Voici la vidéo du dernier épisode de South Park avec du Wow dedans.
Les tags sur Flickr
Flickr, c’est un peu comme Google Image (à chaque fois un moment de joie), mais en dix fois plus fort. Des milliers de photos mises en permanence sur le site par des personnes qui visiblement ne comprennent pas tout à fait que n’importe qui peut les voir, et par là même s’exhibe de manière totalement ridicule pour notre plus grand bonheur (il ne faut pas exagérer non plus, il y a aussi plein de photos réussis faites par des pros…). Une des particularités de site totally web2.0 c’est qu’il y a possibilité de ‘taggué’ ses photos afin de pouvoir les retrouver facilement après, les regrouper par thème, créer des albums etc… Mais c’est comme tout, il y a des petits malins qui vendent du sexe bonheur sur internet qui veulent profiter de la forte affluence du site pour vendre leur merde. Par exemple prenons la photo suivante, qui finalement n’a pas grand chose d’aguicheur ni de vraiment choquant.
rose_red on Flickr
Eh bien, sous la photo est disposé judicieusement pour ceux qui voudrait en voir plus (je me demande bien qui ? Enfin tous les goûts sont dans la nature… y compris les mauvais) un lien vers un site internet qui à mon avis fleur bon le numéro de carte bleue. Mais comment attirer les gens vers cette photos miracle ? Eh bien c’est ici que les tags entrent en jeu et nous quelques indices vers le public recherché…
Les voici: boobs boob tit tits jugs jug sex sexy xxx women woman nude nudity innocent flashing cute girl hot breast breasts ta+ta ta+tas hooters hooter erotic eros ero adult fucking bi ass butt fuck+off finger sensuality penis wang man men gay straight cock dick hard+on erect balls pubic+hair
Eh oui quand même, il y a même les pluriels au cas ou les pervers libidineux (car nous savons maintenant qui ils sont) hésiteraient entre les deux orthographes. L’humanité est en marche.
Firefox finalement pas si troué que ça…
Alors sans vouloir renter dans le troll mais quand même un petit peu, moi je dis lol. Lors d’une précédente conférence sur la sécurité, on dévoilait une faille pour Mozilla Firefox. Soit. Ca arrive à tout le monde. Mais les vieux trolls se réveillèrent alors, ouiiii, ces trolls ancestraux menant rapidemment au point Godwin -si tu ne sais pas ce que c’est que t’es rien qu’un inculte et que tu es même pas fichu de faire Google pour dire « mais si je sais (maintenant) »-, abattant sauvagement leur haine sur le pauvre renard qui avait déjà mal au cul (because of le trou). Mais en fait, eh ben, bah, c’était rien qu’une blague que pour de rire. Alors moi je dis lol (en fait je le redis, mais j’espère secrètement que mon lectorat a une mémoire de poisson rouge, comme ça demain je poste le même). Bon voilà le démenti, bande de vilains.
Update: Possible Vulnerability Reported at Toorcon
Une buddy icon originale
Netvibes 2.0
Le nouveau netvibes est arrivé (codename : cinnamon), avec à la clé, peu de changements, surtout du cosmétique. Il y a de nouveaux thèmes, mais on ne peut pas personnaliser soit même le css, et, comme toujours, la mise en forme n’est pas dissociée de la présentation (ce qui, avec le fait que netvibes ne soit pas en open source, est pour moi le plus gros défaut). Les options sont enfin gérées de manière à peu près logique. A noter aussi, un plus au niveau de la rapidité (en tout cas chez moi) ce qui est toujours appréciable quand on suit des dizaines de sites en même temps.
Mon beau petit poney
Mon petit poney, vous vous souvenez ? Mais si, ces adorables poneys dont on pouvait coiffer les cheuveux (j’en ai moi même possédé un, ce qui explique ma sensibilité à fleur de peau, ainsi que mon penchant naturel pour les accessoires en plastiques). C’est mignon, c’est rose, c’est niais, il y a une chanson de merde avec des paroles de merde dessus, bref c’est adorable. Mais Google, lui, non, il ne trouve pas cela adorable. Il faut dire que Petit Poney doit contrer son Grand Plan Pour Conquérir l’Univers (GPPCU) car il est gentil et plein d’amour, et c’est connu, les méchants perdent toujours contre les Gentils Remplis d’Amour. Donc comme c’est un vil, il fait croire que Petit Poney, c’est pas du tout de l’amour, mais du sex bien trash avec des gens qui se font passer pour des chevaux.
Il suffit donc de chercher « petit poney » sur Google Image pour avoir un aperçu de cette basse vengeance… Bien sûr Google pourrait retirer cette image de cette recherche, mais il ne pourra jamais retirer mon screenshot ! Mwahaha ! (Attention: Ne cliquer sur ce lien que si vous avez déjà vu des choses horrible provenant du Grand Nain Ternet).
Hier au cinéma : Le diable s’habille en Prada
Un film avec un grand potentiel, mais qui finalement restera peu dans les mémoires. Même si le rôle de l’enflure avérée est jouée presque à la perfection par Meryl Streep, le scénario plat et finalement, peu humouristique rend la chose bien moins digeste. Le film se prend bien trop au sérieux, avec des sujets grave comme « faut-il succomber à la mode ? », « le travail est-il plus important que l’amour et l’amitié ? » (indice: dans un film américain, la réponse à cette question est forcément non), « faut-il sacrifier ses convictions personelles sur l’autel de la réussite ? » (indice: les films américains sont niaseux par essence). Donc forcément, après on ne rit plus, on est tous en train de se demander si l’on a pas fait de mauvais choix dans notre vie, comme l’affreuse faute de bon gout de ne pas mettre de chaussures talons aiguilles (bah sinon est tous petits, de vrais nains de jardins). Ah oui sinon le film arrête de parler du cul, parce que le cul dans la vie c’est important (et il ne faut pas sacrifier son travail au cul, si son cul au travail, parce que c’est pas bien sauf quand on est le président des états unis on a le droit, d’ailleurs franchement je préfère un blow job à la torture personellement). Donc vous pouvez le louer en DVD parce qu’il n’y a rien d’autre, mais de là à aller le voir en salle… Enfin il paraît qu’il y en a qui aiment.
Hier au cinéma : Jugez moi coupable
Un film long, long… comme le procès qu’il caricature. Déjà ce qui m’énerve, c’est le sempiternel « inspiré de faits réels » au début du film. Ca veut rien dire ! Premièrement, soit c’est des faits réels qu’on nous montre, et dans ce cas, c’est une sorte de reportage, soit la moitié est vraie et la moitié est fumée, autant dire que cela ne sert à rien. Ca se trouve, le « fait réel » c’est le nombre de coup de marteau du juge, ou bien la couleur des barreaux de la prison, autant dire que tout le monde s’en fout. Le jeu des acteurs n’est pas franchement mauvais, mais pas franchement bon non plus, et le scénario est pour ainsi dire inexistant (aucun rebondissement, une platitude…). Bref, le jeu n’en vaut pas la chandelle, surtout que la « conclusion » est un superbe non lieu pour tout le monde (tous des mafieux avérés) grâce au « héros » (dealer de drogue, mon idole) car finalement le film cherche à nous le rendre sympathique. Eh bien c’est raté pour au moins un spectateur.
Hier au cinéma : Little Miss Sunshine
Malgré le gros à priori positif que j’avais sur ce film (excellentes critiques), je suis ressorti deçu de ce road movie qui a un air de déjà vu. Certes, le modèle bien pensant d’une Amérique composée de « winners » est mis à mal, mais de manière peu originale. De plus, dans un grand élan de niaiserie, la famille « découvre » bien entendu qu’il y a plus important que le fait d’être un winner, c’est le fait d’êter une famille unie… (super). Quelques comiques de situations et un jeu des acteurs pas mauvais -hélas les personnages campés sont assez convenus- vient sauver le film, pendant lequel on aura quelques sourire et quelques émotions, mais on pouvait s’attendre à beaucoup mieux. La scène finale du concours est certainement la meilleure et permettra de mieux faire passer la pillule.
Toujours plus loin en USB
Alors Thanko c’est un peu les spécialistes du gadget USB complètement débile. Dernièrement, voilà qu’ils proposent les gants et les pantoufles USB. Eh oui, au japon l’hiver il fait froid (en fait, l’hiver il fait froid partout, c’est juste qu’au japon c’est mal isolé), donc pour ne pas se taper des engelures, rien de tel que des gants ou des chaussons USB ! Bon l’intérêt est quand même limité, à devoir brancher ses gants sur un port USB (en plus il en faut deux, un pour chaque mains), bonjour les noeuds… Mais on n’arrête pas le progrès paraît-il.
Le lien vers ces magnifiques gants : USB?????? A peine 3000 ¥ la paire (20€).
Moi personellement j’ai un bureau très mal chauffé, c’est pour cela que les pantoufles me paraissent carrément une option viable (attention toutefois à ne pas se casser la gueule quand on va se chercher un bon café bien chaud parce qu’il fait froid, au bout de quelques mètres les pantoufles vous rappelent cruellement que vous avez littéralement un fil à la pate…).
C’est seulement 4000 ¥ (27€), autant dire que c’est donné. USB????????Dual. En plus c’est trop la classe…
Bon c’est pas tout ça, mais moi j’ai le refroidit-canette-chauffe-café au bureau, eh bien c’est génial comme invention…
Ca s’achète ici, mais seulement au Japon !
Hier au cinéma : Président
Ce film montre les coulisses du pouvoir d’un président (dont on se moque des orientations politiques), et les difficultés qu’il peut avoir à concilier son activité « professionnelle » avec sa vie privée (notamment sa relation père-fille qui n’est pas sans quelques déboires). Ce qui , au premier abord, pourrais paraître ennyuant. Mais le film rajoute un soupçon d’intrigues, de plans secrets ourbis par les uns et par les autres, ce qui rajoute juste le dynamise qu’il faut. De plus, le jeu des acteurs est suffisament bon pour donner une réelle crédibilité à l’affaire. On croit voir un « vrai » président, avec des affaires internes et une gestion de la population qui doit vraisembablement se passer comme cela. La fin est un peu baclée, mais à part cela, c’est un film agréable à regarder.
Hier au cinéma : Le Maître d’armes
Un bon film d’arts martiaux, moins violent que la plupart des films dans le même genre. La partie reflexion est plus developpée, appuyée par un jeu des acteur qui reste convenable. Pour une fois, il n’y a pas l’habituelle apologie de la violence gratuite, et l’on voit l’évolution de quelqu’un pour qui la violence représente tout, en une personne qui voit en le combat une lutte contre sa propre violence. Comme d’habitude, on a le droit aux « mouvements spéciaux » et autres joyeusetés, mais le tout reste assez crédible.
Hier au cinéma : Thank you for smoking
Un bon film sur le lobbyisme, traité avec un humour certain. Le parcours d’un « salaud », qui se sert de sa belle gueule et de sa verve afin de convaincre les gens de fumer. Mais le film n’est pas exempt de responsabilisation, du spectateur, d’abord, qui doit savoir faire la différence entre la réussite (apparente, la fin revient dessus) d’une personne qui prône le tabagisme intensif, et un film qui finalement montre en demi-teinte que le choix final est fait par le consomateur, à l’époque actuelle (comme il le dit si bien, tout le monde sait que le tabac tue à notre époque, mais certains font ce choix). Les petites piques contre les autres lobbies (armes, nourriture, etc…) sont aussi autant de désaveux de cette politique. Mais les nuances sont présentes tout au long du film, ce qui en fait un bon film de réflexion. A voir.
Hier au cinéma : Des serpents dans l’avion
Si vous voulez aller voir un film, qui prend au moins de ses aspects au sérieux, surtout n’allez pas voir des serpents dans l’avion ! Tout, absolument tout, est tournée en dérision, avec des acteurs qui ne se prennent pas du tout au sérieux ! Le titre du film résume à lui tout seul le burlesque de la situation : un mafieux a eu la « brillante » idée d’introduire une caisse pleine de serpents tous plus venimeux les uns que les autres afin de faire en sorte que l’avion se crache (et non pas une bombe, ah non, ca c’est compliqué). A partir de là, tout est possible, d’ailleurs tout arrive. Des vieux plans culs dans les toilettes de l’avion aux morts les plus gores (un mec tombes lors d’une scène de panique et se fait transpercer par un talon aiguille dans l’oreille), c’est du gros délire et fun en boîte ! Des répliques « cultes » (du genre, « lache ma biiiiiiiiiiiiite), des acteurs caricaturaux (l’hotesse blonde, le rappeur qui ne veut pas qu’on le touche, le fana de jeux vidéos qui fait atterir un avion « parce qu’il a joué à la playstation »), que du bon ! Donc un film à voir pour se détendre les neurones et ne pas se prendre la tête. Rien que du délire dans ce film.
Hier au cinéma : Ma super ex
Un film au grand potentiel, mais qui finalement ne réalise qu’à moitié. Le principe de départ est très bon (une super héroïne se révèle maladivement jalouse et se sert de ses pouvoirs afin de se venger), mais le film peine à démarrer, et même ensuite, les gags sont peu convaincants. L’humour est souvent assez bas (entendre: sexuel) et les supers pouvoirs ne sont pas tant mis que ça à l’épreuve du burlesque. Donc un film à louer en DVD, mais peut-être pas à voir au cinéma.
Hier au cinéma : Nos voisins les hommes
Il semble que le nouveau thème à la mode soit la lutte des animaux contre les hommes (avec un film à venir, la forêt contre attaque). Fortement inspiré de pompoko, dont il reprend le principe (des animaux voit leur espace vital fortement restreint par les avancées urbaines humaines), il arrive néanmoins à manier un certain humour même si cela n’est pas toujours très heureux. Par contre, attention, ce film est un film niais. Est-ce que tout va bien finir dans le meilleur des mondes ? Oui. Est-ce que les plus belles valeurs sont l’amour et l’amitié ? Oui. Mis à part des quelques défauts de goût, le tout se laisse regarder sans trop broncher, mis à part l’écureuil survolté, « trouvaille » qui visiblement, depuis Ice Age, on nous ressert à toutes les sauces, ce qui commence à devenir lassant. Sinon, pour les enfants, c’est idéal.
Hier au cinéma : Monster House
Eh bien, voilà un film qui saura raviver vos peurs enfantines, si vous avez gardé un minimum une âme d’enfant. Monster House c’est un peu le délire qu’on peut avoir entre potes, en cherchant à faire peur à l’autre, jusqu’à ce qu’un chat fasse sursauter tout le monde… Personellement, j’adore la technique d’animation choisie ainsi que le character design, qui rendent les personnages assez attachants. Les « adultes » du film, vu par des pré-adplescents, sont assez bien grimés (surtout « squelette », rebelle qui se la pête mais qui est à la limite de chialer en pensant à son vieux cervolant « mangé » par la maison). Le concept de maison « vivante » (avec une bouche, des yeux etc…) est aussi assez rafraîchissant et finalement, le film passe sans qu’on aie vraiment le temps de s’ennuyer. Je dirais donc que c’est un film à voir, mais attention ! si vous êtes du genre terre à terre, ce n’est pas pour vous…
Hier au cinéma : Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit
Comme on pouvait s’en douter, un film à succès comme Pirates des Caraïbes premier du nom (film au deumeurant excellent) se devait, au moins pour des raisons marketing, d’avoir une suite. Eh bien c’est donc un film marketing que nous avons, avec des effets spéciaux à foison, les mêmes personnages (enfin, il y en a un nouveau, le méchant, c’est normal l’autre il est mort) et moins de fun que le premier, qui se « lachait » beaucoup plus. Là on reste dans le classique, qui détend mais qui n’innove pas. Une mention spéciale toutefois pour la scène du balancier dans les cages, tout à fait hilarante. Par contre, la fin, franchement baclée, nous laisse attendre un épisode 3 (ça doit être le chiffre magique, comme pour Matrix, depuis que StarWars a marché) que l’on espère plus dynamique (espérons qu’ils ne feront pas comme Matrix, une merde totale).
Fast switching between source and header files in Visual Studio.Net 2005
Here is a small macro to quickly switch between source and header files.
Please note that is does not support switching from .h to .c or .cxx. The macro has to be loaded with macro explorer, and then put a keyboard shortcut for execution (I find Ctrl+< convienent on French keyboard).
DADVSI votée : revoltez vous, citoyens
Aujourd’hui en début d’après midi, la DADVSI a été votée dans une assemblée deserte par une poignée de députés. Aujourd’hui, les opinions de révoltes et de dégout (dont la mienne) se multiplient. Adieu la France garante des libertés, bienvenue dans un pays qui permet à une poignée de s’enrichir sur le dos des consomateurs et des artistes. Le logiciel libre, représenté par de nombreuses entreprises françaises, est carrément menacé par des amendements tout droit sortis d’un pays totalitaire. Il est temps de s’engager dans une révolte et un lobbying citoyen, afin de prouver que la fermeture et la répréssion ne seront jamais des solutions culturelles.
Il y aurait long à dire sur ce texte liberticide, tant sont les nombreux amendements et articles immondes. Mais pour l’instant, l’amertume et le dégout me laissent sans voix.