Au cas ou vous vous poseriez encore la question, la musique de la nouvelle pub peugeot 207 est « The Marcels – Heartaches », musique des années 90 si je ne m’abuse.
En voici un extrait, la musique devenant franchement moins bonne sur la fin du morceau:
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Inside Man nous prend tout de suite au jeu avec une introduction plein d’interrogations. Le reste du film ne décevra pas. Nous tenant en haleine de bout en bout, on se creuse les méninges pour savoir bon sang ! comment ils ont fait, et surtout quel est l’enjeu de ce qui n’est évidemment pas un simple casse. Le jeu des acteurs est assez bon, sans crever le plafond non plus. Un bon thriller qui arrive à renouveler un peu le genre trop visité par des films médiocres.
Oui bon… Le principe est excellent, le jeu des acteurs aussi, mais comment dire… La sauce a du mal à prendre. En fait, le fait de passer de la malchance absolue à la chance absolue aurait pu donner lieu à de bien plus nombreuses situations cocasses, et à un héros, qui, au lieu d’aller vers l’épuisement moral, aurais pu réagir de manière beaucoup plus drolatique. On le retiendra pour une petite location DVD, ça permet de se détendre une soirée.
Partant d’un principe gentillet, le film s’enfonce lentement mais surement dans le marasme de la niaiserie. Comme on voit chaque scène venir à des kilomètres, on a tout à fait le temps de s’ennuyer et d’explorer plus avant une salle de cinéma plongée dans l’obscurité.
En bref, un long moment d’ennui dont la fin du film est l’apothéose (de l’ennui, hein, pas du film).
Attention : ce flim n’est pas un flim sur le sérieux. Non, franchement, c’est une bonne tranche de rigolade. Tout ce qui se fait de pire dans les flims de vampires and co, ils l’ont repris. L’héroïne, qui n’a pas changée depuis le premier opus, est toujours aussi risible quand elle dandine du cul dans son ensemble cuir (elle en a pas marre, au bout de 600 ans, de dandiner son cul ?). Les méchants sont très méchants, mais surtout très cons. D’ailleurs techniquement ils ne sont pas les seuls, les gentils (ah bah oui, c’est un flim américain, ya des gentils et des méchants, c’est facile, les gentils ils sont jolis, les méchants ils sont baveux et moches) aussi sont très cons. Voyons voir… j’ai le moyen de rendre l’humanité immortelle, sans contrepartie franchement gênante, mais je le fais pas… Non, c’est pas fashion. Pendant ce temps là, mes deux fistons tuent et ravagent à tour de bras, mais je ne peux pas les arrêter, c’est mes fistons !
Mais il n’y a pas que ça, hein. Le réalisateur a déclaré qu’il voulait s’éloigner des films de vampires « mystiques », non, lui c’est du sérieux, il a construit un univers cohérent et scientifique. A commencer par une « maladie génétique qui se transmet par le sang », c’est quand même assez curieux. Mais alors, que quand les fils du premier immortel (c’est lui qui a le pouvoir de rendre l’humanité immortelle mais qui ne le fait pas) se font mordre par un animal, ils en acquièrent les caractéristiques, ça c’est franchement débile. J’imagine la scène : « Papa, j’ai été mordu par un koala ». Hop! Des hommes-koalas. Fabuleux. Et pis, dans ce film, l’absorption de pouvoir se fait en ingérant des gouttes du sang d’autres personnes. Dans ce cas, qu’est-il arrivé aux animaux (le loup et la chauve souris) qui ont mordu les premiers immortels ? Rien parce que ça rentre pas bien dans le scénario. D’ailleurs le scénario nous apprend que rien n’est simple, tout est lié, sauf quand l’hélicoptère tombe a coté du pont où lieu le combat final, rotor toujours en marche, ça c’est bien la manière dont meurt le méchant.
Donc un bon film comique (avec la pire scène « hot » de film américain qu’il m’aie été donnée de voir – à mourir de rire).
Moi j’adore google. En tant que moteur de recherche, il est pas mauvais, mais c’est surtout en tant que robot pas très malin que j’aime l’utiliser (je reviendrais bientôt sur les magnifiques recherches google image, à chaque fois un moment de joie).
Voici sa dernière « trouvaille » en date, qui m’aide beaucoup dans la vie de tout les jours:
Eh oui, c’est fort, c’est balaize, c’est presque incroyable, un dollar vaut un dollar.
Que dire que dire… C’est un de ces films que l’on va voir pour se détendre, sans plus. Cet objectif est parfaitement atteint. Les situations cocasses (même si c’est la plupart tu temps mécanique) se succèdent rapidement, et la fin du film arrive sans s’ennuyer. Le jeu des acteurs est assez bon, avec une mention spéciale pour la scène mémorable où ils doivent danser de manière plus ou moins grotesque pour prouver leur appartenance à un show. La seule « fausse » note à mon sens est constitué par Beyoncé, qui n’apporte pas véritablement grand chose au film (et pis sa musique, elle pue).
En résumé, c’est bien marrant, c’est bien con, c’est bien à voir.
Bon film, quoiqu’un peu fouillis et difficile à comprendre par moment. Ce film réalise un bon exposé du point de vue de l’auteur sur la situation au Moyen-Orient, on peut ne pas être d’accord avec tout, mais certaines de ses remarques sont tout à fait pertinentes à mon sens. C’est un peu dans le style de Lord of War, mais en plus lourd, et avec moins de touches d’humour. Dans l’ensemble, c’est assez dense et assez peu digeste, il faut être préparé pour ce genre de films.
Le plus gros défaut de ce film, c’est son titre, qui ne correspond pas vraiement à son contenu. En effet, si des braquages un tant soit peu ratés sont bien présents dans le films, ils n’en consitituent ni l’attrait principal, ni même l’intrigue. En effet, la partie intéréssante correspond à la lente descente d’une famille, qui, partant d’une situation où elle a tout pour être heureuse, s’enfonce lentement dans le marasme. Jim Carrey est très bon avec ses mimiques habituelles, et Téa Leoni est crédible, sans s’enfermer dans le rôle de potiche. Un des moments mémorables du film est le passage où ils braquent un homme fortuné, et qu’ils s’amusent à faire des « bruits » grâce à des transformateurs de voix qui ont tout de jouets pour gamins.
Bref, pour se détendre, c’est excellent, ça se regarde tout seul. Bonus: le problème traité en tâche de fond est assez bien décrit, sans le décribiliser complètement.
Une bonne comédie pour enfant, avec le langage appuyé et le scénario connu à l’avance qui vont bien. C’est bien réalisé, a peu près bien joué, bref, du bon sympathique. Si vous avez gardé une âme d’enfant, vous pouvez aller le voir, sinon, ennui en perspective (et surtout vous serez jaloux des enfants qui, eux, apprécient le film).
Les majors et les radios, ces rois de la diversité et de l’invention. Pas plus tard que l’autre jour, zappant gaiement entre les bouses habituelles de la radio, ne voilà-t-il pas que je tombe sur un morceau entrainant, un poil trop d’ailleurs : comment est-ce possible, à notre époque morose ? Tiens d’ailleurs, ce petit air de déjà entendu… Vite, ma collection vintage ! Haha, je te tiens, vil plagiaire ! Eh oui, madame, monsieur, à notre époque, on ne fait plus des reprises, non, ça ça pue, on fait des remix (en plus c’est moins compliqué, rapport à la faible différence au morceau original). Alors oui, je sais hein, c’est pas nouveau. Sauf que, en général, c’est un poil travaillé. Ici, c’est copie conforme. Voici donc les trois morceaux remixés, par ordre croissant de ressemblance avec l’original. Bien entendu, à la radio, ces morceaux sont présentés comme étant des vraies nouveautés nouvelles, qu’il faut vite aller donner ses sous au major disquaire parce que c’est le Bien.
Sans plus attendre:
Le « nouveau » morceau (Starstylers Feat Michy – Keep On Moving):
ainsi que « l’original » (Sah! – Equador):
Mais bon, il y a mieux. Toujours dans le récent, voici Pakito, qui a fait preuve d’une imagination tout à fait délirante, presque folle:
La « nouvelle » version (Pakito – Living On Video):
et l’ancienne (Pin-Occhio -Tu Tatuta Tuta Ta):
Ainsi qu’un spin-off français qui déchire sa maman (Trans-X – Vivre Sur Video):
Mais le grand gagnant, c’est Eurythmics. Après avoir eu SweetDreams remixé à toutes les sauces (en vrac La Bouche, Pink, David Guetta, Manson… je suis sûr d’en oublier), il le ressortent, totalement différent, totalement neuf:
La version originale:
et la version remastérisée remixée:
On sent tout de suite la différence… non ? Parfois je me demande si NRJ et Nostalgie n’ont pas finalement la même grille de programmes.
Du bon, du moins bon dans ce film, qui finalement, comme tout les films américains, fait la part belle à la niaiserie et au bien pensant. La différence des âges, la différence des milieux fait vu et revu (tiens encore un film New Yorkais qui traite des Juifs et de leurs petites manies, comme c’est original) et finalement on attends plus les gags automatiques qu’une vraie détente globable de film. La fin poussive n’aide pas non plus à la compassion.
Autant je comprends qu’une certaine génération aie put aimer les Bronzés 1&2 (quoique personnellement, je n’aime pas), mais là ça confine au mauvais film. Tout est prémaché, préochestré… Il parait que lors de l’écriture du script, les acteurs se sont tous associés, et que si une réplique ne plaisait pas à l’un des acteur, elle était supprimée. Et bien, cela se sent pendant le film ! Les gags sont à peine drôles, et les lenteurs sont légions. De plus, le final est une explosion de mièvrerie sur le pardon, l’amour, les vraies valeurs de la vie et tout ce qui est bien, et bon. A croire une influence américaine, à moins que cela soit uniquement l’âge des acteurs, qui les rends gâteux. Gerard Jugnot est d’ailleurs, comme à son habitude, parfaitement insupportable.
Donc pour les fans des 1&2, je sais pas, pour les autres, à fuir !
Bon, bah… Michael Youn s’améliore, mais c’est pas encore ça… C’est bien mieux que les 11 commandements ou la Bouze (euh la Beuze), mais c’est encore assez pénible, avec des répétitions, des lourdeurs… Il faut espérer que chaque film améliore le précédent, dans trois ou quatres films la qualité devrait devenir acceptable.
La beauté graphique d’un film d’animation fait-elle un bon film ? La véritable histoire du chaperon rouge est là pour démontrer que non. D’une animation tout juste bonne, le scénario, les gags et la tournure de ce film en font un pur moment de divertissement. Partant du principe d’une enquête policière autour de l’affaire « Petit chaperon rouge », la même histoire nous est raconté par des protagonistes différents, qui, à chaque intervention, complètent et expliquent la version précédente (par exemple, le loup, qui est présenté comme le méchant dans l’histoire du petit chaperon rouge, est en fait… je vous laisse la surprise).
Un des moments génialissimes du film est le bouc, qui ne peut malheureusement jamais s’arreter de chanter et changer de paires de cornes.
Comment les armes arrivent-elles sur les lieux des principaux conflits de cette planète ? Comment est-il possible que des pays ou des factions ne possédant pas la technologie se retrouvent avec les dernières armes à la mode ? Voilà les questions auquel se film tente de répondre. Le sujet est assez bien traité, sans trop de mélodramatique. La partie informative n’est pas franchement folichonne, mais peut certainement permettre d’ouvrir les yeux à certaines personnes.
A voir si vous avez encore des doutes sur le prix d’une vie humaine.