PoltergayUne bonne surprise que ce film, qui, loin de faire dans le gros et gras, reste finalement assez subtil (sans non plus aller chercher dans les sommets) et fin. Portés par un duo d’acteurs fort acceptable (enfin Clovis Cornillac quand même plus que Julie Depardieu, mais on ne la voit pas des masses, alors ça va). La trouvaille de l’exorciste complètement chelou dingue de MacDo est absolument fabuleuse et magnifiquement interprétés. Les homosexuels campés, si ils sont caricaturaux, n’en sont pas insupportables pour autant. Bref, un film léger qui sait se faire apprécier, et les francs rires ne sont pas rares bien au contraire (surtout que l’on s’identifie au héros qui se fait « agresser » sexuellement par des fantômes). Deux trois longueurs par ci par là, mais rien de bien méchant qui casse l’ambiance du film. A aller voir au cinéma ou à louer pour une soirée entre potes (hum… attention à la fin de soirée, si vous étiez hétérosexuels au début…).

Les fils de l'hommeEuh comment dire… Un film qui aurait pu être grandiose, mais qui finalement se contente d’être assez bon. Tout d’abord, le bon. La vision du futur est vraiment bien faites, au contrario de certains films qui nous montrent un futur aseptisé, ici nous avons droit à un futur crade, avec les même personnes que maintenant, leurs petits problèmes, leurs petites combines… Bon tout le monde est despéré parce que les femmes ne peuvent plus donner d’enfant. Et c’est là, à mon sens, que le film coince. Les femmes ne donnent plus d’enfants, mais en vertu de quoi ? Un certain flou est laissé, mais c’est prendre le spectateur pour une nouille (qui rappelons là à nos amis lecteurs, ne dispose que de peu de matière grise et de ressources pour prétendre au prix nobel – bien que celui-ci ne soit pas toujours gage de qualité) que d’essayer de lui faire croire que toutes les femmes n’ont plus d’enfant. Dès lors, le « colis » spécial (une femme enceinte) devient une sorte de graal, comme peut en témoigner certaines scènes. Mais ne crachont pas trop dans la soupe, mis à part ces quelques passages niaiseux, le film illustre bien ce que peut-être la folie de l’homme quel que soit le prétexte. De plus la scène finale dans le camp de réfugiés est absolument grandiose, avec une méthode de prise de vue à l’épaule qui nous plonge en pleine guerilla. Un bon film qui aurait pu encore mieux faire.

SeveranceUn film acceptable, ni bon ni mauvais, qui permet de se détendre avec un peu de gore et de délire. Un des aspects positifs du film est le ton résolument décalé, mais en même temps, la crédibilité des personnages est préservée (ie. ils ne courent pas partout comme des cons en disant « ouiin je vais mourrir »). Ils cherchent « vraiment » à s’en sortir (il y en a même qui y arrivent) et du coup ça bastonne. Par contre, le scénario, s’il avait tenu sur un bout de serviette au restaurant, aurait tenu du miracle. Non, là c’est rien, nada, du début à la fin il n’y a pas de scénario, pas la peine de le chercher. Donc au final, ça se loue en DVD, mais au cinéma, il y a mieux pour le même tarif.

La citadelle assiegéeNous sommes perdus. Oui, perdus. Il existe de part le monde, des espèces monstrueuses, qui se répliquent à l’infini, et contre lesquelles nous ne pouvons pas lutter. Les termites, et les fourmis. Avant, bien campé du haut de ma homo sapiensité, je ne craignais rien. Fou que j’étais. Tapies dans l’ombre (et parfois même à la lumière), elles n’attendent qu’une faiblesse de notre part pour nous aggresser sauvagement et sans pitié. Alien à coté c’est de la gnognotte. Non, là c’est en vrai, des cohortes entières d’individus prêtes à tout massacrer sur leur passage (les fourmis magnans), par lot de quelques 10 millions d’individus, excusez du peu. C’est horrible: on voit de pauvre bêtes toutes minis toutes touffues (bon ok un serpent c’est pas des masses touffu, mais quand même) se faite disséquées vivantes (je pèse mes mots) et ramenées en petits bout à la reine (appelée « reine noire » dans le film, bah oui c’est les méchants, effet Star Wars oblige) qui pond même en mouvement. Pour les haltes, rien de tel qu’un nid construit en fourmis (ça tombe bien il y en a plein). Moi personnellement, ça me fout trop les jetons de voir une masse noire et informe, grouillant sur quelques mètres de haut. De l’autre coté, les gentils termites (eh oui on dit « un » termite), gouvernés par une reine trop monstrueuse (les films d’horreur à coté c’est peace and love), blanchâtre, avec un liquide inconnu qui crée des remugles à l’intérieur. Ca pond, pond, pond. Beurk. Ah oui, j’allais oublier, ça construit aussi des forteresse de trois fois notre taille, en terre bien rendue solide par la salive de termite, un truc de fou (et un peu dégeu). Et à l’intérieur, le tarif habituel, des millions et des millions de termites monstrueux, avec des têtes pourvues de crochets pour bien déchiqueter tout ça. Forcément, quand on en pond dans les 30000/jour, ça aide. Tout ça pour arriver à un truc qui ne ferait qu’une bouchée d’un humain, fort heureusement le désir n’est pas là. Mais ça mute drôlement vite les insectes… Un accident de l’évolution est site vite arrivé. Bref, je ne me sépare jamais de mon lance flamme, on ne sait jamais (et surtout pas aux toilettes, ça s’insinue partout ces choses là). Et puis vive les araignées (mais pas trop quand même, c’est tout aussi monstrueux, en plus, leur manière de chasser, c’est trop lâche). Sinon le film est vraiment bien fait, on se croirait vraiment au milieu de la bataille fourmi/termite. Seul reproche, un biais avéré pour les termites (gentils et tout, et puis pas aggressif), et lorsque vient le générique on voit « Macrotermes bellicosus » bellicosus, comme gentil, pas comme belliqueux bien sûr. Sinon un excellent film a aller voir en salle tant qu’il tourne, sinon en DVD. Bien sûr, votre priorité numéro un est quand même d’aller acheter un lance flamme (voire deux, on n’est jamais trop prudent, et puis ça se reproduit vite ces choses là).

Une verité qui dérangeLe combat de Al Gore pour la planète. Merci Al Gore! Bon mis à part un accent assez préélectoral américain (même si l’intéressé s’en défend), un film bien, qui aura le mérite de faire passer le message chez ceux qui n’en sont toujours pas convaincu: si la planète va mal, c’est à cause de nous, et nous avons (encore, mais plus pour très longtemps), la possibilité de faire marche arrière. Force est de constater que la communication est bonne, et si parfois les artifices sont un peu gros (pourquoi parler des maladies en plein milieu de son film ?), la recette est assez efficace (et on l’espère encore plus sur le public américain, car c’est quand même des gros pollueurs – mais il n’y a pas qu’eux, il y a aussi les gros 4×4 qui font du 20 km/h dans paris). Si vous êtes un peu éloigné de ces problématiques, ce film saura vous présenter de manière nette et concise ce qui ne va pas et les principales raisons du pourquoi du comment. Dommage qu’il ne soit projeté que dans si peu de salle en France (à mon avis c’est qu’il y a plein de directeurs de cinéma qui ont un mauvais karma…).

Friends with MoneyEt paf ! Une bouse de plus. Si vous voulez juste savoir si vous devez aller le voir, la réponse est: non. D’ailleurs sur Allociné ce film est noté très sévèrement (1/4), franchement, ils sont encore trop gentils. Friends with Money (que je traduirais non pas par « Amis avec l’argent » mais plutôt par « J’ai des amis riches ») est une comédie où l’on se fait franchement chier (chercher l’erreur), où les acteurs sont mous, l’image est molle, l’action est molle, les gags sont… absents (ah vous alliez dire mous, perdu !). Bref, on n’accroche pas. Pourtant le principe de base n’est pas franchement mauvais, mais la réalisation massacre à qui mieux mieux tout ce qu’elle peut afin de réaliser un vrai mauvais film. De plus finalement les disparités entre les différents personnages sont telles qu’on se demande franchement ce qu’ils font ensemble. On attend avec impatience qu’ils se mettent tous les uns sur les autres, ce moment n’arrivera pas. On en est réduit à une forte envie de se lever qu’on soulage avec la fin laborieuse de ce film. A ne surtout pas aller voir.

ClickAllez, une petite devinette: dans un film américain, qu’est-ce qui est le plus important, le travail ou la famille et l’amour des autres ? Doit-on sacrifier sa vie familliale afin d’obtenir un statut social plus important ? Partant de ce principe franchement novateur (tiens exactement le même que Le diable s’habille en Prada, qui passe encore actuellement, plus une quantité indénombrable de navets dans le même genre), couplé au fanstasme, franchement novateur aussi, d’un pouvoir plus ou moins absolu (comme dans Bruce tout puissant), Click arrive néanmoins à éviter de justesse la bouse, pour rester finalement un des bons films dans le genre. Le sujet n’est pas traité avec trop de lourdeur ou de mièvrerie (sauf à la fin bien sur, ou d’ailleurs, pour ajouter à l’ambiance « triste », en plus des violons, il pleut. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais il pleut toujours dans les scènes tristes, étonnant non ?), et les gags sont suffisament amusant pour nous faire sourire. Bon on connait la fin avant le début (ou presque tellement c’est prévisible), des fois l’humour vire sous la ceinture, mais globalement, il existe bien pire, dans tout les domaines. Donc il est envisageable de voir ce film pour se détendre, sans trop de regrets.

Le diable s'habille en pradaUn film avec un grand potentiel, mais qui finalement restera peu dans les mémoires. Même si le rôle de l’enflure avérée est jouée presque à la perfection par Meryl Streep, le scénario plat et finalement, peu humouristique rend la chose bien moins digeste. Le film se prend bien trop au sérieux, avec des sujets grave comme « faut-il succomber à la mode ? », « le travail est-il plus important que l’amour et l’amitié ? » (indice: dans un film américain, la réponse à cette question est forcément non), « faut-il sacrifier ses convictions personelles sur l’autel de la réussite ? » (indice: les films américains sont niaseux par essence). Donc forcément, après on ne rit plus, on est tous en train de se demander si l’on a pas fait de mauvais choix dans notre vie, comme l’affreuse faute de bon gout de ne pas mettre de chaussures talons aiguilles (bah sinon est tous petits, de vrais nains de jardins). Ah oui sinon le film arrête de parler du cul, parce que le cul dans la vie c’est important (et il ne faut pas sacrifier son travail au cul, si son cul au travail, parce que c’est pas bien sauf quand on est le président des états unis on a le droit, d’ailleurs franchement je préfère un blow job à la torture personellement). Donc vous pouvez le louer en DVD parce qu’il n’y a rien d’autre, mais de là à aller le voir en salle… Enfin il paraît qu’il y en a qui aiment.

Jugez moi coupableUn film long, long… comme le procès qu’il caricature. Déjà ce qui m’énerve, c’est le sempiternel « inspiré de faits réels » au début du film. Ca veut rien dire ! Premièrement, soit c’est des faits réels qu’on nous montre, et dans ce cas, c’est une sorte de reportage, soit la moitié est vraie et la moitié est fumée, autant dire que cela ne sert à rien. Ca se trouve, le « fait réel » c’est le nombre de coup de marteau du juge, ou bien la couleur des barreaux de la prison, autant dire que tout le monde s’en fout. Le jeu des acteurs n’est pas franchement mauvais, mais pas franchement bon non plus, et le scénario est pour ainsi dire inexistant (aucun rebondissement, une platitude…). Bref, le jeu n’en vaut pas la chandelle, surtout que la « conclusion » est un superbe non lieu pour tout le monde (tous des mafieux avérés) grâce au « héros » (dealer de drogue, mon idole) car finalement le film cherche à nous le rendre sympathique. Eh bien c’est raté pour au moins un spectateur.

Little Miss ShunshineMalgré le gros à priori positif que j’avais sur ce film (excellentes critiques), je suis ressorti deçu de ce road movie qui a un air de déjà vu. Certes, le modèle bien pensant d’une Amérique composée de « winners » est mis à mal, mais de manière peu originale. De plus, dans un grand élan de niaiserie, la famille « découvre » bien entendu qu’il y a plus important que le fait d’être un winner, c’est le fait d’êter une famille unie… (super). Quelques comiques de situations et un jeu des acteurs pas mauvais -hélas les personnages campés sont assez convenus- vient sauver le film, pendant lequel on aura quelques sourire et quelques émotions, mais on pouvait s’attendre à beaucoup mieux. La scène finale du concours est certainement la meilleure et permettra de mieux faire passer la pillule.

PresidentCe film montre les coulisses du pouvoir d’un président (dont on se moque des orientations politiques), et les difficultés qu’il peut avoir à concilier son activité « professionnelle » avec sa vie privée (notamment sa relation père-fille qui n’est pas sans quelques déboires). Ce qui , au premier abord, pourrais paraître ennyuant. Mais le film rajoute un soupçon d’intrigues, de plans secrets ourbis par les uns et par les autres, ce qui rajoute juste le dynamise qu’il faut. De plus, le jeu des acteurs est suffisament bon pour donner une réelle crédibilité à l’affaire. On croit voir un « vrai » président, avec des affaires internes et une gestion de la population qui doit vraisembablement se passer comme cela. La fin est un peu baclée, mais à part cela, c’est un film agréable à regarder.

Le Maitre d'armesUn bon film d’arts martiaux, moins violent que la plupart des films dans le même genre. La partie reflexion est plus developpée, appuyée par un jeu des acteur qui reste convenable. Pour une fois, il n’y a pas l’habituelle apologie de la violence gratuite, et l’on voit l’évolution de quelqu’un pour qui la violence représente tout, en une personne qui voit en le combat une lutte contre sa propre violence. Comme d’habitude, on a le droit aux « mouvements spéciaux » et autres joyeusetés, mais le tout reste assez crédible.

Thank you for smokingUn bon film sur le lobbyisme, traité avec un humour certain. Le parcours d’un « salaud », qui se sert de sa belle gueule et de sa verve afin de convaincre les gens de fumer. Mais le film n’est pas exempt de responsabilisation, du spectateur, d’abord, qui doit savoir faire la différence entre la réussite (apparente, la fin revient dessus) d’une personne qui prône le tabagisme intensif, et un film qui finalement montre en demi-teinte que le choix final est fait par le consomateur, à l’époque actuelle (comme il le dit si bien, tout le monde sait que le tabac tue à notre époque, mais certains font ce choix). Les petites piques contre les autres lobbies (armes, nourriture, etc…) sont aussi autant de désaveux de cette politique. Mais les nuances sont présentes tout au long du film, ce qui en fait un bon film de réflexion. A voir.

Des serpents dans l'avionSi vous voulez aller voir un film, qui prend au moins de ses aspects au sérieux, surtout n’allez pas voir des serpents dans l’avion ! Tout, absolument tout, est tournée en dérision, avec des acteurs qui ne se prennent pas du tout au sérieux ! Le titre du film résume à lui tout seul le burlesque de la situation : un mafieux a eu la « brillante » idée d’introduire une caisse pleine de serpents tous plus venimeux les uns que les autres afin de faire en sorte que l’avion se crache (et non pas une bombe, ah non, ca c’est compliqué). A partir de là, tout est possible, d’ailleurs tout arrive. Des vieux plans culs dans les toilettes de l’avion aux morts les plus gores (un mec tombes lors d’une scène de panique et se fait transpercer par un talon aiguille dans l’oreille), c’est du gros délire et fun en boîte ! Des répliques « cultes » (du genre, « lache ma biiiiiiiiiiiiite), des acteurs caricaturaux (l’hotesse blonde, le rappeur qui ne veut pas qu’on le touche, le fana de jeux vidéos qui fait atterir un avion « parce qu’il a joué à la playstation »), que du bon ! Donc un film à voir pour se détendre les neurones et ne pas se prendre la tête. Rien que du délire dans ce film.

Ma super exUn film au grand potentiel, mais qui finalement ne réalise qu’à moitié. Le principe de départ est très bon (une super héroïne se révèle maladivement jalouse et se sert de ses pouvoirs afin de se venger), mais le film peine à démarrer, et même ensuite, les gags sont peu convaincants. L’humour est souvent assez bas (entendre: sexuel) et les supers pouvoirs ne sont pas tant mis que ça à l’épreuve du burlesque. Donc un film à louer en DVD, mais peut-être pas à voir au cinéma.

Nos voisins les hommesIl semble que le nouveau thème à la mode soit la lutte des animaux contre les hommes (avec un film à venir, la forêt contre attaque). Fortement inspiré de pompoko, dont il reprend le principe (des animaux voit leur espace vital fortement restreint par les avancées urbaines humaines), il arrive néanmoins à manier un certain humour même si cela n’est pas toujours très heureux. Par contre, attention, ce film est un film niais. Est-ce que tout va bien finir dans le meilleur des mondes ? Oui. Est-ce que les plus belles valeurs sont l’amour et l’amitié ? Oui. Mis à part des quelques défauts de goût, le tout se laisse regarder sans trop broncher, mis à part l’écureuil survolté, « trouvaille » qui visiblement, depuis Ice Age, on nous ressert à toutes les sauces, ce qui commence à devenir lassant. Sinon, pour les enfants, c’est idéal.

Monster HouseEh bien, voilà un film qui saura raviver vos peurs enfantines, si vous avez gardé un minimum une âme d’enfant. Monster House c’est un peu le délire qu’on peut avoir entre potes, en cherchant à faire peur à l’autre, jusqu’à ce qu’un chat fasse sursauter tout le monde… Personellement, j’adore la technique d’animation choisie ainsi que le character design, qui rendent les personnages assez attachants. Les « adultes » du film, vu par des pré-adplescents, sont assez bien grimés (surtout « squelette », rebelle qui se la pête mais qui est à la limite de chialer en pensant à son vieux cervolant « mangé » par la maison). Le concept de maison « vivante » (avec une bouche, des yeux etc…) est aussi assez rafraîchissant et finalement, le film passe sans qu’on aie vraiment le temps de s’ennuyer. Je dirais donc que c’est un film à voir, mais attention ! si vous êtes du genre terre à terre, ce n’est pas pour vous…

AfficheComme on pouvait s’en douter, un film à succès comme Pirates des Caraïbes premier du nom (film au deumeurant excellent) se devait, au moins pour des raisons marketing, d’avoir une suite. Eh bien c’est donc un film marketing que nous avons, avec des effets spéciaux à foison, les mêmes personnages (enfin, il y en a un nouveau, le méchant, c’est normal l’autre il est mort) et moins de fun que le premier, qui se « lachait » beaucoup plus. Là on reste dans le classique, qui détend mais qui n’innove pas. Une mention spéciale toutefois pour la scène du balancier dans les cages, tout à fait hilarante. Par contre, la fin, franchement baclée, nous laisse attendre un épisode 3 (ça doit être le chiffre magique, comme pour Matrix, depuis que StarWars a marché) que l’on espère plus dynamique (espérons qu’ils ne feront pas comme Matrix, une merde totale).

Inside ManInside Man nous prend tout de suite au jeu avec une introduction plein d’interrogations. Le reste du film ne décevra pas. Nous tenant en haleine de bout en bout, on se creuse les méninges pour savoir bon sang ! comment ils ont fait, et surtout quel est l’enjeu de ce qui n’est évidemment pas un simple casse. Le jeu des acteurs est assez bon, sans crever le plafond non plus. Un bon thriller qui arrive à renouveler un peu le genre trop visité par des films médiocres.

Du jour au lendemainOui bon… Le principe est excellent, le jeu des acteurs aussi, mais comment dire… La sauce a du mal à prendre. En fait, le fait de passer de la malchance absolue à la chance absolue aurait pu donner lieu à de bien plus nombreuses situations cocasses, et à un héros, qui, au lieu d’aller vers l’épuisement moral, aurais pu réagir de manière beaucoup plus drolatique. On le retiendra pour une petite location DVD, ça permet de se détendre une soirée.