Comme on peut le lire souvent sur ce blog, je mets souvent en cause les bonnasses en des termes parfois peu élogieux. N’est-ce pas un jeu injuste? Elles n’ont pas vraiment choisi d’être des bonnasses, après tout c’est leur maman qui les a faites comme ça (avec un peu l’aide de leur papa aussi il faut bien le reconnaître). Après tout les bonnasses ne m’ont rien fait. Mais moi non plus je ne leur ai rien fait. C’est là la cause première du problème. Et oui, je suis un gros frustré et tout, et du coup je me venge bassement sur des personnes qui ne peuvent pas se défendre de manière anonyme sur internet. Hou que c’est lâche! Hou que c’est vilain! Bad, bad, x2b4! Maiiis non, je rigole. Évidemment que j’en ai rien à foutre de tout ça, qu’il n’y a pas de vengeance et que le pot de sperme dans ma chambre c’est du lait concentré sucré. Non, le vrai problème des bonnasses, c’est qu’elle en profitent. Putain, ça, ça m’énerve! C’est vraiment dégueulasse. Tout ça parce que j’ai un gros sexe, elles en profitent pour faire lâchement, et le plus souvent inconsciemment, ce qui est même peut-être plus grave, appel à ma libido pour avoir quelque faveur que soit de moi, qui ici une bonne critique cinéma, qui là un café, qui encore un sourire. Non, non, non! L’heure est à la révolte. Plus jamais je ne me laisserai influencer par ces niveaux anormaux de testostérone dans mon sang. En véritable miraculé thérapeute, je me dois donc je mettre les autres en garde contre le danger qui rôde, rampant.

Aller, pour finir, une petite devinette. Qui est représenté dans l’image ci-contre? Si tu ne devines pas avec le visage coupé, tu peux cliquer pour l’avoir grand (c’est toujours bien fait avec x2b4, en plus on peut se rincer l’œil gratos).

Résultats du test:

  • Tu as trouvé avec la miniature mais tu as quand même cliquer pour te branler dessus : Pas bien! Raté!
  • Tu as trouvé avec la miniature : Aïe aïe aïe… Encore pas mal de progrès à faire;
  • Tu as trouvé avec la grosse image : Bien, bien, en progrès. Continue comme ça!
  • Tu n’as pas trouvé : Bravo et bienvenue!

Pour cette dernière catégorie, la bonne réponse est Elisha Cuthbert.

Rien que pour vos cheveuxCritique express : Déjante et rafraichissant à souhait, « Don’t mess with the Zohan » est un pur divertissement. A voir.

Adam Sandler, on le sait, ne fait pas que dans la finesse. Alors, quand on le voit cuir du poisson nu (lui, pas le poisson) dans la bande annonce, on peut légitiment craindre le navet. Soyez rassuré, il n’en est rien. Ce film aborde avec un ton humorisitique la tolérance entre deux peuples. Le comique provient principalement des acteurs, tous dans leur petit monde qui ne s’applique qu’imparfaitement sur la réalité. Hauts en couleurs, ils sont tous plus déjantés les uns que les autres. Adam Sandler, est, quand à lui, un peu au dessus de son niveau standard. Il faut dire que son accoutrement et sa coupe de cheveux lui enlève son air con et niais de d’habitude. Bon, après, ça reste du convenu au niveau du scénario, même si quelques surprises (notamment la chèvre) parsement le script. J’ai un peu regretté que la partie de Hacky Sack ne soit pas plus poussée. La fin est bien entendu, comme dans tout film américain, convenue à souhait. Mais cela n’empêche de ressortir le sourire aux lèvres de ce qui se révèle être un bon film.

Shaolin BasketCritique express : Définitivement trop mou, le film n’arrive à transformer les quelques bons moments en quelque chose de construit. A éviter.

Shaolin Basket, c’est le film avec plein de bonnes idées qui se retrouvent toutes foireuses. D’abord, l’idée de faire du basket avec du kungfu. En réalité, cela sera du basket tout seul, et encore, on en voit pas beaucoup. On voit surtout la tête de cake de l’acteur principal qui est vachement amoureux de l’héroïne et qui finalement va se la taper à la fin, c’est super. Deux trois passages sont bons, notamment ceux avec les maitres des arts martiaux, qui eux savent se marrer. Sinon la musique est risible (avec des paroles comme « ta peau est douce comme le tofu, tofu, tofuuuuuu »), et la brochette de stars asiatiques ne permet pas de sauver le film. Dommage.

Sur le site WebEcoist, je suis tombé sur ces deux vidéos marrantes.
La première montre quelqu’un en train de voler son propre vélo, en plein New York, de manière de plus en plus ostensible.

La deuxième est tout simplement hilarante, un arbre « pond » des chèvres, qui visiblement, sont aussi à l’aise sur une branche que sur un pic de montagne…

C’est dingue, comment les médias arrivent à transformer la réalité face aux esprits faibles. Prenons en exemple un article sur lequel je suis tombé par hasard et des nues en le lisant.

Observons le titre:

A6: plusieurs morts dans un bus de supporters de l’OM

Déjà, ça commence très fort! Ca veut dire quoi supporters de l’OM? Ca veut dire qu’ils avaient plus de chance de mourir ? Ou alors qu’on les regrette moins, ou plus? Bref, je ne vois pas le rapport entre les supporter et le fait qu’il soient mort. Bientôt des articles titrés « explosion à la superette, plusieurs victimes parmi l’amicale du tricot de Bourgeroin ». C’est super et c’est génial. Continuons. « Plusieurs morts », dans un bus, on se dit, merde alors! Quand même! En fait, plusieurs égale deux. Oui, deux. Je cite:

On ignore encore l’identité des victimes. La première est morte sur le coup. La seconde est décédée durant les soins qu’on lui prodiguait.

Bah, en même temps, deux c’est plusieurs. C’est pas un, quoi. Technique digne des minutes d’agents immobiliers si vous voulez mon avis. Un peu plus bas, je lis:

Le plus jeune des passagers est âgé de 13 ans, il n’est pas blessé.

Mais putain de bordel! Qu’est-ce que c’est que ce truc? Genre, ouuuf, le jeune n’a rien? Les autres, bon, ils étaient vieux, alors, c’est quand même un peu moins grave. Cette société ne va plus nulle part. Déjà que les enfants, c’est sacré blablabla (même chez les athées vous noterez ça, alors de quel sacre il s’agit, allez pas me le demander), cf. la chasse au pédophile, quasiment pire que les terroristes. Mais là ça en devient risible. Ou à pleurer, je ne sais pas, je ne sais plus. Le monde est fou. Un banal accident de bus se transforme en massacre, mais fort heureusement, la brebis blanche car jeune s’en tire c’est un miracle merci mon dieu. Je renvoie à la planche de Franquin sur le même sujet dans idées noires.

Non mais sans rire, il y en a encore qui utilisent Internet Explorer 6. Bon, il y en a qui sont obligés par leur travail de merde et leur patron frusté des nouvelles technologies, mais il y en a, c’est quasiment un choix ! Sans déconner, ça coute quoi de télécharger firefox ou opéra, ou même de faire l’upgrade jusquà Internet Explorer 7 (toujours mieux que rien, au moins les pngs seront transparents). Non parce que mon site il est quand même un poil plus joli quand le navigateur il comprends les css, hein. Enfin bon, je dis ça, je pisse dans un violon, ça fait pas le même bruit. Mais si j’ai changé un navigateur dans le monde, c’est un pas de plus vers la rédemption.

The Dark Knight, Le Chevalier NoirCritique express : Les collants moules bites tout noirs, c’est très gai. Mais ça donne aussi de la crédibilité. A voir.

Je ne sais pas ce que j’ai, mais en ce moment, j’ai aucun succès avec mes laitages acteurs. Bé oui, tout ceux que je vais voir, ils ont une tête de con. Christian Bale n’échappe pas à la règle. Il a un petit coté Tom Cruise de mes deux, mais en mieux quand même. N’empêche que dans mon esprit, je ne sais pas, mais Batman il avait un coté intelligent, un peu classe. Là, c’est un gros bourrin sans cervelle. Du coup, qui c’est qui en profite ? Eh bah c’est les vilains méchants (j’ai failli écrire méchiants, oups le lapsus), comme d’habitude !

Eh oui, quand on est laid et qu’en plus on est joué par un acteur mort, et bah, on est méchant. Donc, le Joker, il est vilain, mais très très malin. Parce que sans thune et sans support, il retourne toute la pègre comme une carte à jouer. C’est incroyable, d’ailleurs je ne le crois toujours pas et je crie au pipeau, au scandale. Non mais faut arrêter, un mec sans rien, il peut pas plastiquer tout un hopital en une heure. D’ailleurs il ne peut pas plastiquer tout un hopital tout court mais passons. Il a de puissant alliés dans la police c’est pour ça. Mais alors, là où ça devient grave, c’est double face (ou pile ou face, on s’en fout). C’est dingue : le mec au début, il est beau, il est cool, il se tape une super nana. Suite à un malheureux accident (qui d’ailleurs n’est pas crédible du tout, batman qui est à deux centimètres n’a rien) il devient tout moche. Et hop ! Coté obscur tout ça. Je croyais que depuis Dark Vador, on avait compris que c’était du gros n’importe quoi. C’est pas parce qu’on se fait bruler la face qu’on devient méchant. D’ailleurs moi j’en aurais plutôt après ceux qui m’ont fait ça, mais bon. Mais du coup, on a deux méchants, et forcément, comme Batman n’est pas trèèès malin, cela lui prend du temps pour tous les arreter (surtout que pendant qu’il en arrete un l’autre se libère, alors c’est pas gagné gagné). Ho, un mec a mal au bide de manière bizarre ? Mais moi je dis CA PUE A DIX METRES JE ME CASSE ! Mais non, dans la police, on est plus fort que tout le monde, sauf quand on meurt. Bon, c’est bien fait en même temps. Il est grand temps que Darwin reprenne ses droits, bordel de merde ! Mais je m’emporte. Digressons calmement sur les gadgets de Batman. Mais où sont-ils ? Bonne question. On en voit très peu, en entend encore moins. Son meilleur gadget restera le droit-enchainé-d’un-bon-coup-de-boule, qui mets bien k.o. Ah si, il a une espèce de dispositif ultime qui lui permet de voir en 3D toutes la ville. Comme ça sert à rien, il le détruit. J’aurais fait pareil à sa place (tout en prenant soin de marquer sur mon petit carnet les addresses des bonnasses, que j’aille leur montrer mon nouveau slip moulant). Bon, que dire de plus, si ce n’est qu’à la fin tout est bien qui fini bien, il gagne et les méchants sont en prison. Mais alors, mais alors, pourquoi, alors que j’ai spoilé comme un batard et démonté le film, je recommande d’aller le voir. La raison est simple : les moules aussi ont le droit au cinéma.

Braquage à l'anglaiseCritique express : Un peu poussif, le film n’en reste pas moins efficace et crédible. A voir si on aime le genre.

Ah… Jason Stahman. C’est dingue, ce mec joue dans autant de bouses que dans de bons films. A croire qu’il n’a pas d’agent, ou alors qu’il ne lit jamais les scripts. Toujours est-il qu’il ne s’est pas trop fourvoyé avec celui là. D’abord, il endosse un rôle qui lui va à la perfection: celle du petit chien battu avec des yeux rentrés parce que ça fait plus con. Ça tombe bien, son personnage l’est très (con). D’où grosse crédibilité. Ensuite, même si on voit venir légèrement l’intrigue, le scénario est suffisamment bien ficelé pour que l’on ne s’ennuie pas. Le principal atout de ce braquage, c’est qu’il est fait par des amateurs (lire : newbs) complets, qui, forcément, vont un peu tout foirer (et d’ailleurs seront pas forcément très très vivants vers la fin du film mais chut !). Du coup tout part un peu en sucette et c’est limite comique. Heureusement le regard de teckel de Jason nous rappelle que c’est du sérieux. Tellement sérieux qu’il se sent obligé de sauter la première gonzesse venue en plein braquage (hop habile spoiler que je dissémine partout). Le film n’est pas excessivement violent, sans rester dans l’enfant de cœur. Coté image, c’est gris, mais bon, hein, c’est à Londres, alors on peut pas avoir des anglais et du soleil. C’est des anglais ou du soleil. Bon, et puis l’action est dans le passé. Moi chuis pas trop fan des trucs vieux, mais certains semblent aimer (comme quoi il y a des gens de mauvais gout). Je réitère le conseil du début : il faut aimer le genre. Sinon, passez votre chemin.

pidgiJe commente rarement les sorties de logiciels, pour la bonne et simple raison qu’elles sont inintéressantes. Mais là ! Pidgin 2.5.0, c’est du tout bon. D’abord, moi aussi je peux enfin envoyer des emoticons personnalisées sur MSN, et ça, c’est trop de la balle. Dès demain je vais moucher le caquet d’un certain nombre de personnes médisantes sur le logiciel libre. Ensuite, plein de corrections de bugs (sur MSN, sur Jabber…), de l’amélioration de GUI (notamment sur les emoticons), le nouveau protocole MSN pris en charge… Bref, que du bon à télécharger très vite. A noter que cette version, comme les versions précédentes, n’arrive pas à détecter que le raccourci de lancement au démarrage a été changé. Il faut donc le sauver à la main pour le restaurer ensuite.

Voulant transférer un beau fond d’écran sur mon nouveau téléphone portable Samsung E700, je décrète que les cables usb sont désuet et que je vais utiliser une belle connexion Bluetooth avec du bon cancer dedans que c’est chouette. Tout marche bien jusqu’à au début, ou il faut que j’associe à la main mon périphérique. Je précise que j’utilise le logiciel de Samsung, qui, si il est loin d’être pourri, n’est tout de même pas le top. Outre les boutons skinnés à la moche (c’est dingue le nombre d’applications qui se disent qu’elles vont imposer une skin à l’utilisateur), c’est que du windows pourri et en plus ça bug à moitié. Donc voilà mon téléphone apparié, mais cela ne marche toujours pas. Grâce à mes nombreux neurones encore fonctionnels, je découvre qu’il faut que je crée à la main une connexion COM dans windows. Sitôt dit sitôt fait, sauf que Windows me crache une belle erreur :

« Erreur de service bluetooth » : « Accès refusé »

Ce qui n’est pas très sympa. Fort heureusement, Google est mon ami (enfin plus trop mon ami maintenant qu’ils me fliquent partout, mais bon, on va faire avec) et je trouve ce merveilleux article qui explique que le service Bluetooth ne possède pas les bons droits pour s’exécuter que c’est fort. La correction (copié collé du site susnommé, n’allez pas croire que je me suis fait chier à taper tout cela):

  1. Cliquez sur « Démarrer » -> « Panneau de configuration »
  2. « Outils d’administration » -> « Services »
  3. Clic droit sur « Bluetooth support service »
  4. « Propriétés »
  5. Onglet « Connexion »
  6. Sélectionnez « Compte système local » au lieu de « Ce compte »
  7. Ok
  8. Clic droit sur « Bluetooth support service »
  9. « Redémarrer »

Et là, magie de l’informatique, tout marche. J’installe mon beau fond d’écran que je peux crâner maintenant avec. D’ailleurs comme je suis vachement sympa et qu’il est trop beau, je le mets en dessous. Et ouais chuis comme ça moi.

La Momie : la tombe de l'Empereur DragonCritique express : Ils ont osés. Ils ont massacrés ma Momie. A éviter.

Pourquoiiiiiiiiiiiiiiiii ! C’est triste, merde ! La Momie 1&2 c’était réussi et tout ! D’abord, un fait surprenant. Je ne supportais pas Rachel Weiss dans les deux premiers. En fait, elle était très bien. Super même. Parce que là ils l’ont remplacé par une tepu à 2€ qui fait rien que faire sa salope sans toucher une bille. Les « enfants » sont joués par des newbs qui apprenent encore à articuler correctement leur prénoms, alors pour dire du chinois c’est pas gagné. Jet Li est tout perdu dans ce film de merde et il se demande si ça valait le coup, finalement, l’agrandissement de la piscine à Los Angeles. Scénario en carton (vu et revu en plus, faudrait renouveler), acteurs en carton, décors en cartons… Pourquoi diable allé-je me fourvoyer dans cette galère ? Nul ne le saura, mais une chose est sûre, il faut fuir ce film, et vite !

japanese-eye-lens.jpg

Ouh la bonne cerise !

Les japonais ne savent plus quoi inventer (le reste du monde aussi d’ailleurs) et le prouve une fois de plus avec ces superbes lentilles pour grossir les yeux et les avoir comme dans les dessins animés. Ça s’appelle des Geo-lens qu’il parait. En gros la lentille agrandis l’iris au lieu d’être de la même taille (pour les lentilles qui teintent). Ce qui donne ce merveilleux regard chatoyant et au combien vrai. On s’y croirait. Mais bientôt des applatisseurs de nez, un appareil-pour-se-transformer-en-SD-et-être-super-kawaii et j’en passe. Vivement la suite.

La source.

Le Monde de Narnia : chapitre 2 - Prince CaspianCritique express : Toi aussi avec l’Oréal, tu peux avoir des beaux cheveux et jouer comme un pied. A éviter.

Bon, l’opus numéro un était regardable. Si, si, regardable. Je maintiens cette position difficile car le film était très bof bof. Mais, MAIS ! Néanmoins bien meilleur, oooh ouii, que celui-ci. Joué par des prépuceaux qui s’émeuvent d’une fleur qui ressemble à un téton, on entre dans le n’importe quoi scénaristique pour ne jamais en ressortir. Des gros bouffons en combattent d’autres, du coup, ils arrivent pas bien à finir, c’est normal. Donc ça prend des plombes… Qu’est-ce que c’est chiant, c’est dingue ! Mention ultra-spéciale pour l’arbre qui « s’ouvre » à la fin, si ça c’est pas un symbole vaginal, c’est que les psychanalistes sont des gens sérieux. Les effets spéciaux ne relèvent même pas le film,  tant ils sont absents. Triste réalité d’une tranche de vie bêtement perdue dans une salle de cinéma…

L'Incroyable HulkCritique express : On plonge en plein le gros lol. A éviter.

Edward Norton, je l’aime pas, je l’ai jamais aimé, il a une tête de chien battu qui serait frappé de débilisme. Bref, là, il joue dans un film de merde, alors je vais pas l’épargner. D’abord il n’est pas crédible une seule seconde en Hulk avec son physique de crevette anorexique. Ensuite il est « excité » (sic) par Liv Tyler, ce qui veux bien dire qu’il est pas normal ce mec. Non, franchement, être exit (comme dirait Borat) par Liv Bouche-En-Forme-D’-Egout Tyler, faut le faire. Enfin, ça m’aurait bien fait marrer qu’il l’explose alors qu’il se transforme en Hulk. Mais c’est un film américain, donc pas de sexe. Ou alors dans le noir parce qu’on est pudiques. Bon, donc Liv aussi, deuxième gros point noir du film. Le troisième, c’est la modélisation de Hulk, gros flash back dans les années 90 tellement c’est tout moche. Non mais sérieux, un peu de polygones ça l’aurait grave fait. Ou alors un quelconque goût artistique. Aussi. Passons sur le scénario-moi-aussi-je-tiens-debout-sur-un-ticket-de-métro, qui fait bien rire les gens avec des neurones. Entre hasards et retard minutés pile poil, c’est fou ce que les transports peuvent être prévisibles. Les méchants sont en plein dans le syndrome « les pions d’abord », examinons un combat contre hulk:

  1. J’envoie des troufions. Ils se font décapiter.
  2. J’envoie des troufions avec des mitraillettes. Pareil.
  3. J’envoie une (1) jeep. Hulk rigole et l’écrase.
  4. Paniquant un peu, j’envoie plusieurs jeeps. Mais comme j’en avais que trois, bah, il en reste plus que deux. Hulk rigole derechef.
  5. « Mais que fait cet hélico ? » Je comprends que ma technique n’est pas au point. Hulk bute l’hélico pendant que j’effectue un repli stratégique.

Bref, envoyer les troupes en même temps et de manière coordonée, c’est pas donné à tout le monde. Du coup, Hulk il est trop fort et il guéri, ah non en fait, ou en fait si, on comprend rien et on s’en fout. On se fait chier, le méchant monstre est encore plus moche que Hulk, ce qui est dur, et la fin est tellement conventionnelle qu’ils auraient pu mettre les crédits au milieu du film. En même temps, rien de surprenant venant d’une surproduction américaine…

WALL·ECritique express : Un classique bien traité. A voir.

Wall-E, c’est un sujet ultra classique, l’histoire d’amour du petit moche envers la pureté blanche, mais traité avec des robots. Le résultat final est pas si mal que ça, même si l’humanisation à outrance des robots peut rebuter par moments. D’un point de vue technique, il n’y évidemment aucun défaut, même si le rendu reste très classique. C’est beau, c’est bien animé. Le scénario, sans être ennuyant, n’est pas ultra-fabuleux. Il faut toutefois mentionner le moment tout bonnement hilarant de la découverte des humains, devenus… Je vous laisse la surprise. C’est clairement le moment que je préfère dans le film. Ce qui entraîne le fait que la fin du film est légèrement au dessus du reste, avec une action qui s’accélère et un final… bah, conventionnel, quoi. C’est ce qui est dommage, ils ne sont pas assez lachés…

Kung Fu PandaCritique express : Rafraîchissant et délirant, Kung Fu Panda est une bouffée d’air frais dans le monde l’animation. A voir.

Curieusement, c’est avec un léger à priori négatif que je me rendis dans la salle de cinéma. En effet, la bande annonce avait eu un effet répulsif sur l’être fin est distingué que je suis. Les gags n’étaient pas très fins. Fort heureusement, ce sont les seuls du films, car tout le reste est tout simplement fabuleux. On ne s’ennuie pas une seconde à suivre les aventures de Po le panda (fils d’un canard, déjà ça commence bien) qui va passer du statut de cuistot à celui de star. Pour cela, il va falloir que son improbable maître ruse de mille manières pour arriver à bouger sa graisse… Coté technique, l’animation est vraiment très faite, avec notamment les muscles que l’on voit bien à travers la peau. Les expressions faciales sont très bien rendues avec des mimiques du panda tout simplement hilarantes. Tout le reste du film n’est que prétexte à déconnades, avec un parti pris résolument délirant. Bref, ce film est un pur joyaux, que je recommande chaudement que cela soit au cinéma ou en DVD.

Voyage au centre de la TerreCritique express : Un film qui revisite Jules Verne de façon, disons… originale. A voir pour le comique (ou alors en 3D).

D’abord, ce film sera probablement vu en 2D. Vu que trois pauvres salles se battaient pour avoir la 3D, je l’ai vu en 2D. On voit bien les moments où on « devrait » voir la 3D, mais cela reste désespérément plat. Cela n’empêche pas une certaine esthétique de s’intaller, entre le dessin et le réalisme. Personellement, j’ai beaucoup aimé. Ce qui veut dire que les personnes de goût aussi. Bon, bien sûr, il y a l’héroïne que le héros va se taper parce que la voir suer ça lui donne la trique, eh bien elle est moche. Triste réalité que le cinéma aujourd’hui, où les fautes de goût telle celle-ci sont malheureusement monnaie courante. Sinon, le film est bien marrant, que cela soit à desseim ou non. Les scènes loufoques à la physique fantaisiste sont légions, du début à la fin. On apprend qu’il est aussi possible de faire le voyage du pôle nord à la sicile en à peine une semaine, à pied. Eh oui, faut être rapide. Mais non, je suis mauvaise langue, ils sont au centre donc il y a moins à parcourir (mais bien sûr…). Au final on ne regrette pas la scéance, mais la mémoire ne s’encombre pas vraiment des détails…

L’autre jour, un titre au consonances bien familières vient me chatouiller l’oreille. Comme d’habitude, un DJ a eu l’audace de l’originalité en repompant un vieil air à succès. Je vous propose donc d’écouter les morceaux suivant de Basshunter:
Basshunter – All I ever wanted (version anglaise pour le marché international):

Basshunder – Vi Sitter I Ventrilo Och Spelar Lite Dota

Maintenant je vous propose de comparer avec ça, Daddy DJ – Daddy DJ (qui date quand même de 2000!):

Wanted : choisis ton destinCritique express : Merdique à souhait, le film saura arracher des sourires convenus aux personnes avec plus que trois neurones. A éviter.

Angelina Jolie, elle est moche. C’est un fait. Bon, en plus elle joue mal. C’est un autre fait. Mais ce qui, je pense, est plus méconnu, est qu’elle est contagieuse. Bilan : Tous les acteurs sont cons et moches. Pas pratique pour faire un film réussi. Le réalisateur n’a même pas du se poser la question, tant il brille par son absence tout au long du film. Le scénario tient sur un poil de cul, et ho surrprise le méchant n’était pas celui qu’on pensait mais en fait si un petit peu. Les balles fusent rarement, tuer c’est cool et moral en plus, parce que sinon de vilains méchants vont aller tuer les parents des petites filles (j’ai été surpris du manque de pédophile dans le film, pourtant, c’est méchant un pédophile non ? Je ne comprends pas, vraiment, je ne comprends pas…). Bref, lol. Courrons vite voir un autre film. Celui là ne vaut même pas le temps passer à le visionner.

HancockCritique express : Partant d’un bon principe, Hancock s’enlise rapidement dans les bons sentiments et les incohérences. A éviter.

Avoir des super pouvoirs et (entre autre) l’immortalité, qui n’en a jamais révé ? Hancock visiblement, tant il tient du anti-héros au départ. Alcoolique et dépréssif, il se complait dans une vie de paria. Fort heureusement pour le public américain, il va rapidement retourner dans le droit non sans avoir mis avant des têtes dans des culs (véridique, et faisant fi de toute réalité médicale). Hancock endosse le double rôle de gentil héros en quête d’indentité et d’ami intime de la famille américaine parfaite. Ce qui donne vite la gerbe, il faut bien l’avouer. C’est donc sans regret qu’on le voit se débattre comme un bouffon contre les méchants (qui ne sont pas beaux, ouah c’est possible ça ?) alors que théoriquement ses pouvoirs lui permettent de massacrer comme un goret dans un champ de truffes. Mais ouf, même s’il est très bête, no problemo, il est très chanceux. Et c’est bien normal, il a mis les scénaristes dans sa poche. Ce n’est hélas pas le cas du spectateur qui s’en ira bien dépité (ami lecteur, cette fin de phrase est utilisée dans une autre critique fort bien écrite, sauras tu la retrouver parmi les deux cents déj) écrites ?).