est Jacquou le Croquant. Eh oui, Jacquou c’est quand même sur 2h30 de film 1h de violons sur des superbes décors. Chouette, méga transcendant et tout, mais un tout petit peu chiant quand même. Et puis, avant d’être un film d’aventure, d’action, de rebéllion et d’héroïsme, Jacquou le Croquant c’est un peu « La vie de Jacquou » : Jacquou cours dans les champs, Jacquou a froid, Jacquou mange, Jacquou lave le linge, Jacquou fait les moissons, Jacquou utilise son zizi d’une drole de manière, Jacquou fait joujou avec des cochons etc… Bref Jacquou sous toutes les coutures, mais pendant ce temps l’action n’avance pas. Et quelle action ! Après maintes brimades de la vie, Jacquou se rebelle contre les vilains méchants (qui sont en noir, mais quuuelllllllle surprise !). Et paf ! Les méchants ils aiment pas ça, alors comme ils sont méchants mais aussi très joueurs, ils le jettent dans un puit (ou une sorte de tout à l’égout on ne sait pas trop). Non, ils ne le tuent pas. Pourquoi ? Eh bien il faut savoir que les méchants obéissent à un code de conduite des méchants, une sorte de ‘code’ qui ne leur permet pas de faire n’importe quoi. Par exemple, alors qu’ils sont sur de gagner, ils doivent expliquer tout leur plan diabolique au gentil, avant que celui avec un gros coup de bol fasse tout foiré. Là, c’est pareil, ils ont pas le droit de le tuer, parce que 1) c’est dans le script, 2) c’est pas fashion du tout. Non, ils le laissent pourrir dans le puit. Pas de chance, il se trouve que Jacquou s’accroche à la vie comme un pou au cuir chevelu et grimpe dans le puit, avant de trouver une espèce de trou bouché par des briquettes. Youpi no souci, il enlève les briquettes à la force d’un cure dent, et entreprend de ramper dans le long tunnel qui mène à une grille. Argh ! Une grille ? Mais que fait-elle là ? Je ne comprends pas bien… Mais si mais c’est bien sur ! En fait il se met à pleuvoir mais vraiment beaucoup, alors Jacquou va être noyé vivant ! Suspense (C’est cela oui…) ! Mais surtout… Comment peut-il être noyé vivant par un torrent déluvien alors qu’il n’y avait que quelques trous dans la roche avant qu’il ne passe ? Normalement la cave du mec est innondée ? Super crédible… Mais c’est pas grave, parce que Jacquou en plus d’être un baiseur du tonnerre fidèle et tout, il creuse à nouveau (mais un peu plus vite) et tombe dans la salle d’arme, ce qui lui donne l’idée d’un plan bien malin pour renverser le evil conte. Bien sur le plan marche, et après tout le monde il est content. Enfin, tout le monde sauf le spectateur, qui s’il rigole bien devant tellement de débilité, se fait quand même chier. Autre remarques en vrac: Jacquou ça marche par coup de pas de bol : son père se tue en prison (alors qu’il était innocent et tout), sa maman en meurt de chagrin en toussant et tout (oui le chagrin ça fait tousser), il se retrouve à oualpé dans le froid. Heureusement il est recueilli par l’ermite providentiel, présent dans tout les scénarios de films maintenant. C’est sans compter sur son deuxième coup de mal bol (de céréales, oui Jacquou le Croquant ça me fait penser à une marque de céréales) qui fait que l’ermite meurt le jour ou le evil méchant vient lui annoncer qu’il l’est plus, ermite (enfin prêtre, mais c’est pareil). Ah oui et puis il se fait tabasser juste après. Pas de bol, hein. Bon je crois que je n’ai pas tout à fait le tour je tout ce qu’il y a de mauvais dans ce film, mais je déconseille fortement d’aller voir ce que j’ai oublié. Il faut fuir voir d’autres films !

Oui, la publicité sur Internet est un fléau (enfin, pour ceux qui n’ont pas Firefox+Adblock bien entendu, je me suis aperçu récemment qu’il y a de la pub sur pas mal de sites que je visite en y allant avec un autre navigateur – contraint et forcé bien entendu). Mais parfois, le placement habile de certaines publicités (oui, celles qui se surimpriment par rapport au texte, un régal) tourne au drame. Streetsblog a réussi à prendre en flagrant délit une des ignobles publicités qui sont prêtes à tout pour être en accord avec le texte (oui maintenant les publicités sont directement ciblées depuis les mots clés de l’article que vous lisez sur Internet). Moi je dis bravo la pub ! D’ailleurs en parlant de pub, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais sur les boites de Ronald Macdonald’s, ou dans les espaces enfants Macdonald’s, les enfants dessinés sont toujours gros. Etonnant… Autre théorie intéressante sur Macdo tant que j’y suis : la plupart des gens qui y vont manger sont minces (eh oui). Explication : D’abord, les gens qui vont y manger sont surtout des jeunes sans trop d’argent. Ces jeunes ne sont pas très gros en général. De plus, après une bonne cure de malbouffe, ils sont gros (fatalement). A partir du moment où ils sont gros, ils ne vont plus au Macdo parce que ça fait grossir. CQFD. De plus, on observe une intéressante corrélation entre le fait de grossir et le fait de vieillir dans ce cas précis, or le vieillissement procède à un enrichissement (certes parfois tout relatif) de la personne, qui peut donc aller manger ailleurs. CQFD derechef. Allez une dernière sur la pub tant que j’y suis : dans la pub pour Coca-Cola avec la fête dans le distributeur (je l’ai vu au cinéma, je ne sais pas si elle passe à la télé), non seulement la pièce disparait pudiquement dans une cascade de lumière, mais en plus ce qui est servi au jeune homme ressemble quand même fortement à une bouteille en verre avec une capsule. La chance ! Je ne sais pas vous, mais moi je n’ai que des canettes en aluminium au distributeur (c’est quand même plus pratique à ouvrir hein, mais c’est moins sexy)… On nous mentirais ?

SaussiceParfois, on se demande ce qu’ont les créateurs dans la tête. Sérieusement, regardent-ils leur oeuvres ? Les poivrières en sont un exemple, objet banal transformé en pénis turgescents par leur créateur. Le nom, fort original ma fois, de la « Socomie » (société filiale de la Silic, spécialisée dans le bâtiment), m’en évoque immédiatement et irrémédiablement un autre, dans un tout autre registre… (quoique les magouilles du bâtiment doivent parfois s’y apparenter). Eh bien d’autre personnes, dépourvues de recul on carrément adoptés des phallus en tant que logo. Le site b3ta en rescence quelques uns. Si certains sont un peu tirés par les cheveux, d’autres sont absolument magnifiques, et le vainqueur magique… A découvrir !

L'illusionnisteAlors l’illusionniste, c’est un peu comme « Le Prestige », mais en mieux et en réussi. Mêlant habilement enquête, magie et flash backs, le film ne tombe pas dans l’obsession d’explication laissant suffisament de flou pour faire travailler l’imagination. Les personnages, sans être transcendants, sont suffisament crédibles pour se laisser regarder. Le personnage du Prince Leopold en particuler est le plus réussi à mon sens. Le scénario est lui tout à fait acceptable, même si l’on a une légère tendance à deviner la fin. Le film comporte beaucoup moins de longueurs que « Le Prestige », ce qui permet de ne pas s’ennuyer lors de ce qui se révèle finalement un bon film de magie. Plus de tours et d’extraordinaire aurait pu en faire un film à revoir, ici on se contentera d’un seul visionnage, au cinéma ou sur DVD, au choix.

L'incroyable destin de Harold CrickUn film au sysnopsis fort intéréssant, avec des acteurs assez bons, aurait pu donner quelque chose de tout à fait drôle. Mais deux facteurs viennent pondérer l’humour de ce film. Tout d’abord son rythme, qui au final se révèle assez pesant car entre les scènes où il se passe quelque chose, de longues périodes d’introspections se succèdent. Cela reste digeste, mais cela aurait pu être plus léger. Le deuxième facteur qui atténue cette impression de légèreté est le ton du film, qui se rélève un peu trop sérieux pour le sujet traité. Du coup on se sait plus trop si l’on doit se livrer à un exercice de réflexion ou bien juste attendre les scènes drôles. D’autre part, les rôles de l’écrivain et de son assistance sont tout simplement horripilant et mal joué. Cela est d’autant plus dommage que les autres acteurs arrivent assez bien à tirer leur épingle du jeu. L’assistante en particulier est parfaitement inutile, on a encore l’impression qu’il l’on rajoutée pour arriver au quota de personnes noires dans le film. La fin, si elle se révèle assez chargée en émotion, aurait pu être beaucoup rapide, ce qui aurait rajouté à la pression. Au final ce film est fait de bonne confiture, mais étalé sur une troooooooop grande tartine.

ubuntu-installer.jpgDepuis quelques temps, la communauté Linux s’agite afin de faciliter l’installation de Linux sous windows. Deux initiatives notables existent:

  • InstLux, qui permet de préparer un système à l’installation complète de Linux depuis le net ou bien depuis un CD-Rom, très pratique pour ne pas avoir à graver un CD ou autre, et pour migrer une vielle machine encore sous windows. Les distributions supportées sont pour l’instant Ubuntu et OpenSuse, mais d’autres devraient suivre;
  • Ubuntu installer, qui n’en est qu’au stade de prototype, mais a pour avantage de ne pas remplacer définitivement la partition Windows.

Suivant l’usage que l’on veut, l’une ou l’autre des solutions est à sélectionner. Dans tout les cas, leur utilisation est ultra-simple même pour un néophyte, ce qui permet d’envisager une migration seul(e) vers Linux. Par exemple un utilisateur peut utiliser Ubuntu installer au début et migrer ensuite définitivement avec InstLux.

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Mushuroom phallusAprès les poivrières, voici les chamignons ! Eh non mesdames, désolé de vous l’annoncer, mais vos hommes n’ont rien inventés avec cette forme si agréable et si ergonomique qu’est le phallus. Pour preuve, voici ces champignons (bien antérieurs à l’homo sapiens tel que nous le connaissons) qui exhibent fièrement leur forme et arborent toutes sortes d’attributs fort plaisants. Je vous laisse seuls juges…

Photo MystèreAlors voilà, lors de mes pérégrinations à Grenade, j’ai acheté ce magnifique objet pour un prix assez modeste. La question est : quel est cet objet? Afin de rendre le jeu un peu plus dur, il y a un flou volontaire sur la partie arrière de l’objet. Le flou horizontal au fond n’appartient pas à l’objet mais au fond de ma chambre. Il faut cliquer sur la photo pour avoir la version agrandie. Et non, petits malins, je n’ai pas mis le nom en titre du fichier, ce n’est pas la peine de vérifier :p. Si jamais vous devinez juste du premier coup, je me coupe une partie de mon corps (au choix) très fin menu.